Comment être heureux et pouvoir le transmettre ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

5182771378_3b71233829.jpg

Dans le règne de l’absolue lâcheté de l’achetez tout – le problème n’est plus de la possibilité d’être heureux/se mais que ce mot (et tant d’autres) ait quitté la conscience de ces « artificialisé-e-s ». Ils sont bien devenus incapables de seulement évoquer (par perte de toute imagination) que le bonheur existe, qu’il ne peut se concrétiser que dans le naturel – et que, faute de connaissance du réel, il demeure impossible d’être heureux. Et de le rester. Vous observez que 2 au moins des ces contraintes exigent UN  EFFORT. CQFD : les avachis (surtout dans la tête) dominent le monde…

 

« Leur » monde de l’absolue lâcheté de l’achetez tout n’est plus qu’on bouton : on appuie ça le fait. D’où ça vient, le coût global, n’y aurait-il pas de possibilité de faire autrement , à moindre coût et mieux, quels seront les traces laissées par l’absolue lâcheté de l’achetez tout dans le futur – leur conscience fermée à tout, qui se rétrécit comme peau de chagrin est devenue INCAPABLE, inapte à saisir cela.

Désormais, votre niveau d’exigence envers vous-même, votre attention portée aux autres et la taille de vos ambitions pour la collectivité – vous définissent bien plus que tout autre critère. Appartenir à la de l’absolue lâcheté de l’achetez tout  vous plonge dans l’inéluctable malheur. Celui de perdre tout accès à a joie pure, au bonheur simple, au point d’avoir perdu toute mémoire que cela puisse exister. La pérennité d’une telle aliénation (si, absurdement, satisfaite d’elle- même) c’est qu’elle ne s’entoure plus que d’êtres aussi illusionné-e-s qu’elle. Et rejettent AVEC UNE ANORMALE VIOLENCE tous les individus sains susceptibles de les réveiller et tirer de ce cauchemar. L’absolue lâcheté de l’achetez tout devient la pire des tuiles qui puisse vous tomber sur la gueule.

 

A ce stade non conclusif, un exemple. Un site qui agrège des écrivants (2675 sont affichés inscrits mais de nombreuses fausses inscriptions afin de « booster », déloyalement, ses propres textes au tableau d’affichage collectif en réduisent le nombre !) propose un concours sur le thème déchu de « Le rêve américain ». Dans quel monde d’irréalité et de folie furieuse vivent- ils ? Depuis la guerre d’Irâq, devant les yeux du monde, il n’y a plus de « rêve américain » (« rêve étatsunien » ça décolore déjà vachement et rétrécit au possible !) – voir des adulescents gavés de popcorn et de stupidité bestiale, considérer les autres êtres humains comme des déchets qu’il est « amusant de torturer » disqualifie tout le système éducatif. Donc pas de rêve. Le fait que les « subprimes » (le comble de la trahison, de l’égoïsme et du gangstérisme) a démasqué les USA comme les parasites du monde entier, vivant comme des clodos structurels « sur l’argent des autres » - où est le rêve ? Ensuite, l’anti-société où 1 % « prend » 90 % de tout rétrécit le champ d’action possible pour les cauchemardeurs trimardeurs (travaille 36 h / 24 au moins !) étale qu’il n’existe aucune solidarité agissante de ce pays attardé.  Voire autre chose qu’un cauchemar (Henry Miller « le cauchemar climatisé » !)  dans « l’arriération étatsunienne » dénonce vos fuites de couards devant le réel. Les USA représentent le cauchemar mondial, si cela peut « faire » rêver de se vivre cauchemar mondial – trace qu’ils risquent de finir sociopathes…Etc. La cœurée est trop forte : les fous moisis, les fuyards de tout réel – dominent TROP la société. Utile que les plus sains (qui ne participent pas aux dérives de l’absolue lâcheté de l’achetez tout) – se regroupent quelque peu….

 

Les signes de reconnaissance ? Que ce qui vous pousse soit l’impérieux besoin d’un GIGANTISME social afin que vous puissiez atteindre votre juste taille. La taille de vos envols. Le fait que l’on ne puisse vous concevoir qu’hors toute mesquinerie, petitesse d’esprit et sordidité intellectuelle mais bien dans une grande générosité mentale et d’une largeur de cœur mondiale (qui ne doit plus beaucoup exister en occident ? Infirmez cette info, please de chez please !) …Vous n’auriez rien à voir avec la mégalomanie matérielle de ces déchus personnages, gonflés de déchéances à étaler partout des objets, flux ou possessions et qui osent, pour qui cherche à utiliser sa tête et son cœur, afin que la société reste sociale – QU’ILS SE CROIENT SUPERIEURS. Scandale absolue : qui fait de la possession bestiale et robotique de l’argent l’étalon de toute supériorité, reste bien le SEUL qui se conduise comme supérieur à tout le monde. Au point de s’en foutre de détruire la planète de tous. Pendant moi le déluge clignote partout son inaccessible supériorité (sic) cet être déshonoré à vie…Sa supériorité ? Chuter d’être trop riche DONC de priver des millions d’êtres du minimum vital. Donc qui montre cela « devrait » être disqualifié ?

 

Il élude, il escamote, il évite, il tourne le dos, il esquive, il soustrait, il dissimule, il détale, il déguerpit, il détourne, il fuit – IL REFUSE D’AFFRO NTER QUOI QUE CE SOIT, même son ombre. L’individu de l’absolue lâcheté de l’achetez tout. Tout ce que vivez, tout ce que vous ressentez, tout ce qui vous préoccupe – sont comme des langues étrangères pour cet esprit sommaire. Aussi, ne peut il/elle « projeter » sur vous que « sa » vision du monde, interpréter tout de travers, vous prêtez des intentions que vous n’aurez jamais, des buts auxquels vous tournez bien le dos, etc. Bref, une compréhension plus que fausse sur vous. L’absolue lâcheté de l’achetez tout détruit toute faculté de percevoir que le bonheur existe. Et, de plus, perturbent tellement les sens, l’esprit d’analyse et la raison pratique – qu’ils perdent jusqu’à l’idée qu’ils puissent exister des êtres PLUS QU’HEUREUX. Soit simples et naturels. Profondément joyeux et lucides. Affrontant le réel et ne s’étant pas laisser réduire en esclavage mental par les machines. Ayant atteint « le cerveau sensualisé » - celui qui rend amoureux tout le temps. Vivant les trois amours (corps, cœur et tête) en permanence. Devenus des experts du réel…

 

L’absolue lâcheté de l’achetez tout – la pire des catastrophes qui puissent vous tomber dessus ils en font une « success story » ( !).

 

Quant à vous, vous SAVEZ que vous êtes heureux et comment vous l’êtes mais transmettre à de tels barbares, à ces humains à rebours, à ces cerveaux inversés, à ces régressifs sordides, c’est devenu impossible. Non à, cause de vous mais à cause d’eux. Afin de survivre dans leur enfer miasmatiques, tout de puanteur intérieure, d’insipidité mentale et de criailleries imagées ou soniques – vous avez TOUT décrit de comment être heureux. Non dans leur truc insensé maisà côté. Le disant (ainsi !) vous n’avez rien perdu de votre joie en l’explicitant. Tel ce champagne débouché qui perd toute saveur. Vous non !

 

Qui sait à quel point l’expérience d’écriture matérielle peut être désagréable (douleurs au doigt, au poignet, mauvaises haleines des ordinateurs, mal des ondes, éloignement de la vraie nature, etc) peut SAISIR que qui n’a aucune ambition d’exhibition sociale (se faire passer pour ce qu’on n’est pas comme la plupart des anti-écrivains actuels le sont !) – dessine que vous êtes plus qu’heureux.. Puisque vous vous trimballez tous ces obstacles et inconvénients pour que la collectivité sache, même par bribes, que de vraies et bonnes alternatives existent. Mais hors tout artificiel. Dans une abondance de qualités difficile à imaginer. Oui, ces êtres sont aimés par l’écriture (et ça se voit). Aussi est-ce une perte de temps collective que de leur barrer, une seconde, la route. L’élastique des résistances que vous tendez (alors !) ne pouvant que vous revenir, multipliée, dans la tronche.

 

Soit vous vivez l’expérience profondément. Soit vous vous leurrez dans l’absolue lâcheté de l’achetez tout. Et que vous ne tenez plus que du vent dans les mains. Selon, le « dilemme du prisonnier », tout vouer à l’argent ne peut qu’être que le mauvais choix ( 3 « graves erreurs » sur 4 et le dernier choix « avec séquelle »). Normal - être heureux est une qualité et l’argent une quantité. La quantité ne finit jamais. La quantité oui. Et, en général, mal !!!!

 

 (à suivre) 

 

Aussi le site freethewords.org à suivre de près


Publié dans sociéte

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article