Désynchronisations des espèces ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Désynchronisations des espèces ?

Nos neurones-miroirs prouvent que, jusqu’à nos plus simples mouvements corporels, tout en nous reste fortement influencé par le type de relations sociales que les animaux ont tissées. Que nous avons l’héritage animal dans la peau, les muscles et les réflexes – le séparatisme des faux dirigeants est donc d’une puérilité confondante…assez des profits fous et retour intensif vers le réel de la vie ! La désynchronisation des réponses entre espèces  est donc bien plus sérieuse que les puérils profits. C’est que le vivant forme une chaîne de dépendances extrêmement complexe : et l’humain est bien plus dépendant de la biodiversité (comme de la sociodiversité que la folie capitaliste assassine, aussi !) que nous le pensions. Il faut vite trouver les parades les plus adaptées à ces enlisements mortels: les océans vont STOPPER empêtrés dans trop de plastique. L’atmosphère va S’ARRÊTER si les ouragans et vents ralentissent toujours plus. Et la société se Bloque toujours pire parce que la bureaucratie envahissante c’est le privé libéral (et pas les services publics du tout, c’est diffamation ou préJugé de dire qu’ils sont de « l’administration »)…non non, la plus grande partie de l’enrichissement capitaliste vient…des papiers. L’hyper bureaucratie c’est lui. Clair ?

Puisque-nous-sommes-tous-reliés-ce-serait-comment

Comme nous avons vu que lorsque les humains entrent dans la même préoccupation il y a augmentation de la courbe qui atteste de l’existence d’une conscience globale – nous comprenons à quel point les désynchronisations des espèces  peuvent porter un coup dur à la survie du vivant tel que l’humain le vit. A moins que nous ne changions immédiatement de style de vie dominant. Etant clairement confirmé que va droit dans tous les murs notre stupidité à vouloir maintenir un style de mort gavé de substances chimiques évitables, de vastes pollutions surtout provoquées par les trop riches et de décisions politiques qui, systématiquement, vont contre les intérêts immédiats de la Nature – donc de nos chances communes de survie. Puisque si elle peut, avec soulagement, se passer de nous, l’inverse n’est sûrement pas vrai. Ce n‘est pas de promettre pour 3 ans, 20 ans ou 100 ans de stopper les épidémies de produits qui, dès aujourd’hui, sont déclarés très nuisibles, qui pourrait nous convaincre du contraire. S’il « faut » arrêter dans quelques années il faut arrêter tout de suite ! Leurs fuites devant le réel ont assez durées : l’Histoire nous montrent que tous les grands politiques mondiaux ont toujours tenu parole, surtout lorsqu’il était difficile de s’y tenir ! Une fois de mieux, voyons les situations aberrantes (puisque évitables), que des politiciens, qui ne font jamais de la vraie politique, ont ainsi semées, trop aidés (ou menés ?) par les médias vendus et des financiers mondiaux fous…

Académie-des-sciences.pdf    Les mécanismes d’adaptation de la biodiversité aux changements climatiques et leurs limites.

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« Ce deuxième degré de causalité peut lui-même entraîner des modifications de l’écosystème, selon le principe de « désynchronisation des réponses entre espèces ». Ainsi, une plante décalant son cycle de floraison peut se retrouver en fleur bien avant l’arrivée des abeilles, et ainsi mettre en péril sa survie. Plus largement, l’étude indique que la « variabilité  de  réponse des espèces (…) induit dans certains  cas  une désynchronisation  entre  des  espèces  interdépendantes comme  les  plantes et  leurs  pollinisateurs,  ou  des  oiseaux  insectivores  et  leurs  proies  au  moment  où  leur progéniture  doit  être  en  pleine  croissance,  ou  inversement  de  nouvelles  synchronies  entre hôtes  et  parasites  ou  maladies ». Le vivant formant une chaîne de dépendances extrêmement complexe, la disparition d’une seule plante dans un écosystème peut avoir, par effet papillon, des conséquences désastreuses sur les populations d’insectes, de petits animaux et de vertébrés de la région [[toucher n’importe comment à la Nature si bien faite, ne peut jamais être sérieux. Le capitalisme qui se veut irresponsable (avec des mots d’enfants attardés : tel l’argent ne s’occupe pas de la morale, ni de la raison, ni de la réalité, etc. non plus !), impose qu’il ne répond jamais de rien. Il prend comme une brute arriérée sans jamais se préoccuper ni s’occuper des conséquences. Aux autres (ces vrais adultes qui refusent la barbarie du profit fou), de tout réparer après ce cancre définitif. Et ? La réalité prouve que les plus impliqué.e.s sont ceux/celles qui réparent. Ils/elles peuvent exiger que les autres voyous cessent leurs gesticulations de débiles. C’est ainsi : que la toxicité libérale capitaliste sache au moins perdre…sans faire de vagues !]].

L'effet-papillon-du-changement-climatique-dérègle-toutes-espèces-vivantes

 

Malgré ses capacités d’adaptation, l’homme lui-même est in fine victime de cette chaîne de causalité : « La redistribution du vivant a des impacts plus importants que ce que l’on imaginait et qui vont bien plus loin que la simple biodiversité, avertit ainsi Jonathan Lenoir, maître de conférences en biostatistiques à l’université de Picardie Jules-Verne. Elle nous affecte également tant nous dépendons du bon fonctionnement des écosystèmes pour notre alimentation, notre santé, notre bien-être ou nos activités ». D’où l’importance de mieux connaître ces mécanismes, pour renforcer et adapter la sauvegarde des espèces. »…Oui, mais dites-vous avec raison mais comme est-ce lorsqu’il y  a synchronisation ?

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Lorsque-les-macaques-synchronisent-leurs-cerveaux

 

« Une équipe de cinq chercheurs menés par Miguel Nicolelis de l'université de Duke vient de publier une étude montrant que lorsque des macaques effectuent une tâche collaborative, leurs cerveaux se synchronisent : dans la même zone de leur cortex moteur, leurs neurones déchargent en même temps. Un état dit de «synchronisation corticale inter-cérébrale» (ICS). Ce phénomène est lié aux neurones miroirs, que les neuroscientifiques pensent essentiels aux interactions humaines et notamment à la façon dont nous pouvons nous identifier les uns aux autres. À l'inverse, des défaillances des neurones miroirs sont probablement impliquées dans les syndromes autistiques et autres troubles jouant sur nos aptitudes et nos comportements sociaux [[pour le moment, en grande pagaille, du fait qu’il n’y ait plus de vrais dirigeants. Les harceleurs, maniaques des profits « casseurs » et fous, sont bien des…anti dirigeants]].

Par ailleurs, Nicolelis et ses collègues observent que l'ICS est modulée par les liens hiérarchiques que les singes peuvent entretenir entre eux. «Nous pensons que notre étude pourrait ouvrir un champ d'investigation totalement nouveau, commente le scientifique, en démontrant que même les fonctions les plus simples du cortex moteur, comme la production de mouvements corporels, sont fortement influencées par le type de relations sociales que les animaux ont tissées [[ nous avons l’héritage animal dans la peau, les muscles et les réflexes – le séparatisme d’avec le vivant des faux dirigeants est donc d’une puérilité niaise confondante…assez des profits fous et retour intensif au réel de la vie !]]

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L'effet-papillon-: le-changement-climatique-dérègle-toutes-les-espèces-vivantes

 

« L’homme, élément perturbateur [[mais que font les Crs ?]] : depuis son apparition sur la Terre, l’espèce humaine est responsable de changements dans les écosystèmes naturels : chaque grande avancée (maîtrise du feu, invention de l’agriculture, révolution industrielle) a affermi la mainmise de l’homme sur son environnement, souvent aux dépends d’espèces occupant l’espace avant lui. Depuis l’époque moderne, la pression exercée par les activités humaines sur l’environnement s’est considérablement accrue, provoquant la disparition de nombreuses espèces. Selon l’UICN, qui observe l’évolution de milliers d’espèces, « au moins 41 % des amphibiens, 33 % des récifs coralliens, 30 % des conifères, 25 % des mammifères, et 13 % des oiseaux sont menacés d’extinction », à cause d’une dégradation de leur environnement d’une part (sous l’effet de l’expansion des zones agricoles, minières et urbaines ainsi que de la pollution) et de la prédation humaine de l’autre (chasse, pêche, braconnage).

Point d’effet papillon complexe ici [[ rappelons que le méconnu effet papillon est qu’un facteur en apparence négligeable peut avoir, au terme d’une longue chaîne de causalité, des conséquences considérables : nous y sommes en plein !]], ces facteurs primaires d’extinction sont connus et bien documentés. Mais une étude récente publiée par l’Académie des sciences et rendant compte de deux années de travail, laisse entendre que le changement climatique, lui aussi aggravé par les activités humaines, aurait des conséquences tout aussi graves – et bien plus complexes à tracer – sur la survie des espèces animales et végétales [[ en plus martelé : a des conséquences qui…tuent le vivant sans lequel nous ne serons plus vivants du tout !]].

Chaîne de causalité : « Le changement climatique observé depuis le début du XXème siècle affecte d’ores et déjà de manière discernable les écosystèmes et sociétés : modification du calendrier biologique et de la répartition de centaines d’espèces animales et végétales, installation permanente de vecteurs et pathogènes transportés par l’homme », énonce l’introduction de l’étude. Sous l’effet de divers phénomènes, des espèces sont contraintes à quitter leur environnement naturel, avec plus ou moins de succès. Le premier phénomène, évident, est l’augmentation pure et simple de la température. Pour certaines espèces, il n’est plus possible de vivre sous les latitudes habituelles. On assiste donc à un déplacement généralisé vers les pôles, vers l’altitude ou en profondeur pour les espèces aquatiques. Ainsi, les espèces animales terrestres migrent vers le nord de 17 kilomètres en moyenne par décennie et les espèces marines de 72 kilomètres [[ les océans sont donc 4 FOIS plus atteints…]]. Mais les chiffres s’affolent quand on s’intéresse à des zones plus précises, en particulier dans les zones tempérées, comme la France, où « une augmentation  de  température  de  1°C  correspond  à  un  décalage  des  zones climatiques de près d’environ 200 km vers le nord [[ d’où apparent…refroidissement pour les cœurs si superficiels et clairement antisociaux]] ». Devant ces changements, certaines espèces migrent rapidement, comme les papillons ; d’autres, incapables de bouger, dépérissent, à l’instar des coraux, victimes de l’augmentation de la température de l’eau de mer [[ ne croire qu’au visible c’est perdre toutes ces qualités qui ont fait la grandeur humaine : penser c’est savoir que l’invisible domine les phénomènes. C’est plus dur au niveau efforts, mais c’est bien ça l’amour pour les autres…]].

Mais ce n’est pas tout : en allant une étape plus loin dans la chaîne de causalité, l’étude remarque que les espèces migrant pour fuir la chaleur colonisent des écosystèmes nouveaux, entrant souvent en concurrence avec les espèces natives de ces derniers. En conséquence, les espèces originaires de l’écosystème font face à de nouveaux prédateurs, et doivent migrer elles-mêmes ou disparaître. C’est notamment le cas d’insectes ravageurs, comme la processionnaire du pin, qui menacent désormais les forêts au nord de leur habitat naturel. Quand une espèce ne peut pas migrer, elle peut s’adapter. C’est ce que remarque l’étude en recensant les mécanismes d’adaptation au réchauffement climatique chez les plantes : « Les individus avec les génotypes les plus favorables seront sélectionnés », note le rapport, en décrivant par exemple des stratégies « d’optimisation du rapport reproduction/production » chez les plantes d’Australie, qui produisent moins de graines mais les font plus résistantes à la sécheresse. D’autres espèces, comme une variété de moutarde (Boechera  stricta), avancent leur date de floraison (de 0,34 jours par an pour l’espèce en question) pour mieux profiter du changement des saisons."

Pourquoi-certaines-espèces-s'adaptent-au-changement-climatique-mais-à-quel-prix-et-d'autres-non

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Dans l’harmonie terrestre (où les plantes font de la musique symphonique et où tous les animaux participent du MÊME orchestre célébrant la vie commune, etc.) des voyous incultes et barbares aveuglés par une folie qu’ils nomment profit (profit qui n’existe d‘ailleurs pas puisque c’est toujours un…coût pour les autres) détruisent cette splendeur insurpassable, pour un …monde toujours plus invivable. Leur argent fou détruit la santé, les systèmes immunitaires à coup d’émeutiers endocriniens, ces vrais « casseurs » de l’ordre universel. Leur argent sale saccage la nourriture, l’eau, l’air, la fertilité des sols et des humains, etc. (et des kilomètres de prédations insensées). Qui peut faire PIRE que ces voyous devenus complètement fous ? Que plus rien ne semble raisonner : comme ceci (lorsque l’habit fait le patrimoine…).

 

« Les gens habillés d’une certaine façon n’ont jamais tort. En plus, ils ne pètent jamais, Car, s’il y en a un qui pète dans la pièce où ils sont, tu peux être sûre que c’est toi la fautive. D’autant plus, qu’ils ne te laissent pas parler. Si tu disais ce n’est pas moi, tu recevrais un il y en a assez de ton insolence [[ mais pas de la leur ?]], un coup de pied dans le derrière et à la rue [[et pas eux ?]] (p. 48 - Margaret Atwood, Captive, 2003). » Oui nous sommes tous « captifs » de ces trop évidents malades ! Nous les vrais vivants, toujours du côté de la vie et de sa si merveilleuse Nature, détenons tous les droits, tous, de stopper de tels cancres, de tels arriérés obtus, de tels véridiques semeurs de troubles publics [[déguisés en faux dirigeants]], de tels chus par insistance à toujours déchoir :

 

……..Et, à leur choix (et pour le bien de toutes et tous), la prison ou l’asile !

 

…......…………..(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Désynchronisations des espèces ?
Désynchronisations des espèces ?
Nous sommes une espèce d’espèces : oui l’espèce humaine, une, il n’y en a pas plusieurs - ce qui rend tout racisme…impossible, puisqu’il n’y pas DES races mais UNE SEULE espèce humaine. Avec des différences mais sans rien de séparé, à part, ni d’indépendant des autres.

Nous sommes une espèce d’espèces : oui l’espèce humaine, une, il n’y en a pas plusieurs - ce qui rend tout racisme…impossible, puisqu’il n’y pas DES races mais UNE SEULE espèce humaine. Avec des différences mais sans rien de séparé, à part, ni d’indépendant des autres.

Classer n’est pas, obligatoirement, déclasser mais penser à l’unité de l’ensemble…

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déséquilibres des espèces !

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Désynchronisations des espèces ?
La responsabilité des humains est donc…écrasante (notamment celle de l’argent fou) et de la dénier…oui le renier dans la niaiserie de blablater sur le « réchauffement » climatique alors qu’il s’agit d’un…changement anthropique immense – fait bien rejoindre le sens de « niais » à ce qu’il niait, niaiserie venant du verbe …NIER. Clair ?

La responsabilité des humains est donc…écrasante (notamment celle de l’argent fou) et de la dénier…oui le renier dans la niaiserie de blablater sur le « réchauffement » climatique alors qu’il s’agit d’un…changement anthropique immense – fait bien rejoindre le sens de « niais » à ce qu’il niait, niaiserie venant du verbe …NIER. Clair ?

Permutations si perverses des causalités : c’est l’environnement qui prend l’initiative d’aider les gouvernements. Et plus l’inverse !

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sommes-nous désynchronisé-e-s ?

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et il n’y a donc pas de perturbateurs…endocriniens ? Le pire des émeutiers étant l’argent fou et qui se veut…irresponsable. Mais que font les Crs contre ce si dangereux perturbateur ?

et il n’y a donc pas de perturbateurs…endocriniens ? Le pire des émeutiers étant l’argent fou et qui se veut…irresponsable. Mais que font les Crs contre ce si dangereux perturbateur ?

L’homme n’est pas au sommet bien intouchable, mais dans une partie "eucaryotes" du cercle global…soit solidaire ou destructeur du tout.

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« Le changement climatique observé depuis le début du XXème siècle affecte d’ores et déjà de manière discernable les écosystèmes et sociétés : modification du calendrier biologique et de la répartition de centaines d’espèces animales et végétales, installation permanente de vecteurs et pathogènes transportés par l’homme »

« Le changement climatique observé depuis le début du XXème siècle affecte d’ores et déjà de manière discernable les écosystèmes et sociétés : modification du calendrier biologique et de la répartition de centaines d’espèces animales et végétales, installation permanente de vecteurs et pathogènes transportés par l’homme »

comment s’espècialise une espèce ?  Spécialités et spécialistes ; ce qui empêche de comprendre les autres ! Sauf s'il y a un Tout !

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coraux tendus vers quoi déjà ?

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ET NOUS ? Dysfonctionnements de l’horloge biologique...

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si l’océan meurt figé dans le pastique, soit le pétrole que le carbonifère (pour pas de carbone dans l’air) avait décidé d’enterrer… pas de le dilapider pour des gamineries de voitures individuelles et autres preuves que le consumérisme c’est la folie répandue partout…le désastre, si la direction collective ne change pas, ce sera ENTIÈREMENT LA FAUTE des conformismes plus que malsains…

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Désynchronisations des espèces ?
Sénat : méconnaissance des données

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Désynchronisations des espèces ?
« L’effet papillon » ; selon ce dernier, à l’échelle infiniment complexe de la planète, un facteur en apparence négligeable peut avoir, au terme d’une longue chaîne de causalités, des conséquences monumentales…les crétins au sommet ont méconnu exprès les grains de sable !

« L’effet papillon » ; selon ce dernier, à l’échelle infiniment complexe de la planète, un facteur en apparence négligeable peut avoir, au terme d’une longue chaîne de causalités, des conséquences monumentales…les crétins au sommet ont méconnu exprès les grains de sable !

La biodiversité et les… parentés entre êtres vivants

La chaine de causalités et la chaine de responsabilités. Lorsque causalité = responsabilité.

Le buisson du vivant. Espèce d'espèce. l'extraordinaire diversité du vivant, systématique et phylogénie.

Jonathan Lenoir, Ecologie et Dynamique des Systèmes Anthropisés, Jules Verne University of Picardie

Synchronisations des cerveaux…Dr. Miguel Nicolelis Explains Brain to Brain Interface Study Published in Scientific Reports

Carole Smadja - Aux frontières entre espèces : à l'origine de la diversité biologique

Espèces d'espèces

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