Lier de liesse !

Sororité et fraternité sont des liens forts. La liesse lie bien mieux le tout que l’image. Nous gagnons, ainsi, à préférer les sons aux images trop souvent glacées et plates…Les voici et voilà comme les liesses font fondre toute la congélation des cœurs programmée par la vaine oligarchie (ces ploucs plouctocrates – les lourds…dingues !). D’abord, rejetons sur le côté, les obstacles sournoisement mis par ces donc faux dominants (si tu domines tu n’as pas besoin de te conduire comme un.e perdant.e or cette fausse élite n’a que des comportement…extrêmement inférieurs – donc pas supérieurs c’est ça ?)

>>>  - Débloquer les artificiels blocages ? - En définitive, il n’y a plus du tout d’alternance en France – la soviétisation par le haut est complète. Oui ? Il n’y a plus que la permanence « ’une caste… faussement « politique» mais réellement oligarchique qui fait main basse depuis des lustres sur tous les postes de pouvoir. Loin de se combattre, le bras gauche de la république et sa fausse main droite partagent le désir commun d’étouffer le peuple de France [[ nous l’avons vu avec les Gilets jaunes c’est Tout Paris qui les étouffe…ou tente du moins…]]»…en fait (liesses), et nous allons le découvrir dans le triomphe du Printemps et de l’été 2019 (rappelons que 2019 c’est vraiment l’année du peuple…surtout pas celle des fausses élites ) à quel point cette nulle caste s’encastre désormais dans ses seules conneries (en circuit fermé…)...et qui voudrait vivre toute sa vie dans ces minableries ? La conclusion saine est que… seuls… les politiques (cette caste unie qui se…partage les rôles pour nous exclure de nos droits à la politique !) empêchent le peuple de s’émanciper complètement. Ils demeurent les derniers obstacles à la vraie vie d’adulte. Donc comme 1871 a fait « le Front Populaire », les Gilets jeunes (plus forts que la Commune) vont faire un Commune du Pays (paris en étant stratégiquement exclu…puisque contenant toute la lie de la nation !)…la Grande liesse on te dit ! Le flash c’est de percevoir que le trop d’obstacles…les fait s’évanouir…que le poids final, celui qui écrase, n’est plus que pour l’oligarchie qui ne peut que perdre puisqu’elle bafoue les lois de la physique, biologie, chimie, etc. Et qu’elle reste l’exact contraire d’une divinité de lumière…puisque plutôt située dans sa sombre sortie banale anale…

>>> -  Voyons bien en face la hure ahurie des censeurs ? - Le politiquement correct c’est tout simplement empêcher la vraie politique et le social des sincérités. C’est se donner, sous des faux airs de grandeurs, le droit de réprimer tout le monde. Et, avec de fausses règles complètement absurdes,  de tout censurer sans plus jamais débattre. Et donc pas de débat afin de prouver que le politiquement correct socialement incorrect n’a surtout pas le droit d’agir ainsi ! Pour nous, qui se rabaissent, ainsi, au socialement incorrect (vrai non de l’ex- politiquement correct !) au lieu de se battre pour les autres en vrai est, donc absolument…répugnant ! La liesse (qui te lie au meilleur de tout) c’est de découvrir que tous ces…faux dominants nagent dans leurs …insanes hypocrisies. Vies peu enviables. Et pas toi. Disons que ta joie existe et qu’elle est tellement pure ! Donc immense…Disons, qu’un autre effet bénéfique est que celles/ceux qui se mentent sans arrêt …à eux-mêmes ne vont plus pouvoir se supporter (n’ayant plus le foyer d’une vie intérieure authentique) et qu’ils auront perdu toute prise sur des heureux humains comme toi (ces bassesses d’humilier qui ils croient plus bas qu’eux/elles sont le trompe l’œil qui les empêche de voir qu’il n’y a plus personne de…plus bas qu’eux !). Et ? Le clou de la liesse ? C’est que pendant qu’ils dégoisent que les Gilets jaunes ont perdu (dans leurs vies personnelles c’est un vrai triomphe : ils en ont chassé tous les déchets déchus de la vaine oligarchie et sont donc devenus autonomes et solairement adultes !)…oui ces lâches du conformisme ne pourront plus que se voir eux seuls….tomber mais tomber…le post-giletisme va être leur pire que défaite…Complices minables des archi minoritaires du néolibéralisme inhumain ce n’est vraiment pas une belle fin…Liesses partout (sauf chez eux ! – ce sont eux les grands cocus, avec la poignée de dollars des traîtres, et l’oligarchie est en train de TOUT PERDRE !)…Oui la dialectique de la Forge dévoile que ce sont….les Grands perdants noyés d’amertumes de l’époque…et donc les Gilets jaunes mais leurs soutiens trioooomphent et pour la vie entière. Le soleil de l’amour brille en eux/elles. Et ne les quittera plus. Ils ne se sont battus que pour…les autres puisque les vraies Valeurs c’est eux !...Y’a plus photo ! Ce qui était pris pour obstacles « tait en fait des…tremplins, de puissants décollages vers le triomphe (qui ne se dira plus jamais à paris, ville déchue !). Et pourquoi liesses ? Liesse c’est le son, le son qui sonne, la grande joie qui soulève, le bon cœur qui en rit, les pensées qui toutes sont devenues solaires, oui  la victoire qui n’est plus qu’un infinie partage …Victoire inaperçue qui nous fait quitter, avec un soulagement plus que festif, la monstruosité de l’égoïsme bourgeois du tout pour moi et rien pour les autres…là c’est autant pour les autres que pour moi…et, même, pour certains pionniers un tout pour les autres et rien pour moi…temporaire, puisque devant tant de déchéance bourgeoise, comment se croire au sommet alors que, affectivement, l’on est qu’un caniveau…il faille faire contrepoids…donc devenir le peuple, lui, toujours si…pondéré !

………………………......**********************************************

Oui et face à l’image glaciale qui, trop souvent, sépare tout le monde de tout le monde qui fige les consciences dans le refus…d’expérimenter la vie (et dès que tu l’expérimentes, tu ressens à quel point que tout est possible donc tu ne peux devenir un zombi bourgeois du rien n’est plus possible…sauf la continuation folle de son style de…mort qui détruit tout)…Oui la liesse comme le torrent sonique qui emporte tout, qui fait des mauvaises fois oligarques juste de minces fétus – la liesse qui, dans chacune de ses voyelles longues, maintient la certitude d’une liesse toujours populaire (nul-le ne peut trouver liesse bourgeoise dans les documents…)…Nous sommes dans l’avant-liesse c’est ça ?... « Jamais le discours sur le son n’aura été aussi central intradiégétiquement [[ vu intérieurement ]] et stylistiquement que dans Les Furtifs. A ce titre, le roman [[ d’Alain Damasio ]] explore une dichotomie neuve dans son œuvre, quoiqu’elle ait pu exister en germes dans ses œuvres précédentes. La relation entre Ner (chasseur optique) et Saskia (traqueuse phonique), ou plutôt entre leurs deux modes de chasse, est révélatrice d’un rapport au monde et aux furtifs très différents [[ nous n’y voyons que l’unité de ce qui réVerbère le Verbe et e, est tout étincellements lumineux et de..«verbération» (l’existence même du…son). Le verbe est un son qui … « s’augmente» …naturellement partout en se verbérant et réverbérant partout à l’infini. Merveille des merveilles – à côté le transhumanisme traduit en inhumanité n’est qu’une fumisterie...l’univers est à admirer sans fin puisqu’il nous dépasse et que les escrocs qui voudraient faire croire qu’ils nous sont…supérieurs ne se conduisent…qu’inférieurement. Genre « Tu dis que tu es un dieu, un dieu néolibéral – alors partage, partages toute la richesse, ne garde pour toi qu’une part plus petite que celle des autres, et nous te croirons ! »…Ce pourquoi la liesse en avec nous – Quoi qu’ils fassent désormais, ils sont foutus (sens 18 ème siècle) oui ils sont désormais leurs seuls ennemis, enfermés dans leurs propres bulles d’illogismes insistés ! Bye bye en don’t buy !]]. Ner est un panopticien du visuel, présenté comme un nerd control-freak au sourire « glitché ». Il s’exprime et pense en saccades, cherche à cribler l’espace de senseurs et détecteurs qui ont tous pour objectif de rendre visible ce qui ne l’est pas (les tâches de chaleur, les variations de pression ou les aspérités suspectes du décor…) [[ pour nous, la splendeur de la diction du dictionnaire y pourvoit…les images (sensées et sensuelles) contenues dans les mots surpassent toutes celles de tous les films, etc. Il faut juste avoir l’humilité…d’écouter et de prendre tel que cela…est !]].

Les-furtifs-d'Alain-Damasio-à-l'assaut-de-la-société-de-surveillance

Ner tire son nom du nerf, optique évidemment. Il cherche à acculer progressivement ses proies, à ne leur laisser aucune échappatoire, quadriller la zone, pour les surprendre l’espace d’un instant et, en les détectant [[ tectant ce qui fait de la vue…un toucher…( nous toucher du bout du regard…ou bien ce regard qui troue la nuit et brille au lointain de Mother)…oui exactement tel que les hommes préhistoriques !]], les figer. Un furtif vu se calcifie sous la forme d’une statue, forme morte destinée à empêcher les généticiens d’en tirer quelque information que ce soit, dans une forme de suicide qui sauverait la discrétion naturelle de l’espèce. Ner s’en contente : figer c’est contrôler, c’est compléter le panoptique pour que rien ne lui échappe [[or…actuellement tout leur…échappe…la liesse couve oui mais à fond…]]. Le morceau qui le présente dans Phonophore est révélateur de cette façon de penser.

Ner s’exprime avec des mots secs, hachés, pleins de syllabes sifflantes et obstruées [[ comme les obsTruands…blocus et blocages ]]. « Scanner », « tactique », « contrôle », « auto-test », « cinétique », « trajectoire », « inerte » sont quelques exemples des termes qu’il utilise couramment, et qui ont la particularité de casser le rythme, d’arrêter l’air que l’on expulse par la bouche en les prononçant. Ce sont des mots qui correspondent aux mouvements saccadés et nerveux du personnage, et de sa manière de séquencer le monde en myriades de micro éléments contrôlables [[ genre le comment surtout ne pas apprendre à vivre de l’ENA des inhumanités ?]]. Lors de ses quelques moments de relâchement (rarissimes), les mots coulent plus facilement, comme une eau que l’on aurait cessé d’obstruer. Pour reprendre la phrase de Phonophore qui décrit ces moments en n’utilisant plus du tout de « t », de « c » ni de sifflements : « c’est ce furet qui lui offre ses rares moments je joie simple ». Avec ce procédé stylistique et graphique, Damasio attire l’attention du lecteur sur les blancs de la page, les espaces d’ordinaire non-vus, comme autant d’angles-morts du panoptique. [[ qui a vécu dans la rue, « sait » que les pouvoirs si limités n’y pourrait pas survivre…puisque tout y est instincts et pulsions, intuitions cinétiques pures…un peu comme si une image parfaite nous habitait et que toute…anomalie (donc celle de ce faux ordre qui sème partout le désordre et la disharmonie sonore) des fausses autorités…s’auto-détecte. D’où la perfection d’être un récepteur qui ne veut jamais modifier ce qu’il reçoit…tout le contraire de l’immense malhonnêteté du macronisme…or seul.e.s les sincères s’insèrent. Voilà qui est dit : intrus à la vie, irrespectueux de ses lois…c’est le rejet salubre de la greffe au bout…]]. La manière d’écrire la pensée de Sahar [[ le son pur ]] montre le creux, le blanc qu’elle laisse dans sa vie à la suite de la disparition de sa fille dont elle essaie de faire le deuil. Trouée, elle s’exprime avec des lettres plus aérées alors que Larco ne peut s’empêcher d’être habité par un espoir terrible, qui l’incite à remplir toute sa vie au maximum de la présence de Tishka. A l’image de son appartement rempli des souvenirs de sa fille, il utilise des lettres surchargées de points et de traits, il ne laisse aucun angle, il cherche partout, il est aux aguets perpétuellement.

Dans La Horde, Damasio attirait l’attention du lecteur sur la ponctuation – le rythme dans la matière du texte, à laquelle il donnait une place centrale. Dans Les Furtifs, il va beaucoup plus loin. Les variations typographiques décrites ci-dessus ne sont que l’une des inventions dont il fait preuve au long du récit, qui s’ajoutent à l’usage des termes pour leur effet sonore [[ et sonore s’honore toujours plus…]], à la ponctuation-respiration propre aux personnages, mais aussi à une vraie inventivité dans les termes et néologismes et une forte évolution au cours de l’histoire et des événements [[ avènements ]], à mesure qu’ils s’ouvrent à la furtivité – c’est à dire se connectent à une forme de vitalité posthumaine. Mais le jeu poétique de l’auteur ne s’arrête pas à la « simple » façon de parler des personnages. C’est dans l’écriture furtive que culmine l’inventivité et la force d’évocation littéraire du roman. Dans un monde où les multinationales rachètent les villes et donnent leurs noms aux enfants (« Civin » et « Civine »), le furtif est un contre-pouvoir naturel [[ intraitable et que nul-le ne pourra mater !]], une contreproposition qui s’incarne et se déploie y compris dans la langue [[ bref un son pur qui nous prémunit de toutes les manipulations sordides des vais pouvoirs. Pour nous, la nov’langue est archi morte…trop ridicule !]]. Avec l’écriture furtive, Damasio invente une langue mutante aux possibilités gigantesques. Les furtifs absorbent et réutilisent les caractères latins comme les sons qui saturent les villes – à la campagne ils le font des éléments naturels à leur disposition. Difficile de savoir quel sens ils y mettent précisément – et même s’ils y mettent un sens.

L’écriture furtive n’assène pas de message, elle en contient d’innombrables potentiels, desquels on peut tirer de la poésie, de l’information, de la musique… en puisant dans ses aspirations et capacités propres. Elle permet à chacun d’y lire un sens qui lui appartiendrait, parce qu’il l’aurait co-créé en métaphore de la création littéraire au croisement de la volonté polysémique d’un auteur et des compréhensions multiples et foisonnantes des lecteurs [[ la générosité c’est le génie…ce pourquoi ses censeurs…censitaires tombent toutes et tous avec leurs gueules si fripées et donc…défaites !]]. Une scène de décryptage incroyable met en avant cette idée : chercher le « vrai » sens d’un glyphe (ou texte) est peut-être moins important qu’en construire, ensemble un sens immanent et personnel. »

…………………….......*******************************************

Et liesse se lie à joliesse…Quelle joliesse liesse. Mais pourquoi maintenant ? Pourquoi devant tant d’obscurantisme dévalé par l’indigne oligarchie, par les médias si déchus et par les politiciens si inhumains ? Et bien, justement (cercles de Wisekind) puisque lorsqu’un excès – genre l’excès fermerait tous les…accès - tout se retourne tout s’inverse oui tout se renverse (en l’étape précédent l’abus excessif). Excès d’injustices et de diffamations contre le soulèvement se retourne en pléthores de dévoilements et de micro-apocalypses contre les pouvoirs devenus vraiment…Illégitimes…Et qui de ce fait (d’inversion aujourd’hui de ce qui semblait indétrônable hier) ils se prennent les pieds que dans les tapis d’un réalité qui vient de…basculer…en son envers-revers (envers et contre tout !). Oui un exemple ? Mettez côte à côte 2 observations : celle du directeur de la Banque de France qui maintient que le pouvoir d’achat augmente, oui s’envole même, oui que nous croulons sous tant de mannes. Et ? Et d’un citoyen lambda (genre que jamais ces…éminences n’écoutent…puisque supposés ne jamais rien savoir de la…réalité !) qui nous décrit, si pertinemment, que l’euro cela est très exactement que tout aura été MULTIPLIE PAR 6. Et ne nous montrer (peu d’années après l’euro -tous les prix des terrains, logements, etc. s’alignaient en euros l’ex prix en francs (160 000 francs s’affichait 160 000 euros)  – vous captez ?…Qui des 2 vous parait planer, fumant la moquette, complètement largué dans ses irréalités ? Bingo le vain  directeur de la Banque de France qui A PERDU PIED dans la réalité…voyons voir (bon les images suivent le texte) :

En vérité, le rythme de progression a considérablement diminué au fil du temps. Un rythme de 2,4% par an entre 1995 et 2002, tombé à 1,9% entre 2002 et 2007. Et un rythme bien en dessous de 1% ces 5 dernières années. Le pouvoir d’achat est calculé pour l’ensemble des ménages. Sa hausse globale peut donc masquer une grande variété des situations individuelles. La moyenne ne veut rien dire si l’écart de pouvoir d’achat se creuse entre les catégories sociales. Par exemple, si les déjà trop riches (qui n’en ont pas besoin) le voient augmenter de plus…. de  6 %, bingo les trop pauvres qui, eux, en ont tant besoin, le voient, eux, diminuer…vraiment …trop injustement…de moins (-) 2 % !...Et que cette réalité crie leur vaut d’être blessés, éborgnés si maltraités par ceux-là même du fait de leurs Inadaptations complètes au réel sont LA cause de leurs trop de souffrances imméritées. Oui ? A partir du moment où vous ne savez plus vous mettre A LA PLACE des autres – vous ne méritez plus de diriger d’informer, bref de participer à quoi que ce soit qui soit…Public. Clair ? A eux désormais toutes les probes réprobations, les accusations et imputations méritées et l’avalanche des dols soit des doléances… en séances !

…Oui ? Facile de situer ce directeur de la Banque de France dans ce 1 % pour qui (effectivement) le pouvoir d’achat s’envole dans les + 6 %...et non dans la tranche des nécessiteux (de leurs…nécessités si indignement volées par ce directeur et autres) où c’est moins (-) 2 % donc qui cruellement…baisse (du fait du poids abusif des parasites de trop riches qui vivent vraiment aux crochets des autres). Donc ce « sa » réalité très locale, il fait le fait général. Ayant perdu tout sens des proportions, des mesures, des grandeurs…incapable de s’imager un tableau général et exhaustif, aveuglé par la seule cupidité de la caste (genre mais si je m’enrichis tant de quoi…se plaignent-ils donc ? Si ça va pour moi…Tout va bien, non ? Ils sont donc fous de revendiquer puisque MOI cela va bien …). Vous voyez la spirale enroulée de leurs chutes…inéluctables. Ce n’est pas impunément que l’on peut dénier et renier le réel. La réalité ne peut aider qui ne vit pas…dans la réalité. Et d’agrandir ce fait local à l’universalité de ce monde qui bascule complètement – le fait se comporter… si bassement et le prétendu bas avec grandeur et noblesse – même si ces comportements sont (en grande partie) inconscients et surgis de préjugés de classe…)…

…….que la liesse, toute la liesse est désormais tout le temps avec nous (nous mooooontons sans cesse)…effets multiplicateurs garantis !

 ……Et cette liesse nous lie avec tous ceux/celles en liesse comme nous.

…………………..Nous étions en laisse – nous voici tous en liesse…

…..…..…….........…(à suivre)

………….……………......….%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

                          Que la liesse sans limite nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu