Le long maintenant ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Le long maintenant ?

Tout comme long temps c’est longtemps, le long maintenant se maintient plus longuement. C’est que le long terme ne met un terme à aucun terme. Lorsque le court terme coupe la parole aux mots si sensés  et si sensitifs : le court terme empêche chaque terme de signifier. Et ? Se fiant au signe, au signifiant, nous savons, d’expérience, à quel point ces médiocrates sont les plus toxiques des ennemis de la civilisation...

Oui, à une époque, limitée dans le temps, de médiocratie où rien n’aurait de sens que les agitations absurdes des médiocres – le langage non plus n’aurait pas de sens. Pas même de sons, de sons audibles et si présents, ici et le maintenant. A ce point de reniement du réel - ce son si assidu n’aurait, lui non plus, aucun sens, il est arbitraire, relié à rien, n’est là que pour ne rien dire, il signifie toujours à côté mais jamais en plein dedans. A se demander pourquoi la réalité serait aussi compliquée, dissimulatrice et tortueuse que nous ? Bien, les médiocres, sans jamais aucune ambition pour les autres et se permettant la mégalomanie de « tout savoir » sans avoir rien vécu, ressenti, aimé et expérimenté et reniant toutes les traditions d’intelligence et de sensibilité, sont bien en train de démontrer que toutes les catastrophes de ces derniers temps courts sont bien dus à leurs vénéneux effondrements moraux. Le délirant court terme est pris de…court ! Ne voulant jamais fournir le moindre effort, rien de ce qu’ils disent ou désécrivent n’a de sens, aucun son ne sonne bien avec eux…bref, ils/elles n’auront semé que des échecs partout. Sauf que ces échecs sont les leurs – pas du tout les nôtres. Bien au contraire !

**** Temps de s’affirmer très ambitieux/ses pour tous : le long terme ne met, lui, un terme à aucun terme. Il laisse libre le sens de signifier…et l’écoute avec bon sens…Lorsque le court terme « ne sait que » couper la parole aux mots sensés (pleins de sens et de bon sens) et si sensitifs : l’irresponsable court terme interdit, concrètement, à chaque terme de signifier. Ce court terme se montre donc vraiment…insensé (puisque trop insensible !)…Lorsque le long maintenant maintenant la main tenante et aboutissante c’est la diction qui prend tout son temps, le nôtre, le leur et même le tien, oui la diction au long terme prend son temps pour dire tout son dictionnaire articulé. Chaque mot se voyant agrandi de tous les autres en structures spatiales qui se visualisent comme des galaxies, des galaxies de galaxies et des milliards de milliards d’étoiles. Le court terme c’est la famine sociale, le désert des conneries et l’impossibilité de vivre et de ressentir l’intelligence…Ce pourquoi les arriérés médiocrates ont sorti, à la sortie des années 1970, ce terrifiant « on ne publie pas les génies »…comme disait leur couturier « Si vous en êtes dégoûtés [[ des génies]] pourquoi en dégoûtez-vous les autres ? » (archives de l’INA). Ne supportant ni la sensibilité, ni la beauté, ni la générosité, ni la fulgurance, ni l’intelligence ces barbares insensibles ont inventé le gang des imbéciles qui font barrage à tout le grand meilleur de la civilisation. Ce pourquoi personne ne parle du long maintenant. Qui lui se maintiendra…Longtemps c’est long temps et court temps n’a toujours rien fertilisé…

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Cap-sur-le-long-maintenant-mais-comment-?

« RAPPORT D’ÉTONNEMENT. Parce que c’est aujourd’hui que l’avenir se prépare,[[ ce pourquoi le libéralisme doit être annoncé comme un grave danger public, pour le moins…]] une fondation étasunienne cherche à nous inciter à penser à très, très long terme. [[ ce qui , apparemment, les humains dits « normaux » ne font plus – ce qui décèle une dramatique carence dans leurs têtes vraiment « mal faites » ! Le long terme c’est le très sérieux et le très réfléchi de la pensée lorsque le court terme n’est que caprices irréfléchis et impossibilités de se montrer, un jour,…sérieux !]]. Avec notamment une horloge qui sonnerait à chaque millénaire. Cette « l’Horloge du long maintenant », reste conçue pour durer 10 000 ans [[les séquences de conséquences de ce que nous faisons si insensibles à nos nuisances peuvent donc durer…10 000 ans ?]]. Fabriquée en matériaux indestructibles, la véritable horloge, en cours de construction au sommet d’une montagne, au Texas, sur la propriété du patron d’Amazon, Jeff Bezos – un des financiers de ce projet fou –, sera suspendue à 90 mètres de hauteur. Actionnée par des procédés mécaniques, se réglant sur la lumière solaire, sa petite aiguille avancera d’un cran une fois par an, la grande, tous les cent ans, et elle carillonnera à chaque… millénaire. [[Le bon…espace espacé pour savoir ce que penser veut dire !]].

Le site de la Long Now Foundation:       http://www.longnow.org

Les promoteurs de la Fondation du long maintenant, créée en 1996, sont des personnalités connues de la contre-culture expérimentale et high-tech. Le nom de l’institution a été trouvé par le musicien britannique Brian Eno, un des pionniers de l’ambient music et du ­sampling. Il en explique le concept de base sur le site ­ Longnow.org : « Nous devons agir de telle manière que nos actes présents s’inscrivent dans la perspective d’un temps très long. » Car, rappelle Eno, « il n’y a pas si longtemps nous avons accepté l’esclavage (…), employé les enfants dans les mines (…), [rejeté] les voix des femmes (…), considéré des humains comme des sauvages », autant de certitudes qui nous semblent aujourd’hui inacceptables. Or, à ces époques, quelques personnes déjà refusaient ces comportements, et étaient capables de concevoir, « avec une foi totale », un monde dépourvu de ces réalités. Et pourquoi ? Parce qu’ils pensaient à l’avenir de l’humanité « sur le long terme », refusant les avantages minables de la très grande lâcheté du court terme »…Ce sont eux nos héros et l’effondrement moral des médiocrates est que leurs médias mainstream ne parlent…jamais de ces grands esprits. Parce qu’ils sont complètement incapables de les comprendre ? De les ressentir et de les aimer ? Parce qu’ils sont trop mesquins et avares pour cela ? il y a eu les beautiful people, sommes-nous à l’âge trop sordide des ugly people (avec des vies intérieures ténébreuses qui sont tellement…repoussantes ?) ? Le long terme fait le vraiment bon tri : aucun mais aucun médiocrate ne s’y trouvera.

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Bonheureusement-:-Yale-l'université-se-met-à-proposer-des-cours-de-bonheur

L’aveu institutionnel est limpide : apprendre le bonheur c’est le long maintenant, ce long terme qui maintient l’essentiel. Et les autres…savoirs, trop corrompus par le court terme, la pression illégale des intérêts particuliers, par les médias fous et l’argent égaré (même si certains de leurs membres y maintiennent la clairvoyance du long terme) oui ces autres savoirs ne sonnent pas aussi puissamment. Le court terme – ce comble insurpassable de la bêtise – les aura tant…dénaturés. Y « apprendre le bonheur » devient d’admettre que les savoirs humains ont trop perdu à avoir quitté le long terme, le terme vocabulaire qui en dit nettement le plus !

La-langue-épouse-t-elle-les-accélérations-du-temps

 « « M » prend la mesure du temps et s’intéresse aux façons de le remonter, de le vivre, de le maîtriser… Comme lorsqu’on écrit des textos à vitesse grand V, contractant les mots pour rester dans la fausse immédiateté.

« Mon effort pédagogique se heurte régulièrement à des ignorances et des confusions immenses : parler de langage SMS n’a pas de sens, par exemple. Ce simple code graphique soulève un problème d’évolution possible de l’écriture, mais pas un risque pour la langue française ! », confie le linguiste le plus connu de France, Alain Rey, quand on l’interroge sur la manière dont notre langage évolue avec le temps [[ avec le long temps]]. S’il s’emporte aussi vivement  c’est parce que les discussions actuelles ne sont qu’une manière de « réaliser avec naïveté que le langage ne correspond plus à notre manière de penser aujourd’hui… » [[alors que ce sont ces manières de penser qui ne « correspondent » plus du tout avec le langage !]]. Et s’il questionne alors le besoin de remédier aux inégalités de genre « en inventant des fictions graphiques infernales, impraticables et ridicules », il reconnaît aussi que « chaque réflexion sur le langage est dans une suite de paradoxes, entre l’écrit et l’oral, la lexical et le grammatical »… On comprend vite qu’interroger les liens entre notre rapport au langage et notre vécu du temps, c’est ouvrir un vaste champ de réflexion.

Par où commencer, dans ces conditions ? Sans doute par cette impression partagée de contraction généralisée de notre langage [[ le langage n’est pas plus contracté, il reste intact, ce sont certaines manières de ne plus s’exprimer qui avouent les crispations et les contractions de qui…fuit le réel…et bégaye dans son vide !]]. « On use de nouveaux mots qui simplifient le monde [[faux… les mots ne peuvent simplifier – c’est la vision simpliste, puérile et non fiable de l’émetteur qui est, ainsi, décelé…pas le magnifique langage trahi… ]], on les contracte, ou on use d’anglicismes dont le sens est déconnecté de leur signification originelle, on essaie ainsi d’aller plus vite [[ ceci se nomme évite vite…]] et on modifie notre façon de parler », constate l’écrivain et ancien journaliste du Monde Robert Solé, qui décrypte chaque semaine un mot d’actualité pour Le 1. « Nous employons des milliers d’anglicismes que les Anglais ne reconnaissent pas quand on en parle : aucune prononciation n’est conforme à l’original anglo-saxon », remarque aussi Alain Rey, fasciné par l’influence des termes issus des côtes californiennes tels « slam », « rap », « hip-hop », « graph »…

La linguiste Aurore Vincenti, auteur des Mots du bitume ( 222 pages) voit, elle, dans ces nouveaux usages et ces troncations « le désir de transformer la langue, de lui faire dire d’autres choses et la faire résonner autrement, et c’est une bonne chose ! » [[ sauf que cet effort de bonne chose se trouve bien mieux synthétisé dans la diction du dictionnaire…]]. Une opinion qui va de pair avec le temps nécessaire pour qu’un néologisme devienne courant. De quelques années, on est passé à quelques mois, puis de quelques mois à quelques jours, et maintenant, quelques minutes. « Le mot “selfie” s’est imposé comme une traînée de poudre, le changement est quasiment instantané dans les médias », remarque le rédacteur en chef des publications du Le Robert.

Notre rapport aux conjugaisons aussi évolue. « On touche là au fonctionnement interne de la langue, à sa temporalité avec des choses perverses comme le futur du passé », sourit Alain Rey. De fait, pas une langue, parmi les milliers qui existent, ne se passe des mots du temps, ne serait-ce que l’opposition passé-présent-futur qui construit notre image de nous-mêmes et du monde. Selon Aurore Vincenti, : « La conjugaison découpe le temps avec une linéarité modérée par les modalités du temps : les “un instant”, “un moment”, “j’en ai pour une minute” sont une forme d’intelligence qui à notre insu vient bousculer cette linéarité. »

*** >>> Sauf que …Le verbe chinois reste dépourvu de temps - Mais toutes les langues ne proposent pas de telles perspectives [[ toutes spatiales…]]. En chinois par exemple, les notions de passé, présent et avenir ont été importées avec l’introduction du bouddhisme. « La pensée chinoise n’avait pas exprimé le besoin de dire ces choses-là.[[ besoin qui n’est donc pas organiquement…essentiel !]]. Les mots que l’on pose sur ces notions sont des mots venus d’ailleurs », explique Joël Bellassen, directeur de recherche à l’Inalco (Institut national des langues et civilisations orientales). De fait, la notion de temps n’y marque pas le verbe de son empreinte. « Le verbe n’a pas de temps, on est dans l’infinitif,[[ donc dans l’infini impératif…mais qui sait, en même tems, demeurer « indicatif » comme le présent…]] et on ne fournit que des repères temporels du type “moi être en Chine années 1970” », explique encore l’inspecteur honoraire de chinois au ministère de l’Éducation nationale.

 

Chose relativement différente pour nous : le temps s’y exprime à travers l’espace. « La langue chinoise est peu portée vers le temporel, elle a une propension vers ce qui relève du spatial : le mois dernier est le mois d’en haut, le mois prochain le mois du dessous. Si on continue une action, on en parle avec la notion de descente car le futur va du haut vers le bas », explique encore le professeur, en soulignant que l’expérience passe ainsi par le fait de « traverser » quelque chose [[ lorsque l’empêcher devient de l’entraver, ligoter le travers qui traverse tout…pour le langage il en va de même : qui ne l’entrave pas, l’empêche clairement de …signifier. A cause de ses carences mêmes. Carences inexcusables qui deviennent même des…qualités dans une société de corruptions. Si tu ne comprends pas, faute d’en fournir l’effort, c’est que tu comprends…tout et mieux !]]. Comment les chinois expriment-ils le passé ? Avec une notion d’accompli contenue dans le suffixe « le », qui peut aussi exprimer un accompli dans le futur. Quant au caractère qui renvoie à la notion de temps, « shi », il se compose du soleil, de la main et de l’élément qui figure une jeune pousse. « Il y a de fortes chances pour que ce caractère central renvoie à ce qui rythme le temps [[ vu par les esprits humains seulement – faut arrêter de mentir, faut pas pousser… ]] depuis toujours – les saisons –, et donc à ce que l’on fait pousser », remarque Joël Bellassen, convaincu de l’empreinte de ce caractère sur la pensée chinoise, dont le penchant visuel serait le pendant de notre penchant verbal et auditif. [[ sauf que les images , dont « l’apprentissage » reste non appris chez toujours plus, vient détériorer par « simplismes nocifs » cette belle qualité.]].

Instinct de préservation :- Il demeure néanmoins que les écrits savent traverser un temps que notre lecture vient réactualiser en permanence, aussi passé soit-il. « Il y a comme une rupture temporelle, le texte agit sur moi comme s’il venait d’être écrit, on peut appliquer des modulations, on peut le réactualiser, il y a un rattrapage », témoigne Aurore Vincenti, « alors que la parole s’ancre dans le flux temporel et porte en elle une dimension irrécupérable qui acte de ce qui vient d’être dit ». D’ailleurs, relève Alain Rey, on n’a aucune idée de la manière dont parlaient les hommes au néolithique. « Même l’égyptien ancien reste un inconnu dans sa formulation orale », note le linguiste [[…sauf que par la sensibilité et l’imagination rationnelle comme Pierre Pelot et Marcel Locquin, nous pouvons « revivre » en partie ce langues…]], qui souligne également la capacité des langues à vivre plusieurs oralités dans un même temps. « Quand plusieurs langues sont en confrontation les unes par rapport aux autres dans un pays, il y a un instinct de préservation, voire une revendication identitaire qui poussent à la rigueur et la précision dans l’usage de certaines formulations. Certains Africains ou Québécois ont un français plus châtié et plus beau que certains Français de la Métropole, c’est un vrai combat politique pour préserver une identité double ! » note-t-il, en soulignant qu’Auguste Comte, déjà, différenciait l’écriture comme une fille de la danse et la parole oralisée comme la fille du chant.

Lire aussi :   Comment les géants du Web capturent notre temps de cerveau

Nos langues ne seraient donc qu’un…cliché pris à un instant donné dont la représentation du réel serait insérée dans une manière de représenter le temps…par l’usage judicieux de l’espace…espacé. Problème : le numérique, qui, pour certains, nous coupera de l’écriture manuscrite dans quelques années, risque de nous faire perdre le rapport physique à l’écriture [[ comme à bien avec biens des chses…fat arrêter de rester « auto-centrés !]]. « On compare le numérique à l’imprimerie, mais c’est plus profond comme mutation. L’imprimerie a permis d’améliorer techniquement un procédé existant alors que le passage d’une écriture graphique spontanée au fait de pianoter sur un écran ou ordinateur est un changement aussi grand que l’invention des instruments à clavier », s’inquiète Alain Rey, qui n’imagine pas un poète écrire sans stylo ni papier [[ son imagination ne fonctionne pas bien…c’est avec tout son corps que le poète écrit…combien de poèmes, par exemple, sont né de la longue marche ?]]… Et Joël Bellassen de rappeler cette citation de Confucius : « Je ne sais pas ce qu’est la vie sous nos yeux, comment saurais-je ce qu’est la mort » »…

Ce qui signifient ? Que les limitations de nos cadres mentaux nous incitent justement à les surpasser de partout ! A les faire aider par les synesthésies, les émotions et leurs neurones-miroirs, les sentiments et leurs assentiments et tout le langage enfin simplement « écouté » dans la diction du dictionnaire, ce fleuve d’avenir. Qui tient et contient tout le long terme, le long temps du longtemps

 

Certain-e-s réussissent à nous transmettre tout ceci…

 

……………….. mais ces doctes endoctrinés ne les écoutent même pas !

 

 

....………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 600 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Le long maintenant ?
sagesse de la préHistoire ?

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Le long maintenant ?
donner de l’argent à d’autres pour qu’ils vous aident (enfin s’ils trouvent le temps) c’est quoi cette absurdité que les imposteurs qui se prétendent « politiques de métiers » ont tant répandu ?

donner de l’argent à d’autres pour qu’ils vous aident (enfin s’ils trouvent le temps) c’est quoi cette absurdité que les imposteurs qui se prétendent « politiques de métiers » ont tant répandu ?

Le long maintenant ?
Le long maintenant ?
Le long maintenant ?
…en tout cas nulle sonde spatiale n’a fourni la plus infime preuve de l’équivalence d’une monnaie dans l’univers – cette absurdité qui n’aura pas dépassé l’esprit de clocher (l’argent comme le seul…structurant social) fait des humains de lourdauds ploucs qui ne veulent rien savoir ni rien apprendre… Et fous à ce point : apprendre ! Combien ?

…en tout cas nulle sonde spatiale n’a fourni la plus infime preuve de l’équivalence d’une monnaie dans l’univers – cette absurdité qui n’aura pas dépassé l’esprit de clocher (l’argent comme le seul…structurant social) fait des humains de lourdauds ploucs qui ne veulent rien savoir ni rien apprendre… Et fous à ce point : apprendre ! Combien ?

S’élargir l’esprit (donc le cœur) ?? Par exemple, passer par le prisme de la perspective sociologique

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Une vidéo à 360° filmée dans l'espace impressionne les médias internationaux

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visualisation de la réalité...quantique !

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Ses cloches virtuelles sonneront pour une horloge de 10 000 ans ? Brian Eno sort un album pour "penser à long terme"…La pochette de "January 07003", l’album de Brian Eno au profit de la Long Now Foundation (DR)

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Brian Eno-1st 14th January 07003, Hard Bells, Hillis Algorithm son apport au Long terme comme prevue d’une pensée adulte et responsible…

The Clock of The Long Now (Part 1) by Stewart Brand… “L'Horloge du Long Maintenant: l'ordinateur le plus lent du monde », 2012

Blacko – Si le Temps est Compté, nul ne s’avise de se demander par qui ?

L’âge où la vérité devient in-Croyable ? Où la réalité est toujours plus….fuie ? Pourquoi certains discours nous séduisent-ils ? Comment ces discours séduisants sont-ils construits ? L'être humain adore se raconter des histoires, explorer l'horizon des possibles, sublimer le réel à l'aide de la fiction, voire écarter une réalité insupportable pour jouir des délices de l'imaginaire... au risque de confondre les deux. Un documentaire pour mieux comprendre les grandes tendances de la psyché humaine quand elle devient hôte d'idées capables de prendre le contrôle de nos comportements.

Confiscation des mots, des images et du temps...

Pratiquer les temps de verbes avec des mots clés – la preuve ? Chaque conjugaison est comptée sur le tableau. La conjugaison est donc conjuguée. Par qui ? Les rebondissements « font » donc le langage ? Au prochain ricochet, cochons !

Le clip de « Freestyle du dico » de Squeezy auquel Alain Rey a participé.

Nino Ferrer - Long Temps Après…c’est longtemps…

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