Les retardateurs politico-sociaux ?

Regard décapant ? Voter une loi ce n’est pas toujours l’appliquer. Alors pourquoi ces avalanches de réformisettes ? Justement elles «ciblent » un secteur social qui va provoquer un débat défensif retardateur. Qui, à chaque fois, distraie l’attention collective de l’essentiel. La convergence des luttes cela a été par des «coordinations» qui se sont voulues hors des partis et des syndicats, afin de les englober (et non l’inverse). Genre 1995 (mais 1986) qui est le très mauvais exemple pour 2018. Sauf les cheminots, en 1995, partis et syndicats restaient à la traîne de ces collectifs lucides. Ils n’ont jamais rien mené. Et, là ils veulent démener un clair…simulacre. En voulant, en plus, éviter tout débat de fond. Dont le premier est clairement : tout centralisme abusif reste illégal et seule la décentralisation des enjeux intéresse les vraies majorités.

Le second, puisque décentralisation il y a, est l’urgence écologique (s’il y urgence elle ne s’éteindra que lorsque nous nous occuperons vite de cette priorité). La nature passe avant tout et il faut détruire l’idée d’une civilisation du profit (expression popularisée par le si désastreux Obama, l’homme de toutes les trahisons face àa la « barbarie du profit »). Le profit n’est pas un concept honnête : c’est même l’autorisation de dévaliser les autres. Puisque – au final – le profit est un coût payé par les autres. Le rendement du travail est bien volé par le capital : ce sont les plus-values non partagées. Et ce sont les « dividendes » clairement dérobées à la productivité des autres. Donc jamais les revenus ne correspondent à l’utilité sociale de qui les reçoit. Rien n’est « mérité » dans ce domaine : ni les trop bas salaires largement spoliés ni les trop hauts revenus bien trop fraudés et infiniment…subventionnés…La nature avant tout et ne plus relayer les fausses plaintes des trop riches en gelant 80 % de leur patrimoine (il a été calculé qu’avec 20 % aucun d’entre eux ne s’apercevra même que 80 % soient gelés afin de nourrir la réparation urgente de la Nature).

Le 3ème débat de fond…fui par les pouvoirs en déroute…est (ce que toutes les dernières élections mondiales ont prouvé définitivement) que la NOCIVITÉ maximum vient des politiciens de métiers, de leurs tropismes trop irrationnels, de leurs arrogances d’ignorants, ce qui conduit aux désastres de leurs hégémonies et irresponsabilités renforcées (l’exemple du Mexique ou la fonction présidentielle n’est plus sous bulle d’impunité, mais devient attaquable en Justice - est très salubre). Il y a hypertrophie de l’exécutif au net détriment de l’équilibre des pouvoirs. Ce qui semble trop accepté par l’ensemble du corps politique – donc ennemi frontal des pays. Puisque ces politiciens crispés sur leurs archaïsmes de « droits faussement acquis », ces hyper corporatistes égarés dans un monde de fédéralismes, ces personnages congelés dans leurs gigantesques dénis du réel et toutes les postures anti-progrès se mettent à NUIRE à la société entière. Au point de ne prendre que des décisions très défavorables au futur commun. Pour la France, tout souligne que les décisions néfastes de ce gouvernement nuit à 85 % de la population. Il faut changer à 100 % de socle de décisions : impossible de faire encore CONFIANCE aux politiciens …ils ont brûlé leurs terres, ils ont tout perdu…exactement, comme le monde de la finance folle. Et des médias d’argent sale. Ce n’est qu’avec leurs beuveries de vacarmes qu’ils tentent de ne pas voir les résultats de leurs incohérences…Pour des esprits clairs comme les nôtres, inutile d’insister : ils ne sont plus (aucun des 3) le centre de la société. Il faut, maintenant maintenant le maintenant, rendre ceci très visible…Dans ce domaine, nous faisons tellement plus que notre part. Car ? Les modes de contestations, du moins ceux relayés par les médias, ne sont pas bons du tout. C’est chez les penseurs, mêmes évités par des médias prétendus alternatifs (qui ne le sont pas tant que cela – oui ils « relaient » trop de points « centraux » de l’idéologie capitaliste et n’en divergent que sur des points non centraux – donc spectacle de la « fausse » contestation – radicale dans les mots mais bien inexistante dans les solutions ?).

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Les retardateurs pratiquent donc les retardements partout. Ils fuient, comme des dératés, ce seul fait : que la RÉALITÉ PRENNE TOUT L’ÉCRAN. Et que leurs gesticulations dans le vide ne servent plus à rien. Pire ? Qu’elles se montrent complètement désynchronisées, hors du mouvement de l’évolution. Ce que, pour nous, elles sont déjà. Mais cette situation (qu’ils font tout afin d’en différer l’inéluctabilité ) le démontrera mais, peut-être, trop tard. Oui ? Nous voulons que les inerties mortelles se transmutent, que les maux se transforment, etc. mais surtout pas…avoir raison pour avoir raison (donc les avachissements de son « image », les fausses réputations dopées, les apparences trompeuses à ravaler, les maquillages et receleurs de maquillages, etc. pas du tout pour nous !). Et, de ce fait, tous les retardements des artificialités ne sont pas recevables…ne les recevons plus, oui comme ceci : -ainsi recadrée la vraie réalité sociale, il s’agit de bien vivre les fonctions d’atermoiements, de diversions sans honneur, de désorganisations collectives, de bordels foutus par ces pouvoirs sur l’extrême…défensive. Défensive car ? La prise de conscience écologique en grand c’est leur fin : ce sont eux qui causent les graves agressions à la vie, sa biodiversité et son futur. Afin de contrer vite et grand, pas d’autre solution que d’abolir le capitalisme. Entre la Nature et lui, il ne peut que perdre…Autrement ? La mondialisation en tant qu’horizontalité et décentralisation n’existe pas du tout. Donc les anti-mondialistes fanatiques ce sont …les capitalistes avec leurs hyper-centralisations et leurs hiérarchies folles qui sont en train de congeler la société sous l’hyper bureaucratie du privé. S’ils réussissaient, plus aucune décision ne serait possible sur Terre. Enfin (imposture essentielle aussi après le refus de la Raison et le refus de décentraliser sainement le refus de la…démocratie), la fin des politiciens de métiers qui auront porté les nuisances du capitalisme jusqu’aux extrêmes. Et qui vérifient la profonde pensée (défendue dans ce blog) que le prétendu « centrisme » politique est, en fait, le plus grand…extrémisme. Rien de modéré ni de tempéré en lui ; il est enragé de partout. A cela des centaines d’arguments. Produisons, déjà, les horreurs de la « médiocratie » (tomber aussi bas afin  qu’aucune « sortie par le haut » ne soit possible dans les marécages des mesquineries et des sordidités)…le Monopole dictatorial (oui le mot dictature est adéquat sur la culture) prouvé par notre texte    Pourquoi-nous-ne-pouvons-participer-à-la-société

Celui sur l’éducation ici       Reprenons-toute-l'éducation-des-enfants

Et contre le désastre de l’agriculture chimique…et, en conséquence, pour l’alimentation comme service public obligatoire (joint avec le crédit devenu uniquement service public à BUT NON LUCRATIF)      Agrogriculture-proches-transformations.

A quoi ajouter  le nous sommes bien en train d’installer la Paix mondiale      Nous-sommes-en-train-de-dompter-les-fous

Et…la Bourse va bientôt fermer comme strictement incapable de connaître le bon prix… http://www.imagiter.fr/2018/04/Comment-fonctionne-l'imposture-économique-?

…ce qui s’appelle « comment tisser la nasse qui fasse que qui est dedans ne s’empêtre que de ses propres gesticulations »…

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Alors les dateurs retardateurs ? Maintenant passons à la funeste prédominance de la com’ (le but y reste de…tromper) sur la salubre vérité politique. La fonction, l’humain même, la crédibilité de l’ensemble y perdent à chaque fois : comment croire lorsque tout n’est que mises en scènes (donc convergences des trompes-l’œil), pertes de temps considérables afin de calculer ceci ou cela : des heures de gachées en « montages » (et leurs receleurs) contre 30 secondes de sincérité - il n’y aura jamais photo ! Et toutes ces vénéneuses arrières-pensées qui pourrissent toute la société. Des humains rassis, avec longues expériences vécues, ne peuvent accorder la moindre confiance à ces jeux vains. Et si ces jeux existent c’est bien afin d’ajourner les moments si nécessaires de vérité. Surseoir, attendre, repousser oui ceci sonne comme reculer, refluer, abandonner, carrément fuir. De plus les vidéos de « contacts spontanés » (sic) (buts malsains de cette ridicule com’) sont toujours coupées, délestées, nettoyées de ce qui ne convient pas. Tout le monde y perd, la confiance s’en va…complètement ! Le com’ ce n’est que du trop dangereux enlisement !

C’est que les fondamentaux sur lesquels reposent ces prurits de communications sont faux : l’État  n’est pas une entreprise similaire aux autres – puisqu’il n’est pas du tout une entreprise tout simplement. Mais bien une organisation publique à but non lucratif qui ne s’occupe que des services destinés à chacun de ses membres. Pas à un seul groupe d’entre eux. Et strictement aucun bilan avec…bénéficiaires lorsque tout le monde doit être bénéficiaire - l’état démocratique ne doit surtout pas être géré comme une entreprise. Or la com’ c’est de la publicité, du commerce, du lucre : ce qui n’a vraiment rien à voir avec les services publics. Ils n’ont pas besoin de se vanter. Leurs services (lorsque non sabotés par le privé tellement trop cupide) sont les meilleurs possibles. Qu‘en peu de mots nous pouvons pulvériser des années d’antirépublicaines propagandes. Nous avons ici le minimum nécessaire à un regard réellement décapant.

Puisque nous nous retrouvons avec un sentiment dominant : celui que toutes les décisions politiques prises, mais toutes, sont LES MAUVAISES. C’est donc  que soit : ***1) elles reposent sur une vision défectueuse de la réalité telle qu’elle est, des priorités et des décisions urgentes à prendre et qui ne sont toujours pas prises…**2)  les décideurs soient dangereusement coupés de la réalité, la méconnaissent complètement et donc prennent des décisions inadaptées. Soit étant de grand parti pris, ne défendent que les intérêts…indéfendables d’un petit groupe. D’où, les enfumages, les fonctions de retardateurs, les efforts afin d’empêcher les prises de consciences globales, les synthèses qui ouvrent les yeux. Et les harcèlements injustifiés du gouvernement actuel peuvent être, de la sorte, lus ainsi : des interventionnismes abusifs et bruyants qui n’auraient pas d’autre but que d’empêcher – collectivement – de penser. De reprendre nos esprits et d’analyser l’ensemble des données actuelles. Le hiatus serait alors que s’ils sont nés de la dernière pluie, nous avons bourlingué dans toutes les pensées et tous les débats. Ce qui nous « économise » tant d’impasses et toutes possibilités d’égarements. Oui, en tant que des espèces « d’experts du réel », nul-le ne peut nous leurrer.

Le constat est que « ça ne colle pas du tout »…Devant le futur, les prochaines générations, les besoins de la planète et de notre survie – toutes les décisions prises sont…anormales. Néfastes mêmes. Il s’agit, alors, de bouger jusqu’à ce que l’angle de vue embrasse bien toute la réalité. Ce texte (dont nous développerons, ailleurs, la fumisterie si infantile de « l’état ne doit pas être géré comme une entreprise puisqu’il est complètement à but…non lucratif !) en devient bien une très ferme esquisse…Si cela est ainsi, c’est que toute la propagande n’est déversé que par un groupe Retardataire, anti-évolution et très ennemi du progrès…social. Qui sachant que, au-delà du cours terme manipulé à fond, il a entièrement TORT…ne peut qu’user de retardements de fuyard. Afin d’éloigner l’échéance de sa déchéance inéluctable. Ce groupe (la partie qui veut se faire passer pour le tout – nous y reviendrons aussi) va contre l’Évolution de l’Humanité. Il le sait ou il le pressent - d’où le chaos complet de ses paroles plus que contradictoires. Mais la clarté de ses comportements qui sont d’une discourtoisie imbattable. Oui ? Tout y démontre leurs égoïsmes monstrueux : ils n’en ont rien à faire des êtres humains, leurs morts et leurs souffrances, leurs insensibilités insensées affleurent partout, ils n’ont ni empathie (même un début), ni sentiment…bref ce sont des antisociaux nihilistes complets. Et tout dans leurs décisions incohérentes le laisse deviner…

…….de ne surtout pas oublier que ces retardateurs sont de grands prédateurs !

A quoi s’ajoute la difficulté ainsi formulée : c’est parce que la majorité de la population vit dans les villes qu’il est cru que la NATURE N’EXISTE PAS, que l’inconscience sur le fait que nous ayons tant besoin d’elle et elle pas de nous n’a pas encore germé dans assez de cervelles, que les hallucinations qui voient que la nourriture pousse dans les supermarchés (déjà pré-emballée), qu’il n’y a pas connexion forte entre les pollutions et ce que nous mangeons car nous ne mangeons que de la nature (les aliments « fabriqués », par craquages malsains de leurs éléments, sont très néfastes) et que de polluer la nature c’est polluer direct nos corps, etc. Nous devons donc faire BASCULER ceci : les citadin-e-s ne pourront pas décider, au final, pour ce qui concerne la santé, l’alimentation, les sols fertiles, le climat, les océans, l’énergie, les ressources, la biodiversité, les forêts, etc. bref, tout ce qui concerne LA VIE…ils n’y connaissent rien ou si mal, qu’ils n’ont semé que du dégât partout. D’où nécessité immédiate d’une décentralisation de toutes les décisions de vie…Car…

René-Passet-Comment-les-villes-nous-retardent-trop-?

« A l’échelle de l’Humanité, c’est paradoxalement dans la ville que se joue le destin de la nature. La moitié de la population mondiale s’y regroupe ; son métabolisme épuise les ressources naturelles et pollue. On peut parler d’une « crise urbaine de la nature ». Cela est vrai de la Chine, où trois cents millions d’urbains sont à l’origine de 83 % de la valeur ajoutée du secteur tertiaire, de 50 % de la production industrielle. Mais, partout, n’y est pas expérimentée (ni comprise) l’économie dite « circulaire », qui vise à « donner au facteur écologique, indispensable à la préservation des écosystèmes, une place centrale dans le cycle de production industrielle des richesses ». Des activités complémentaires sont regroupées, dont chacune produit des déchets que les autres utilisent ou transforment en ressources. Cela se traduit par un recours aussi limité que possible aux ressources non reproductibles et par l’utilisation privilégiée de ressources renouvelables, associée à une production propre et à une valorisation des déchets. »…ce que les villes ne produisent pas du tout ou de manière très inappropriée…

.............Et nous font ranger les villes dans ces nuisibles retardatrices-prédatrices !

….......…(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

                        Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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