Comment la technologie inaffective fait religion ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Comment la technologie inaffective fait religion ?

C’est parce qu’elle est si…insensible que la technologie détraque certaines têtes. Disons clair que la technologie n’est pas un savoir adulte qui se comprend lui-même, soit qui peut entrevoir toutes les conséquences de ses choix et qui, de ce fait, va tenter d’en protéger les humains. Non, cette arrogance démesurée (la science précède et la technologie ne fait que…suivre – et elle n’a, assurément, aucun des moyens mentaux de son orgueil fou.) n’est jamais recadrée et l’animal frustre et dément jamais dompté ! C’est la science et sa sagesse qui comptent, pas la technologie uniquement idolâtrée par des cœurs trop secs…

Puisque que voyons-nous ? Cette technologie capricieuse, devenue technocrate volage, qui CENSURE (ainsi) les sciences et ses apports qui ne…lui conviennent pas (alors que sans les sciences pas de technologies !). Ce suicide sociétal ne doit plus continuer. Remettons les technocrates à leur place…subalterne (comme les comptables, ils ne doivent absolument plus décider pour nous – leur fonction doit rester consultative !). Ils ont fait bien trop de mal. Et se distinguent même par leurs fuites devant toutes responsabilités. Ce que ne font jamais les véritables savants !

Homo-deus-la-technologie-cette-religion-performative-(qui-dit-au-lieu-de-bien-faire-!)

« Homo deus » (voir également « D’Homo Sapiens au transhumain : qu’est-ce qu’être humains ? »), le précédent livre de l’historien Yuval Harari (Wikipédia, @harari_yuval), cette grande fresque de l’humanité a permis à des millions de lecteurs de se sentir plus intelligents, de comprendre notre aventure humaine sur plus de 300 000 ans, de s’ouvrir à une autre échelle de temps afin d’éprouver notre humanité, comme l’avaient fait avant lui, dans des styles différents, des historiens comme Arnold Toynbee ou Jared Diamond par exemple. En magicien de la vulgarisation, Harari nous avait fait comprendre que ce qui nous a distingué des singes, c’est notre capacité à raconter des fictions, à énoncer des histoires (comme les religions, les États, l’argent ou la loi) nous permettant de coopérer à vaste échelle, ce que les groupes de singes sont encore incapables. Chaque lecteur s’est régalé de cette vision holistique, de ses formules saisissantes, des points de vue décalés, des exemples truculents et toujours pertinents dont use l’historien. Que ses fans se rassurent, ils retrouveront tout cela dans son nouvel ouvrage, Homo Deus. Yuval est toujours un formidable conteur, passionnant de bout en bout !

Pourtant, en utilisant les mêmes ficelles, cette suite est beaucoup moins réussie. D’abord, parce que si Sapiens se terminait sobrement, prophétisant la possible fin de l’humanité, cette suite prend un tout autre chemin : celui d’envisager notre propre dépassement en tant qu’espèce. Reprenant une vulgate commune, Harari estime que la technologie va nous permettre de nous affranchir de toutes nos limites, oubliant peut-être trop rapidement que notre domination du monde ne repose pas sûr le dépassement de nos seules limites, mais aussi sur le dépassement des limites de notre environnement tout entier [[ et cela c’est la domaine des véritables sciences, que la technologie, trop financée et trop cupide, se permet d’écraser sous son poids…d’inculture, une Humanité où la technologie fait cavalier seul n’a pas d’avenir…puisque qu’elle se laisse noyauter par la démence de l’oligarchie d’argent qui, dans ses beuveries de prétendus profit, se prend, au minimum, pour Dieu…triste destin !]]. En extrapolant [[ hasardeusement…]] des tendances à la manière d’un Hari Seldon, célèbre psychohistorien de science-fiction capable de prédire l’avenir de l’humanité sur des milliers d’années, Harari signe un essai de science-fiction où il pousse ses propres biais jusqu’à leur caricature. En appliquant son stimulant schéma d’explication du monde à l’avenir, Harari en éprouve les limites, celles d’un gênant réductionnisme, souvent très schématique et désastreusement libéral.

L’hubris de la techno, par nature, consiste à dépasser toutes les limites. Surtout les plus fondamentales, celles du temps, de la vie, de l’espace et de la matière. Pourtant, avons-nous vraiment dépassé l’une d’entre elles comme nous le racontent les prophètes des technosciences ? Si nous avons repoussé la mort, nous n’avons pas dépassé la durée de vie naturelle de notre espèce et pour l’instant, malgré des décennies d’annonces, rien ne nous assure que nous y parviendrons vraiment. Nous sommes certes allés dans l’espace, mais nous sommes parfaitement incapables d’envisager les seuls voyages importants, les voyages interstellaires, permettant de nous conduire sur d’autres mondes habitables à des milliers d’années de notre planète. Nous ne savons toujours pas créer de la matière depuis des éléments fondamentaux. Et nous n’avons découvert aucune prise sur le temps.

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Ces échecs n’empêchent pas Yuval Harari de faire sien le prophétisme technologique, qui ne cesse d’annoncer ces réalisations à venir, soulignant combien l’imaginaire transhumaniste ne nous convainc pas. Son récit qui nous projette dans un dépassement de nous-mêmes en tant qu’espèce semble si puissant [[ pour les adorateurs de l’opium du peuple, uniquement !]]  qu’il permet de croire qu’on sera capable de le réaliser [[ ah bon, en vassalisant les sciences et en censurant leur si nécessaire esprit critique ? Voir les dérapages incontrôlés d’un Trump !]]. Ce serait peut-être possible, si nous n’avions pas déclenché un compte à rebours qui éloigne l’objectif à mesure qu’on cherche à s’en rapprocher.

Comme le dit Yuval Harari, nos constructions conceptuelles contemporaines sont encore plus puissantes que les religions et c’est pour cela qu’elles les détrônent. La technologie notamment va plus loin encore [[ uniquement ceux et celles que les « croyances » approximatives des autres peuvent terrasser !]]. C’est une religion performative, qui tente d’accomplir ce qu’elle annonce [[ donc irrecevable, puisqu’elle ne se glisse que dans la forme…dictature, sans débats possibles…]]. En cela elle « se croit » toute puissante. Le risque est d’oublier que malgré sa prétendue puissance, la technologie est aussi et avant tout un moteur de notre imaginaire, une représentation, une manière de nous convaincre de nos caprices sans limites [[ bref, l’aspect « science fiction » des dérives technocratiques n’a jamais échappé aux esprits libres !]]. La réalité montre plutôt que ces rêvasseries (qui veulent échapper à toute vraie réflexion !) vont être très difficiles à réaliser [[ fort heureusement, puisque vu l’insensibilité si inhumaine des technocrates…il ne vaut mieux pas !]] . La limite intrinsèque des ressources naturelles de la planète ou le défi climatique viennent réclamer leur dû[[ qui n’est pas de fiction…]]. Nous allons avoir du mal à abandonner notre condition d’autant plus quand ce que nous avons saccagé se rappelle à nous. Non seulement nous avons été incapables de penser notre environnement jusqu’à le détruire [[ la Terre étant toujours traitée comme « moins réelle » que les rêvasseries imprécises nommées pays ]], mais nous avons été aussi incapables de nous penser en tant qu’espèce [[ l’Humanité, autre forte réalité inter planétaire, n’est toujours pas née…à elle-même…la prétendue « mondialisation », sans les peuples réels, en est bien le pire délire…la bourgeoisie n’ayant jamais quittée « sa » trop malsaine métaphysique !]], de dépasser nos récits coopératifs pour prendre en compte le temps, la matière, l’espace et la vie.

En soulignant combien dieu est un récit dépassé, régénérer cette perspective en faisant de l’homme un dieu, comme nous y évite Homo Deus, n’est-il pas une perspective vouée à l’échec ? Si dieu n’existe pas, comment l’homme pourrait-il en devenir un ?, pourrait-on répondre à Harari [[ les faits néants technocrates seuls y parviennent, mais dans quel état…d’aliénation !]].

Comme bien des technoprophètes, [[ en très chaise longue ]], Harari fait de la science une fiction. Son défaut si commun est une sur-rationalisation, sans voir combien cette illlogique de l’efficience parfaite, absolue, produit pourtant des abSurdités… Chez Harari, la notion de progrès semble n’avoir connu aucune critique : il est toujours infini [[ surtout s’il écrase les grandes majorités d’humains…]]. En projetant des régularités passées sur l’avenir, il déduit des progrès linéaires de la science des percées à venir exponentielles. C’est ainsi que de constats justes on dresse des perspectives fausses. À nouveau, la disparition des ressources, la grande extinction, le réchauffement climatique qui pourraient conduire à la disparition même de la vie sur Terre, semblent des perspectives peu importantes pour les dieux que nous sommes appelés à devenir [[ donc des dieux oDieux ?]]. Reste que ces considérations-là pourraient bien pourtant nous empêcher d’atteindre un quelconque Olympe si peu olympique.

Au final, Harari brode son récit d’un avenir qui ne fait rêver personne, sans poser vraiment la question de la finalité : [[ à quoi sert toute la quincaillerie des technocrates égarés ?]]…voulons-nous vraiment vivre 1000 ans ? Voulons-nous vraiment quitter notre condition [[ avant de seulement l’avoir vécue…vraiment collectivement…]] – ce qui implique notamment de ne plus faire des enfants comme nous les faisons puisque ce n’est pas la manière la plus optimale ? Voulons-nous vraiment la société inégalitaire et de contrôle total que cela implique ? Comment être heureux si nous nous coupons de la seule chose qui finalement nous rend heureux : « les sensations agréables » [[ sans omettre les sentiments et les élans altruistes ]] ?

Comme le dit Harari, la plus grande découverte scientifique a été celle de l’ignorance, car elle nous a permis de partir à la recherche de la connaissance [[ que l’argent fou a abandonné depuis longtemps – et que « ses » médias puérils sont si incapables de seulement relayer…]]. Il est sûrement temps de se souvenir de ses immenses vertus, plutôt que de chercher…

…… à nous faire « croire » que tout est résolu ou que tout va l’être.

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Soit – afin d’aller tout au fond du débat - comment nous limiter dans nos pulsions colonialistes envers les autres ? Ne sont surtout pas probants les exemples des délirants capitalistes avec leurs « dérégulations » que pour eux seuls puisque assorties d’actes trop liberticides envers les peuples. Ils disent donc « pas du tout de règles pour nous » (dérégulation c’est ce qui dé-règlent les humains !) mais infinies restrictions pour vous…C’est ce qui semble le fonds (très inconfortable pour les autres !) de cet « homme-dieu » !

Sauf qu’il y aurait des anticorps dans la pensée technocratique même ? L’économie si dissymétrique (je fais tout et je vous empêche de faire), deviendrait…comportementale. Soit le nudge…Voyons, à ce moment, ce nudge-panacée agir dans nos vies…réelles. Nudge, design, expérimentations et politiques publiques … « Dans une table ronde sur le Nudge dans les institutions publiques, Xavier Troussard, responsable de l’unité comportementale au Laboratoire des politiques européennes de l’Union européenne soulignait combien les sciences comportementales étaient complémentaires au design, notamment parce que l’un comme l’autre étaient attentifs au contexte et à l’évaluation. Pour Françoise Waintrop, en charge de l’innovation à l’ENA, le Nudge et le design sont de nouvelles façons pour faire des politiques publiques… et il est important de les croiser [[ et pas que ces 2 disciplines !]]. Ce sont deux outils qui permettent de montrer que les politiques publiques ne doivent pas se faire que par en haut, mais doivent surtout se faire depuis le terrain. Dans un cas comme dans l’autre « l’enjeu est de transformer la culture des administrations [[ surtout celles du privé hyper bureaucratisé, lui, voir J.K. Galbraith]] », complète Xavier Troussard.

Où-en-est-le-nudge-?-L'incitation-en-ses-limites

Pour Faisal Naru, responsable de l’unité comportementale de l’OCDE, l’enjeu est également d’introduire de l’expérimentation dans les politiques publiques, car adapter un Nudge qui a fonctionné quelque part à un autre contexte n’est pas si simple. Troussard évoque par exemple l’expérience d’introduire une loterie sur les tickets de caisse pour encourager les paiements par cartes bancaires, comme l’a expérimenté Bergame en Italie. D’autres lieux en Europe ont essayé d’introduire ce Nudge, mais plusieurs ont renoncé. Les Nudges ne sont pas tous transférables, ce qui pose des limites à la question de la coopération à ceux en charge des politiques comportementales. Si l’inspiration et l’échange des bonnes pratiques est importants, à l’image des exemples que propose la base d’exemples documentés TEN, le réseau européen du nudging, la standardisation est difficile et dépend toujours du contexte. Avoir un impact nécessite de trouver des leviers qui permettent d’agir non seulement au niveau des comportements individuels, mais surtout au niveau des comportements collectifs, conclut Faisal Naru.

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Mais qu’est-ce qu’un comportement ? Pour le spécialiste en psychologie sociale, Nicolas Fieulaine, la question du comportement est compliquée. « Un comportement ne reflète pas une intention et inversement, une intention ne reflète pas un comportement ». Agir ne signifie pas non plus avoir pris conscience. Prendre les escaliers une fois ne veut pas dire qu’on va les prendre tout le temps. L’enjeu, plus que de parler de rationalité, consiste à parler de rationalisation, de renouer un contrat avec ses gestes. La magie du Nudge opère souvent a posteriori, comme une évidence. Mais pour arriver à ces évidences, cela demande de mettre les modèles en situation, de démultiplier les expériences. Dans le domaine, c’est en concevant des démarches qu’on produit de la science [[ ce que ne semblent pads apprécier les médias immobilistes pour qui surtout pas d’expérimentations qui fassent sortir des routines des infondées hiérarchies sociales…]].

Pour Coralie Chevalier, chercheuse en sciences comportementales à l’INSERM, il n’y a pas de solutions simples à des options compliquées. Comprendre les obstacles cognitifs, ne veut pas dire trouver des solutions. Le plus important est de mesurer les effets, pour apprécier la qualité de la réponse aux problèmes. Le livre Nudge a répondu à un moment particulier, celui de la désillusion de l’approche rationnelle… estime encore Nicolas Fieulaine. Nul n’a envie d’aller vers des modèles de contraintes qui créent surtout du refus. Le Nudge permet de trouver un entre-deux, entre contrainte et liberté. Olivier Oullier (@emorationality), spécialiste en sciences comportementales, qui a été l’un des promoteurs du Nudge en France, notamment via ses travaux réalisés pour le Centre d’analyse stratégique du gouvernement, n’est pas d’accord. Le Nudge n’est qu’une modalité parmi d’autres. L’enjeu pour les politiques publiques est d’arriver à prioriser. Or, les radars, les contraventions, les interdictions… Ça marche aussi ! Le Nudge, en agissant sur les comportements finaux, invite à regarder les usagers autrement. À remonter le fil des questions : pourquoi les gens fraudent-ils ? Pourquoi la vaccination recule-t-elle ? Pourquoi les gens ne viennent pas chercher l’aide sociale dont ils pourraient bénéficier ?… En regardant les comportements, on peut trouver de nouveaux leviers d’innovation.

Reste que ce n’est pas si simple, comme le montre Olivier Oullier dans son intervention que le sujet de la prévention dans le domaine de la santé. Trop souvent, la prévention en reste à l’information. Or, ce n’est pas parce qu’on est bien informé… que nous faisons de bons choix. 26 % des médecins fument et dans certains pays, la proportion de médecins fumeurs est plus élevée que la proportion de fumeurs dans la population générale. La connaissance n’est donc pas toujours très bien mobilisée.

La prévention a un autre ennemi : même quand on est informé par des données, cela n’est pas toujours convaincant pour autant. « Trop souvent, pour comprendre les patients, on se contente de leur demander de verbaliser ce qu’ils pensent plutôt que de regarder ce qu’ils font ». Les autorités comme les grands groupes prennent une partie très significative de leurs décisions stratégiques depuis des données basées sur de la verbalisation. Si tout le monde se dit concerné par l’environnement, cela ne veut pas dire que l’environnement soit en réalité notre principale priorité parmi toutes celles que l’on a à gérer. »… D’où la face extrêmement cachées des Nudges, celle des « nudges sensoriels » comme outils de pouvoir (faire faire aux humains ce que nous voulons et qu’ils pensent que c’est véritablement à fond leur choix :!) ? Ce qui est encore, et toujours, mettre la charrue avant les bœufs, placer la conclusion dans l’introduction (sans le déploiement loyal des argumentations promises), tout faire à l’envers ( le résumé des agitations incohérentes de l’époque ?), etc. Bref, de ne pas mettre les bons humains aux bonnes places – soit ces anticonformistes qui ont su, si lucidement, résister au système de mort capitaliste (mort par absence de sentiments…humains !). Eh non, non, puisque les « médiocrates » (avec des cœurs si minuscules que, souvent, nul-le ne les voit !) se permettent, au lieu d’écouter bénéfiquement de les…persécuter et évincer suicidairement…tout en rêvassant à l’homme-dieu technologique (sans sentiments, jamais, nous sommes mal barrés…).

Grâce aux documents diversitaires joints, vous pouvez vérifier à quel point cet homme dieu n’est, de la sorte, que le dieu de la production, donc des grands gaspillages injustifiables, de l’inconscience affective et de l’irresponsabilité ?

Les prétendues prophéties technocratiques ne sont en fait que des promesses ajoutées à d’autres promesses !

……………………………Elles ne pré – Voient rien du tout !

 

…….......…(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 600 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Comment la technologie inaffective fait religion ?
Le statut des technocrates qui n’admettent pas que les vraies sciences les précèdent immanquablement

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décider pour autrui - tout en admettant que la responsabilité reste entièrement sienne !

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de Xavier Troussard…la bonne hiérarchie c’est le sommet qui peut aller…en prison. Lorsqu’il déraperait !

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mettre « ta santé est en haut de l’escalier » est-ce vraiment si adéquat ?

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Nous ne sommes pas tous dans le même bâteau, peuvent dire les lunatiques en costards-cravates...

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Antaios – vouloir …soit la voie vers l’hubris-démesure ?

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réponse avec le crocodile de saint martin

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Méconnaître la réalité c’est la faire subir aux autres !

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L'industrie a su coller à la loi de Moore depuis les années 60. Mais la mobilité (processeur Atom) est un des exemples de cas d'usage où le respect de cette loi n'a plus cours. Surtout, depuis 2004, l'artifice des processeurs multi-cœurs indique qu'il s'agit de s'affranchir de cette loi pour faire progresser la recherche. (Source : Wikipédia)

L'industrie a su coller à la loi de Moore depuis les années 60. Mais la mobilité (processeur Atom) est un des exemples de cas d'usage où le respect de cette loi n'a plus cours. Surtout, depuis 2004, l'artifice des processeurs multi-cœurs indique qu'il s'agit de s'affranchir de cette loi pour faire progresser la recherche. (Source : Wikipédia)

Olivier Oullier se fait provocateur. Il n’apprécie pas beaucoup les catégorisations, qui, si elles nous simplifieraient la vie, se révèlent bien souvent facilement dichotomiques. Il n’y a pas d’un côté l’émotion et la rationalité, le système 1 et le système 2, le méchant et le bon… Même quand on endort notre rationalité, on ne prend pas pour autant des décisions irrationnelles ! L’inverse est aussi vrai. Fumer ou manger un pot de Nutella ne présente aucun intérêt pour notre santé, et pourtant…

Olivier Oullier se fait provocateur. Il n’apprécie pas beaucoup les catégorisations, qui, si elles nous simplifieraient la vie, se révèlent bien souvent facilement dichotomiques. Il n’y a pas d’un côté l’émotion et la rationalité, le système 1 et le système 2, le méchant et le bon… Même quand on endort notre rationalité, on ne prend pas pour autant des décisions irrationnelles ! L’inverse est aussi vrai. Fumer ou manger un pot de Nutella ne présente aucun intérêt pour notre santé, et pourtant…

Boris Cyrulnik, le cerveau a besoin de la richesse du banal…Car ? Car la technologie par sa vitesse et son…inaffectivité (inexcusable !) génère plus d'informations et de problèmes que le cerveau n'est capable de traiter. En l'entrainant dans ses représentations coupées de la réalité sensible ( donc en nous faisant vivre des déréalités semblables au délire), la technologie peut aller jusqu'à aliéner les capacités du cerveau (tellement plus, d’après toutes les apparences, que de prétendues drogues !). D'où la nécessité de se relier à la…richesse des rituels de la banalité, "trésors de la nature humaine ».

L’homme dieu sans sentiments aucuns ? OLIVIER OULLIER - QUAND LES NEUROSCIENCES REVISITENT LE MARKETING (pas assez « efficace » !).

Comment L'Homo sapiens a-t-il pu terrasser tous ses autres rivaux ? Par son pouvoir de….FICTION ! S‘il n’inventait pas, ne (se) racontait pads des histoires, les humains ne seraient rien. Et donc ? Les conformistes, figés dans leurs refus de comprendre et de vérifier, d’expérimenter et d’aller voir par eux-mêmes, disent l’inverse. Il est, enfin, prouvé à quel point ils ont tort. Et à quel point leur (si rétrograde) mauvaise volonté insistante empêche l’Évolution naturelle !

Après le succès planétaire de Sapiens, une brève histoire de l’humanité, Yuval Noah Harari signe Homo deus. Une brève histoire de l'avenir. Une projection prétendue saisissante sur les grandes transformations qui nous guettent (donc pour nous faire tomber dans leurs guet… apens... ?).

Les « nudges sensoriels » comme outil de pouvoir | David Thomas

Publié dans qui fuit le réel

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V
Un petit pour vous dire que votre blog est super!
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