Bouger les lignes ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Bouger les lignes ?

La plupart des solutions viennent de voir d’un regard neuf les problématiques. Depuis cette certitude y a-t-il plus ou moins de décidés aux regards neufs ? Il s’agit surtout d’interroger tout autrement, d’analyser plus profondément soit se familiariser vraiment avec ce dont nous parlons…vérifions-le par l’expérience du vivre soi-même les ex-abstractions. Puisqu’il y a 2 blocus évitables dans l’abstraction : recevoir l’abstraction sur le coin de la tronche. Et ne rien faire afin de rendre cette ex-abstraction concrète, sensuelle et sensée. Pourquoi le dire  C’est par rapport à la technique dite des « petits pas » - au lieu « d’espérer dans le vide des miracles, progresser chaque jour dans le peu spectaculaire. Et qui ne vous a pas vu depuis un mois n’en revient pas de ce que vous allez visiblement mieux » (témoignage de terrain d’une association de lutte contre les dépressions) – oui la technique des petit pas supplante alors, par sa discrétion et son refus du clinquant médiatique, les miracles. Et donc les faux médias. La différence entre le nez sur le guidon, nous ne voyons pas nos avancées globales et les routines qui aveuglent ? Aucune, en fait. Vivons donc tout de suite  les méthodes de pensée. Un humain s’est voué à comprendre les lignes : allons déjà lui rendre visite

 

En route, tournent en nous les idées toutes faites sur la ligne ! Telles ? Tu es en ligne ? Tu l’alignes sur la ligne hideuse de la soumission ? Et à quoi soumission au fait ? Ou  tu  ne clignes plus encore le hideux Spectacle qui rabaisse vraiment tout le monde ? Tu veux faire œuvre prophylactique ?  Tu passes à la ligne ? Ou tu penses vraiment au mal, tu malignes ?...« Parmi les points forts de la démarche de Tim Ingold nous retiendrons le projet de déployer à partir d’un terme polysémique, « ligne », toute une stratégie de recherche fondée sur l’analogie. Or l’analogie est rarement convoquée par les chercheurs ; elle est même rejetée (Barthes parlait du « démon de l’analogie » [[ Tout comme, Jean Paulhan, vrai cheveu sur la soupe, calomnie « le mythe de l’étymologie »**…carrément ? Et pas l’affabulation malsaine de la non-étymologie ? Du sens vraiment …sensé ? Qui se connait par les sens, tous les sens…]]). C’est pourtant elle qui guide les pas de notre auteur. Tout ce qui ressemble à des lignes, que l’on prenne le terme au sens littéral ou métaphorique, toutes les activités qui s’apparentent à l’action de « faire des lignes » deviennent alors comparables. Ingold nous propose de considérer LE monde des lignes qui n’avait encore jamais été identifié et ainsi de découvrir les relations entre des activités aussi quotidiennes que marcher, écrire, chanter, parler, classer, etc.

** référence à l’ouvrage qui rend triste « La preuve par l’étymologie » de 1953 (clair que, pour lui, l’étymologie, ne prouvera jamais rien. Et que, devin pervers, il tient à tout émasculer pour que ceci n’arrive jamais…sauf que cet excès parvient, fort justement, à attirer l’attention sur son inverse. L’étymologie prouve ! Tu soulignes, tu surlignes, tu interlignes. Tu fais les lignées, des cognations, les lignages, des cognitions, des filiations, des extractions, des dynasties, des descendances avec…ascendances, des futurs « verbalisés » (piégés, ces faux jetons qui diffament tant les mots ne valent rien, etc. mais qui ne peuvent asseoir leurs si illégitimes fortunes que sur…des mots. Oui à ce point…Et des lignes de coke pour ces trop ivres de l’argent vraiment sale ?]]…

Retour-à-la-ligne

Une telle idée ne pouvait sans doute venir que d’un anthropologue spécialiste d’écologie [[ nul n’est parfait, mais il y en a de plus parfaits que les autres…alors ? Nous en sommes carrément au même point d’inertie anti-sociale – sauf que les immobilistes, cette lie de l’Humanité, sont, cette fois, démasqués !]] ayant longuement travaillé sur les relations entre les hommes et les animaux lors de ses premières recherches en Finlande chez les Saami éleveurs de rennes. C’est bien d’un intérêt pour les savoirs ancrés sur la perception de l’environnement que part Ingold, d’expériences telles que la chasse aux rennes sauvages ou les manières de marquer les animaux d’un troupeau. Fort des leçons tirées de ses terrains et de sa culture anthropologique – il a été l’éditeur en chef de la revue Man –, il a entrepris depuis plusieurs années un profond travail de décloisonnement entre disciplines [[pas trop tôt… puisque nul n’est parfait mais que certains plus que d’autres, etc.]] favorisé par l’approche écologique. Il cherche, par exemple, à analyser les connections des « 4A”, anthropologie, archéologie, architecture et arts ». [[Le projet défendu dans Lignes participe de cette volonté de faire bouger… les lignes justement en déployant un point de vue nouveau sur des activités quotidiennes.]]

Le monde des lignes : La thèse principale part de l’idée, présentée comme un constat, que « les lignes sont partout. Où qu’ils aillent et quoi qu’ils fassent, les hommes font des lignes, en marchant, en parlant, ou en faisant des gestes » ; tous les « aspects de la vie quotidienne de l’homme sont englobés dans la fabrication de lignes qui, de ce fait, les regroupe dans un champ d’études unique » (p. 7). Le lecteur doit donc accepter cette affirmation et consentir à ce travail de réduction drastique de la marche, de la parole (ce qui est fort curieux) et des gestes à une ligne, admettre que les lignes sont partout, visibles, invisibles, hallucinées, peu importe. La proposition intrigue, le ton est enlevé, nous entrons sans trop de résistance dans le monde des lignes. Il faut aussi signaler que l’ouvrage est parsemé de dessins, de croquis, de schémas, d’illustrations faites à la main. Un style graphique se dégage qui n’est pas sans rappeler celui des anciens manuels de sciences naturelles (Le monde de Lignes n’est sans doute pas sans rapport avec l’enfance de l’auteur qui insère p. 61 le dessin du Mycélium fongique fait par son père le mycologue C.T. Ingold)

 

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En bon naturaliste, Ingold commence par distinguer deux familles de lignes : les fils et les traces. Le fil est un filament qui peut être entrelacé avec d’autres ou suspendu. Appartiennent à cette catégorie, une pelote de laine, une bobine de fil, un hamac, un filet de pêcheur, un pont suspendu, etc. Il existe aussi quantité de fils naturels : racines, rhizomes, tiges, aiguille. Les animaux peuvent aussi être perçus comme des « faisceaux de fils reliés entre eux ». Très inspiré par les travaux de Gottfried Semper, Ingold accorde à la fabrication de fils une importance majeure dans les processus d’hominisation.

L’analyse se poursuit par l’examen des relations entre fils et traces. Elle s’étend aux œuvres d’artistes comme Richard Long Une ligne faite en marchant », 1967), aux réflexions de Kandinsky, aux pratiques des éleveurs de rennes, aux lignes de la main, et jusqu’aux « lignes fantômes ». Progressivement sont convoquées des ethnographies de toutes les parties du monde incluant l’art décoratif des Abelam de Papouasie-Nouvelle-Guinée, les broderies des Indiens shipibo-conibo de l’Amazone péruvien, le tissage des couvertures navajo, les quipu incas et bien d’autres. Mais pour Ingold il ne s’agit pas de faire un inventaire de cas mais plutôt d’entraîner son lecteur dans un exercice perceptif nouveau. En effet, fils et traces ne sont pas des objets inanimés. Ils ne peuvent se comprendre que du point de vue des mouvements qu’ils intègrent et qu’ils suggèrent. »…Bref, il s’agit d’un savoir vraiment transmis et qui se retrouve, dès lors, sans que nous nous rendions bien compte dans les actes de nos vies quotidiennes. Fins tangibles donc des abstractions (celles qui se vivent d’être au loin, inaccessibles, ou bien emmêlées dans des sacs de nœuds justes invivables). Oui vraiment comme ceci :*************

>>> -- Le mystère d’une posture élucidé ? D’une posture qui complique tout en se présentant telle un dédoublement de personnalités ? Oser suivre une ligne …oui mais que pour les autres. Lorsque soi ne suit plus de ligne. Et ce soi place n’importe quel mot sur ces agitations erratiques, éparpillées et ne cherchant plus ni but ni sens ! Augmentant toutes les confusions et gâchant notre temps collectif. Sauf que voir clair grâce aux approches de ce blog dont nous avons déjà, par 2 fois, vérifié qu’il nous transporte loin… 

 

vududroit.com//--Macron-démissionnaire-triomphant-?

 

[[ le titre de démissionnaire triomphant ne se comprend que si nous entrons dans les lignes où Macron n’est pas un politique mais celui qui veut empêcher la société de trouver dans la politique la moindre solution globale. Il claque cette porte au nez. Il ne veut pas de l’état (entendre le « tout bousiller pour forcer les privatisations » de la vidéo jointe). Et l’agite afin de susciter des mouvements exogènes qui l’abolissent, l’abolissent lui seul mais sans toucher aux substrats des multinationales libertariennes (vraies anarchistes intéressées puisque les états peuvent encore les "traduire » en Justice !]] ni du capitalisme libéral. Qui prendrait, en mille fois pire, la place de cet état des services publics et de l’intérêt général. Antipolitique et contre l’état de la réPublique, ses actions s’éclairent…Il se conduit comme un démissionnaire de la politique reliée à l’Histoire afin qu’il n’y ait de changement que dans une direction : trop enrichir les trop riches et ce en allant jusqu’à braquer les pauvres (les déplorables comportements devant les pensions de réversions – versées au conjoint survivant - comme preuves incontournables). Bref, de quoi élucider un comportement apparemment paradoxal mais qui l’est si peu…ce n’est pas bouger les lignes, mais les immobiliser, les figer insalubrement dans une mentalité d’Ancien Régime ! Oui, une régression comme jamais vue…]] « S’il est une vérité que la présidence d’Emmanuel Macron nous rappelle quotidiennement, c’est celle-ci : bien plus qu’une ère de post-modernité, de post-vérité, notre époque est avant tout celle du post-politique. C’est une époque où le politique se définit avant tout par son refus de pratiquer son métier [[ de le saboter systématiquement en paroles…inconsidérées donc]]. Ce métier, il préfère le déléguer toujours plus étourdiment, si possible sans renoncer à l’apparat et aux rituels que l’on réserve traditionnellement au Souverain.

Faire de la politique, c’est accepter d’entrer en conflit avec l’Histoire, c’est exercer sa volonté de sculpter le réel, que l’on soit maire d’une commune de mille habitants, ou chargé de fixer le cap d’une nation. Sauf que la politique disparaît lorsque s’éteint cette volonté. Dans une vidéo de quelques minutes, face caméra, le chef de l’état nous invite aujourd’hui à participer à un forum – de quoi, pour quoi, nous n’en saurons rien – à l’occasion de la commémoration du centenaire de l’Armistice de 1918. Ce document fascinant nous informe en outre d’une catastrophe à venir : nous vivons dans une époque où la paix « serait » menacée. Nous vivons dans une époque où la prospérité « serait » en danger. Plus que jamais, nous affirme d’une voix ténébreuse, docte et mielleuse à la fois le Président, il est urgent de renouveler cette promesse que nous nous étions faite en 1918 : « Plus jamais ça ». On imagine la scène – costumes d’époque inclus.

La spécificité de ce président, c’est qu’il est sans doute le premier à revendiquer ce caractère post-politique [[ du sans–règles mais que pour soi…du n’importe quoi mais pas pour les autres…et de pouvoir clamer en monologue ce que les autres feraient de la prison pour, etc.]] comme étant la marque de son faux progressisme et de sa modernité de pacotille [[ le tout image et le tout simulacre voudraient empêcher des réactions d’un seul blic, des corps bien reliés à leurs cerveaux]]. S’il est assez manifeste que les présidences françaises précédentes étaient sorties de l’Histoire [[faisant juste du…sur-place afin d’égarer les citoyennes et citoyens !]] à des degrés divers, Emmanuel Macron est bien au-delà de ses prédécesseurs : en filigrane, nous comprenons que l’Histoire n’est pour lui qu’un vestige un peu gênant [[surtout parce qu’il semble en être l‘histrion ?]]. Elle n’est plus que honteuse et décorative à la fois, lorsqu’il s’agit de semer au vent une référence mondaine donnant du cachet, comme on dit à l’ENA, à un discours un peu plat [[ et fait pour rester plat…puisqu’il ne doit rien y avoir à comprendre…Trop insister sur la com’ rend point faible la com’ !]] .

Tout est bon, en d’autres termes, pour s’estimer dispensé d’analyser les conséquences de la mondialisation, de la construction européenne telle qu’elle a été pensée depuis plus de quarante ans, de la course crétine, cupide et suicidaire à la fois, du capitalisme financiarisé dans sa mouture actuelle, menée dans un vacarme assourdissant et une lumière criarde de casino. Celui que les Français ont élu pour faire l’Histoire, ou en tout cas pour les représenter à sa table, n’en est que le commentateur [[ c’est bien là le point crucial de sa claire…mise en retrait, sur le côté, ne participant pas, en dehors, exogène – pour qui le veut les photos parlent…- son intérêt majeur semble être de devenir son propre…journaliste ! ]]. Ses propos appartiennent à un seul registre : celui du journalisme, tour à tour indigné et doctement moralisant, vis-à-vis de tous ces affreux régimes qui poussent miraculeusement sur le Vieux continent depuis plusieurs années, ne suscitant rien d’autre que de vagues haussements de sourcils à Bruxelles. Ces imbéciles, incapables de comprendre les bienfaits du Grand Marché européen. Ces êtres primaires, pour ne pas dire primitifs, qui osent refuser le fake Progrès [[ le progrès existe, en effet, et il se…mesure par le progrès social. Un chiffre ? Celui de l’acceptation non diffamatoire de la pauvreté (et des pauvres ) par les trop riches reste encore…infiniment désastreux. Une catastrophe sociétale…Les riches tels des accusés, c’est ce qui n’entre pas dans la cadre ?]].

Le fait est que nous vivons dans un monde d’indicateurs chiffrés [[ce sont les chiffres qui dirigeraient la société…sauf que, dans le vacarme des…honneurs complètement déphasés par rapport aux nécessités de cohésion sociale – ces faux honneurs, pour des humains qui …se déresponsablisent trop, sont donc comme de l’acide anarchiste sur les liens sociaux !]]. Nous ne pouvons plus plaider l’inconscience, et nous ne pourrons pas la plaider devant les générations futures, qu’il s’agisse des désastres environnementaux ou des cataclysmes financiers à venir. Tous ces voyants statistiques, si chers à Alain Supiot (dont on ne saurait trop recommander la lecture de tous les ouvrages, d’Homo juridicus à La Gouvernance par les nombres), nous l’affirment avec une morne constance et une impitoyable acuité. Notre monde n’a jamais été aussi bien modélisé, et cette modélisation n’a jamais été aussi facilement et finement accessible à une part aussi importante, fût-elle minoritaire, de l’humanité. Et l’avenir que ces modèles nous prédisent, si la trajectoire ne change pas profondément [[et que seule la politique faisant Histoire peut inverser ]], glace le sang [[ la politique qui fait de l’Histoire peut inverser complètement cela – d’où des efforts, au début illisibles, désormais très lisibles, afin d’empêcher la politique d’exister. S’il n’y a plus que des gestionnaires…indiscutables et des indicateurs chiffrés automatiques qui prennent les décisions à notre place…cela semble possible. Mais si la conscience de ce dispositif prend toute la place de ce dispositif, c’est lui qui grippe et que nous agrippons afin que l’Histoire revienne : l’Humanité doit naître et la mondialisation « avec » les peuples annulera tous les faux dirigeants !]].

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Alors que faut-il attendre, aujourd’hui, d’un pouvoir qui professe la liberté, y compris celle de mourir de faim si l’on n’a pas cotisé comme tout le monde (scandaleuse affaire des pensions de réversion, dont on saura le fin mot dans les mois à venir), plutôt que de prôner un sain et bénéfique retour du politique dans sa mission d’autorité, consistant à définir avec impartialité les buts de long terme de la société complète dont il a la charge [[ la pensée unitaire qui joint chaque décision en enfilades avec les autres isole les …anomalies : genres à chaque fois qu’il était possible de…choisir pour le bien général, il a été choisi l’inverse, là aussi et ici, encore, oui la ligne est trop claire…ce qui trace, au final, un portrait tout entier !]] ? Que penser d’un personnel politique qui a adopté les codes managériaux, le lexique consternant issu du déplorable business du développement personnel, et les mêmes horizons temporels, que ceux d’un vulgaire gestionnaire de hedge fund ? [[qu’il n’est plus politique mais…bancaire !]]…Que peut-on attendre d’un pays, la France, dont la plupart des traditions socio-économiques, au premier rang desquelles son système de protection sociale – ne  dites plus Sécurité, ce mot si adorable et aimable est en cours de suppression de notre Constitution – ne sont plus considérées, par ses propres dirigeants, que sous l’angle de leurs effets plus ou moins négatifs sur la compétitivité et la croissance de son économie [[ alors qu’ils économisent infiniment…puisque toutes les études sérieuses concluent que les inégalités gaspillent trop d’argent public, oui coûtent infiniment plus cher que les actes de préventions sensées !]] ?

La présidence d’Emmanuel Macron, et c’est en réalité cela qui interroge le plus le bon sens, est bâtie sur un discours soi-disant transgressif [[ mais à sens trop unique, celui qui ne permettrait pas sa proprte transgression…donc une fable urbaine, pas plusd transgressif que l’Ancien Régime ]] qui incarne en fait la quintessence du conformisme politico-économique qui s’est construit depuis trente ans [[ nous sommes tombé dans le vrai pire…]]. C’est un concentré issu du Consensus de Washington, mais aussi des rapports d’industriels zélés, de l’OCDE, du FMI, ces rapports qui nous disent tous, depuis des décennies, la même chose : détruisez vos services publics, détruisez vos amortisseurs sociaux, détruisez tout lien humain [[bref, devenez en gros Al Capone…en effet, c’est d’un…passéisme particulièrement insalubre…]] qui ne soit pas uniquement défini par une logique contractuelle. Détruisez vos vieux totems, détruisez vos archaïques orgueils nationaux, qui ne sont que de vieux jouets hors d’âge dans ce village mondial si festif, si mouvant, si ouvert. Refusez le repli [[ parce que le protectionnisme ce n’est pas le plus grand des repli ? Le factchecking qu’ils ne pratiquent jamais, vu que plus de 80 % de toutes les actualités ne sont jamais analysées ni intégrées dans une compréhension d’ensemble, annule tous ces…fake discours qui ne servent à rien, qu’à tout cacher et à enfumer le reste. De la litanie ne reste que le…«détruiser» si illégitime puisque ne reposant sur aucune pensée globale. Agir ainsi c’est ne pas savoir penser – mais rester juste réactif, donc à la traîne de ses propres préjugés et fausses idées jamais réactualisées depuis une quarantaine d’années !]] !

Cette classe politique mondiale, dont Emmanuel Macron est le représentant le plus passéiste, en ce qu’il arrive à faire passer son absolu conformisme pour le comble du chic révolutionnaire,[[ il n’y parvient que dans des monologues absolument étanches…il n’y parvient donc pas – d’ailleurs, dès le départ très peu d’humains ont voté pour lui !]] a renoncé à tout autre chose qu’au constat journalistique bavard, sur fond de délégation croissante de ses pouvoirs, régaliens ou non, aux cercles économiques. Les faits importent peu à celui qui méprise toute réalité échappant à son biais analytique [[en mieux formulé qui fuit toute réalité et se mure dans une idéologie sans fondations prouvées !]]. Il nous faut, de concert, admettre que la Grèce est sauvée, alors que la totalité des indicateurs officiels nous affirment qu’elle est exsangue, simplement parce qu’un morceau de papier, sur lequel c’est écrit, a été signé par un collège de technocrates européens fatigués ; il nous faut croire que l’accord européen sur la question migratoire, qui renvoie en réalité chaque État membre à ses propres solutions, incarne le triomphe d’une solution européenne ; il nous faut croire que l’Allemagne acceptera, enfin, un budget européen, au mépris des faits, au mépris de toute connaissance historique de ce pays et de ses principes économiques et budgétaires. Refuser de penser le réel à travers ce prisme hallucinant, c’est être le pire des trouble-fêtes [[ceux qui disent et font strictement n’importe quoi. Et qu’il reste donc impossible de prendre au sérieux !]].

[[ ne voulant progresser en rien, l’inacceptable nihilisme de ces politiciens anarchistes avec les autres mais très autoritaristes dès qu’il sait d’eux-mêmes, avoue encore ceci…]]…La contestation méthodique et inlassable de ce Progrès, dans l’acception suicidaire et totalisante que nos propres gouvernants nous en proposent depuis quelques décennies, est sans doute la plus nécessaire besogne à laquelle devraient s’astreindre les vrais progressistes, c’est-à-dire ceux qui pensent encore que l’humanité se distingue de la bêtise bestiale animal et de ses insensés rapports de force bruts [[ c’est fait ou entrepris merci, que cette contestation raisonnée et argumentée de ce SABOTAGE par le haut de la société par des personnages si déraisonnables et plus que confus, sans aucune vraie réflexion de fond !]]. »…. Admettons que nous devions exfiltrer, oui exfiltrer les informations de cette confusion si préméditée. Précipitée en multiples agressions quotidiennes mêlant n’importe comment insultes, contre-vérités et provocations idéologiques. En rien ceci ne fait BOUGER LES LIGNES c’est le retour dans ce qu’il y a de plus vieillot, le protectionnisme idéologique le plus psychorigide

…………… oui le plus piteux et miteux des conservatismes.

En conclusion, la politique qui fait l’Histoire ne l’intéresse pas et cela se voit car il ne nous ressort que des vieilleries des conservateurs des années 1970, avec des concepts complètement tombés en désuétude, abandonnés par tous les esprits sérieux. L’unique effort de ce président qui n’aime pas la grande politique est de copier-coller chaotiquement tout ce qui été fait par les conservateurs…anglo-saxons et qui a, déjà, apporté tant de nuisances et coûté si cher à la société…ce n’est donc qu’un conformisme archi vieillot des stéréotypes et idées fausses de son entourage politico-banquier…Par contre ce qui le passionne, c’est de répondre à tous les reproches en lançant une réponse, qui n’est donc pas une réponse (mais un jeu). Réponse située le plus loin possible de la problématique, avec des termes qui ne la concernent pas du tout. Et avec quelques mots très calculés afin de blesser

… (et blesser le plus profondément c’est…cela, alors, réussir) les sensibilités.

Puisque ce sont les sensibilités qui vont…

………….……..……………………… vraiment incurver significativement sa ligne !

 

…..………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste compréhension nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Bouger les lignes ?
Bouger les lignes ?
Les londoniens Kai & Sunny réalisent ces oeuvres abstraites qui prennent du volume uniquement en traçant des lignes avec des stylos billes colorés.

Les londoniens Kai & Sunny réalisent ces oeuvres abstraites qui prennent du volume uniquement en traçant des lignes avec des stylos billes colorés.

Tim Ingold

Tim Ingold

qui sera suivie d’une étude complète sur ce thème jamais élucidé…

qui sera suivie d’une étude complète sur ce thème jamais élucidé…

Richard Long Une ligne faite en marchant

Richard Long Une ligne faite en marchant

 un artiste qui s’est faufilé dans les paysages pour tracer sa ligne

un artiste qui s’est faufilé dans les paysages pour tracer sa ligne

Richard Long – Mont Fuji

Richard Long – Mont Fuji

Abelam de Papouasie-Nouvelle-Guinée

Abelam de Papouasie-Nouvelle-Guinée

broderies des Indiens shipibo-conibo de l’Amazone péruvien

broderies des Indiens shipibo-conibo de l’Amazone péruvien

Tim Ingold dépasse en englobe toutes ces traditions

Tim Ingold dépasse en englobe toutes ces traditions

Bouger les lignes ?
Au carrefour de la photographie artistique et du reportage, Tribu/s du Monde, le travail d’Anne de Vandière sur les peuples du monde méprisés et malmenés dans leurs droits est présenté à Brest (Finistère) jusqu’à la fin du mois de septembre 2018.

Au carrefour de la photographie artistique et du reportage, Tribu/s du Monde, le travail d’Anne de Vandière sur les peuples du monde méprisés et malmenés dans leurs droits est présenté à Brest (Finistère) jusqu’à la fin du mois de septembre 2018.

Jürg Wassman / Corde à noeuds Palingawi, Kandingei, Moyen-Sepik, Papouasie- Nouvelle-Guinée

Jürg Wassman / Corde à noeuds Palingawi, Kandingei, Moyen-Sepik, Papouasie- Nouvelle-Guinée

Justin Peters

Justin Peters

Ces décisions, prises à des centaines, des milliers de kilomètres de là, les dirigeants économiques ne les voient pas. Et, lâchement, nr veulent pas les voir…. Voilà notre défi : leur mettre le nez dedans. Qu’ils se rendent compte de la maltraitance budgétaire qu’ils infligent.

Une histoire des lignes - Pompidou Metz 2013

Conférence Tim Ingold doublage français

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