Lorsque le local parvient à nous globaliser ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Lorsque le local parvient à nous globaliser ?

Il n’y a pas de petites économies, il n’y a pas de petits projets. Small is all. Partons du bas, comme pour les maisons, refondons les fondations avec des esprits hyper pratiques. Et pas du tout la frivolité poser un toit mégalomane sur des murs qui n’ont plus que des oreilles ( la déviance centralisme). Économisons « leur » économie, ne l’utilisons plus du tout. Évitons-là. Mutualisons nos combines et binons les champs communaux. Le haut et le centralisme vivent leurs derniers moments historicisés. Nous sommes dans la société 4/4 (quatre quart), quatre quarts plus ou moins fluctuants : les Insoumis, les faux Républicains (la réPublique ne peut être de droite), l’inutile FN et la REM dans son sommeil …paradoxal. Un peu plus enflée, actuellement, la REM vers… le 1/3. Mais pas plus ! Elle va retomber son soufflé…Le parti dominant demeure bien les abstentionnistes, votes blancs et non inscrits dépassant oui les 60 % facilement. A lui tout seul…avec des pointes de 70 % selon certains thèmes, oui…60 %- 70 % de tous les adultes de France…portent notre futur commun en elles/eux !

Comment cela se passe …du plus petit projet individuel, dans le but d’alimenter le vaste mouvement qui se mouvemente, jusqu’à la globalisation extrêmement municipaliste… Nous inaugurons ainsi la rubrique, brique neuve, « Prenons nos vies en mains »…

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Projets individuels avec le paradigme de tout unir. De rapprocher ce qui fut séparé. De réparer les dégâts de la folie furieuse du consumérisme antisocial. Etc. Preuves ? Ces idées rendent service aux deux côtés de l’ex-séparation. Méthode des inséparables…Qui retrouve donc le Contrat Social, tant trahi par toutes les forces antidémocratiques et anti progrès de l’argent fou. La société où personne n’est perdant oui cela existe (mais les médias d’argent sale et de fake analysis ne vous en parleront jamais)… Voyons voir !

 « Les bons petits plats de votre mamie vous manquent ? Votre madeleine de Proust ressemble à la blanquette du dimanche midi ? Vous en avez ras-le-bol des déjeuners sandwich ou panini ? Paupiette va gâter votre assiette et vous n’aurez plus qu’à tailler une bavette. Au lieu d’avaler votre casse-dalle en deux temps trois mouvements, vous allez pouvoir partager toutes les joies d’un bon repas, invités à la table d’une mamie cuistot super sympa !

Tout le monde le sait, les mamies sont des cuisinières hors pair. Elles aiment préparer des gâteaux, elles subliment les recettes traditionnelles comme personne et n’hésitent pas à passer du temps derrière les fourneaux. Nous avons tous en bouche, des souvenirs gustatifs du légendaire poulet rôti de mamie, du pot au feu, du hachis, du gigot ou des tomates farcies… De nos jours, peu d’entre nous mettent encore la main à la patte pour rendre hommage à la popote d’antan. Le savoir culinaire se perd (ou se transforme). De façon récurrente, les étudiants capitulent face au fast-food, optent pour la livraison à domicile, raffolent des sorties resto, ou sont abonnés aux plats cuisinés… tout un arsenal qui ne motive pas le «fait maison», il faut bien l’avouer. [[ dévalisés du chez eux par la barbarie consumériste, cette illégitime migration permanente qui dévalise toutes les bonnes traditions, jusque dans les intimités !]].

Contre-la-malbouffe-les-jeunes-peuvent-partager-leurs-repas-cuisinés-grands-mères ?

L’idée de Paupiette est vraiment chouette. Rassembler des vieux et des jeunes autour d’un repas convivial. Le constat est simple : beaucoup de seniors souffrent d’isolement, tandis que la plupart des jeunes est en proie à la « malbouffe ». Eurêka ! Les uns et les autres étaient faits pour s’entendre, encore fallait-il qu’ils se rencontrent. C’est alors que Paupiette entre en scène pour favoriser les échanges intergénérationnels.

C’est Enora, 20 ans, qui pilote le projet Paupiette. Elle s’est directement inspirée de son vécu. En quittant sa ville natale et sa famille pour continuer ses études, elle prend conscience de deux choses : la difficulté de manger équilibré à un prix raisonnable, et l’isolement auxquels sont confrontés ses grands-parents qu’elle ne voit plus autant. La jeune fondatrice définit Paupiette comme un «activateur de lien», et souhaite soutenir l’idée d’une vraie communauté de personnes plutôt qu’une simple plateforme de mise en relation. « On ne partage pas qu’un repas. Chaque moment est unique, on ne prévoit que le menu, et le reste est porté par la dynamique relationnelle qui se tisse ».

Paupiette-réunit-les-générations-(séparées-par-le-consumérisme-fou-)-autour-d'un-repas-en-commun.

 Attention, prévient la jeune fondatrice : « il ne s'agit pas seulement de venir déjeuner à peu de frais »[[de 4 à 7 euros ]]. Le but de Paupiette, c'est avant tout de réunir des étudiants qui se nourrissent mal faute d'alternatives saines et bon marché adaptées à leur budget, avec des personnes âgées souvent seules (dans les grandes villes, plus d’un senior sur deux est isolé). Et bien sûr, on imagine toutes…

…les belles rencontres et les histoires intéressantes qu'un tel concept peut provoquer... »

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Du très local au global qui globalise les meilleures solutions collectives ? Oui, il s’agit de sortir du « faux global » puisqu’il y a du prétendu local qui est bien plus global que nous le pensons. Un seul exemple va servir d’élucidation ? Les faits et l’angle de présentation de ces faits comptent énormément. Comme dans un supermarché insensible, des politiques viennent se servir illégitimement dans des groupes sociaux. Les retraités, en l’occurrence. Réactions des médias fous ? « On se sert chez les retraités, la cible 2017 du gouvernement. »  Le tout tellement « normal », on décrit dans l’insensibilité hébétée la plus criarde. Ce qu’il y a d’inadmissible c’est bien l’inhumanité indifférente et cruelle de cette présentation médiatique – autant que la décision politique absurde. Et tout ce qu’elle OMET de dire (les fake analysis, un million de fois pire que les fake news). Que c’est pour alimenter, si illégalement, les traders que cette ponction trop injuste sur des retraités.

Trader n’est pas un métier mais une délinquance qui se permet de braquer le coffre de …l’argent des autres (puisque la société ne nous empêche pas, ricanent-ils !). Et de faire des bénéfices en…ponctionnant directement cet argent qui n’est pas…le sien (puisque, comme pour les ressources non renouvelables, le circuit d’argent est…fini, clos, pas extensible. Il n’y pas de découvertes de nouvelles terres de profits qui n’est pas extraterrestre, tombé du ciel, non plus, mais le profit (faux nom) devient un coût visible pour d’autres. Donc ce profit est un coût exporté plus loin dans le circuit, sur d’autres. Rien de bien reluisant. Tout gain se fait au détriment de quelqu’un, éclaircissait déjà Montaigne.

Et, après tout, il reste possible de prendre à certains mais …dans le but de redistribuer équitablement du bas vers le haut, du trop pauvre vers le moins pauvre. Tel n’est cyniquement pas le cas ; cyniquement ? oui, car si les pauvres nombreux fraudent c’est 0,10 % lorsque les trop riches, peu nombreux, c’est 100 % de fraudes massives. Et c’est là (ces fraudes) qu’il s’agit de prendre afin de…rééquilibrer toute la société, pas de la déséquilibrer…suicidairement, encore plus ! Et que le mouvement « non-dit » de ces opérations de république bananière (prendre aux retraités et aux services publics pas au privé des spéculations si illégales) c’est de déshabiller, stupidement, des pauvres pour en vêtir, illégalement, des riches qui n’en ont absolument pas besoin. Ce qui démontre une société institutionnellement structurée pour…voler les pauvres. De haut en bas. Démonstration accomplie. Avec accusations claires et nettes au bout !

Le fait si nouveau (les apparences ne trompent…qu’elles mêmes !) est que, si nous sortons de ces déraisons au sommet, de ces illogismes de perversions, de ce non respect indéfectible dû à autrui, tout change. La société PAR LA BASE (en direct sur la vraie vie) s’auto-répare. Et se sépare organiquement de ses faux leaders, apprend à vivre en dehors d’eux, et dirige en fait son propre mouvement hors de ces impuissants (les handicapés médiatiques, qui ne peuvent « rien » faire sans les béquilles de ces techniques sclérosantes)….Et elle répand sa guérison dans tout le corps social. Le vent salutaire de l’honnêteté de souffler partout. La pandémie du libéralisme (ces graves corruptions des cœurs et des esprits) commence d’être éradiquée de partout. Le libéralisme ne peut plus que chuter, si empêtré dans ces incachables abus mêmes (ici les retraités là de…nouveaux concepts si thérapeutiques afin de nous immuniser de ce mal hautain). Les démonstrations se ressentent, alors, en les pratiquant à fond ! Sur le terrain des terriens…Comme ceci...

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** 1 - )

La fausse concurrence (non libre et complètement faussée) du capitalisme monopolistique démasquée par l’économie du partage ?

 

Les-sites-pour-manger-à-la-sauce-collaborative ?

 

** 2 - )

Les enfants associés à la gestion municipale sur leurs lieux de vie ?

 « Les villes sans peur accordent aussi une place aux enfants. « C’est fondamental de les associer, ils sont les citoyens de demain, décrit la maire de Madrid Manuela Carmena. À Madrid, nous avons dans les collèges des enfants volontaires pour lutter contre la violence. Ils réfléchissent et s’organisent avec les adultes pour améliorer leur vie quotidienne. » Ailleurs, les enfants sont associés à la réflexion autour des budgets municipaux. Des commissions sont créées dans les écoles, qui en réfèrent ensuite aux élus.[[ l’avantage évident c’est qu’il n’est plus possible de mentir, de manipuler, de falsifier, de pratiquer des ententes illicites, etc. La présence des enfants contraint à de très sains autocontrôles. La justice de leurs regards se montre vraiment efficace !]].

Lutte-contre-la-corruption-:-appropriation-des-biens-communs-la-révolution

« Pour donner leur place aux femmes, nous menons aussi une réflexion sur la notion d’expert, poursuit Laura Pérez Castaño. Qui est expert ? À l’échelle de l’organisation d’un immeuble, d’une rue, d’un quartier, chacun peut exercer son expertise, et notamment les femmes. » Partir des problèmes quotidiens très concrets des citoyens, c’est un peu la « recette » des équipes municipales réunies à Barcelone. « Ma ville est pauvre », raconte Pamela Barrett, maire de Buckfastleigh, un bourg de 3 600 habitants au sud-ouest de l’Angleterre. « La pauvreté des enfants, surtout, est très importante. C’est ce que les gens trouvaient le plus difficile. Nous avons donc travaillé sur leur accès à la cantine, à la bibliothèque, à la piscine. Ces actions ont rencontré un grand succès, et les gens ont vu un effet immédiat sur leur quotidien. »[[le faux global n’est que sournois, retors, conscient de son illégitimité, il n’apporte que du mal aux vies quotidiennes puisque ces agitations brouillonnes et…inexpertes ne savent que désorganiser la société. En bref, ils ne connaissent  RIEN de la vraie vie des humains – pour cela ils perdent tout droit à faire semblant de les diriger !]]. 

Comment faire participer les citoyens ?

« La prise en compte des besoins deS gens, et leur participation aux prises de décisions, c’est la base du changement », avance Marina Vicen, conseillère municipale, en charge de la jeunesse et de l’éducation à Torrelodones, une ville moyenne ( 22 000 habitants) de l’agglomération madrilène. Encore faut-il rendre accessible aux habitants les espaces de délibération et de décision. Les élus de Torrelodones ont décidé d’ouvrir la mairie du milieu de l’après-midi jusqu’en soirée, pour que les citoyens y aient un accès facilité après le travail. « Nous répondons personnellement à toutes les demandes qui nous parviennent par mail, ajoute Marina Vicen. « Nous avons pour habitude d’organiser des réunions dans des endroits familiers et fréquentés par les gens : parcs et jardins, rues, écoles, salles des fêtes dans les quartiers, ou chez eux », ajoute Pamela Barrett. « La proximité est une urgence, précise Iago Martinez, bras droit du maire de La Corogne (200 000 habitants, nord ouest de l’Espagne). Elle est intimement liée au municipalisme. »       [[clair que les centralistes ont tout à cacher – et pour cela, ils doivent éloigner et séparer tout le monde, empêcher les unions, les unités de proximité…. Imaginer des « secrets municipaux » comme des « secrets d’état » disqualifie fortement ces derniers]].

** 3 - )

Comment réparer autour de nous tous les dégâts du capitalisme en n‘attendant plus de « permissions » de sa part ?

 

Ouishare-fest-invite-à-repenser-la-ville-et-à-réinventer-nos-sociétés

 

Le OuiShare Fest invite tous les citoyens à se retrouver autour de la question des villes. Territoires en friche, zones en mutation, espaces communs où convergent les nouveaux pouvoirs démocratiques, économiques ou sociaux, la nouvelle résonance que souhaite insuffler le collectif Oui Share fait vibrer le sol de Pantin ! Le Oui partager c’est la Fête annonce le futur prochain et proche…

** 4 - )

Multiplier toutes les facilitations pratiques de la vie en commun – afin, qu’un jour, tout soit tellement mûr, que l’inutilité des sphères prétendues dirigeantes sautera dans tous les faits qui nous entourent ?

L'annuaire-national-des-produits-locaux-100-%-local-

Avec joint l’annuaire national des produits locaux. 100 % participatif,  Etc.

** 05 - ) BONUS

C’est l’heure d’être heureux !

« Pour inviter au changement, deux prises de conscience sont nécessaires : 1) -l’adoption d’un mode vie prônant la « sobriété heureuse », selon la formule chère à Pierre Rabhi, et 2) - le changement de nos modes d’informations pour passer du pessimisme abstrait à l’optimisme concret. [[notons que dans ces 2 domaines, notre blog est nettement en avance]]. En valorisant les initiatives et les expériences « qui célèbrent la vie dans les domaines les plus variés : l’agroécologie, l’agriculture de proximité, l’économie sociale et solidaire, les modes d’éducation alternatifs, les villes en transition, les écovillages, la joie des mots, etc. », nous pouvons encore changer les choses et initier le « réenchantement du monde » ! [[Traduite en français courant : la Fête mondiale permanente !]]

Trouver-et-retrouver-les-causes-psychologiques-du-désenchantement-monde

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Et donc ? N’étant pas enfermés dans des jeux stériles de pouvoirs – nous détenons une immensité potentielle d’initiatives que ces pouvoirs n’auront jamais. En cela, nous les dominons de partout. Nous pouvons tellement changer le monde sans même qu’ils ne s’en rendent compte. Comment ? Multiplier toutes les facilitations pratiques de la vie en commun – afin, qu’un jour, tout soit tellement mûr, que l’inutilité des sphères prétendues dirigeantes sautera dans tous les faits qui nous entourent ? Ou bien. Comment réparer autour de nous tous les énormes dégâts du capitalisme en n‘attendant plus de « permissions » de sa part ? Oui mais ? La fausse concurrence (non libre et complètement faussée) du libéralisme monopolistique démasquée par l’économie du partage ? Suffit d’aller voir sur le terrain comme le texte nous l’ouvre. Les enfants associés à la gestion municipale sur leurs lieux de vie ? C’est déjà fait et aura prouvé que, en leur présence (budgets municipaux), les adultes ne se laissent plus aller aux falsifications et autres corruptions. Il n’y a donc pas de « petits » projets. Un seul peut entraîner toute la société dans une autre direction.

…….Et c’est « votre » projet qui atteindrait ce coup de maître ?

 

……(à suivre)

 

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc),  onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

petits projets = grands mouvements proches...

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le local qui lit et lie tout le global ?

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la Terre est unifiée : combien de siècles de retard avons-nous sur elle ?

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Paupiettes...

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mutualiser nos liens....

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...négawattt

Les FINANCES PUBLIQUES LOCALES en 1 map !

Gérons la ville nous mêmes ½

J'aime bien cette notion de plus en plus utilisée par les "spécialistes des marchés". Vous l'avez remarqué: les marchés, de taux bien sûr, de changes aussi et d'actions de plus en plus, ne fonctionnent plus selon les règles de l'offre et de la demande. Les banques centrales ont faussé le jeu. Elles font de plus en plus les prix. Elles les contrôlent de fait. Elles les ont donc… nationalisés.

Paul Ariès Viv(r)e la gratuité des services publics

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