Comment le chômage accuse fermement les gouvernements ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

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"La théorie du workfare se dissout dès qu'on la trempe plus de 5 secondes dans la réalité…l'Ocde elle-même met la patte en avouant des graphiques montrant que le "taux marginal d'imposition" d'un allocataire du chômage, au moment où il retrouve un emploi, se situe entre 80 % et 100 % (p. 45 – Laurent Cordonnier - Economistes en guerre contre les chômeurs – septembre 2011)." Alors vouloir nous impressionner avec des 75 % SEULEMENT pour les trop riches ? 80 0 100 % ? Soit par augmentation agressive des impôts, suppressions speedées des aides, il y a substitution (mais avec, au moins, un mois de décalage) entre le gain futur et la fin valsée de l'aide. Cette brutalité sans sas de décompression ne se retrouve jamais chez les riches a qui sont offerts nombre de dégradés atténués afin de régler différents achats…et c'est cette théorie- là du workfare (qui veut remplacer, fin1970, pas moins que le Welfare state !) qui veut se faire croire réaliste ? Avec toujours ces remontrances sentencieuses des politiques par rapport aux chômeurs qui, en bout de propagandes, accréditent (donc soumis à imputations de diffamations, ces politiques ?) que le chômage est volontaire !!! " Si la théorie du workfare opérait vraiment il y aurait actuellement en France non pas 2 millions de chômeurs officiels mais 7 millions de chômeurs volontaires (p. 46 – ibidem)?"  Est-ce le cas ?

La fausseté de cette doctrine, usuellement celle de l'OCDE ( c'est quoi l'OCDE ? en finançant l'OCDE, les peuples lèvent des armées contre eux – la définition ne vous suffit pas ?), obtient de nombreux effets pervers. Le dogme est donc que le chômage est volontaire et tous les chômeurs sont des "faux chômeurs" puisque cet état angoissant est, paraît-il (dans quelle déraison ces dirigeants vivent-ils ? qu'un seul n'admette pas que "pas d'argent pas de besoin" est bien la parole d'un barbare bestial non d'un civilisé et nous devrons mettre les politiques sous le régime des incapables majeurs) oui oui "désirable". Le but, d'établir (uniquement sournoisement, jamais franchement) que le chômeur ne l'est par une altérité naturelle et fautive. Ce qui représente une masse énorme de diffamés tout de même puisqu"'un travailleur sur 2 est passé par le chômage". Cela en fait du monde…

La fourvoiement de cette théorie du workfare, usuellement celle de l'OCDE , cache à l'attention et la vue des boucles de réussites. Ce sont, habituellement, les chômeurs qui trouvent des solutions aux chômages, pas du tout les dirigeants !!! Quels camouflets, n'est- ce pas ? faute d'écoutes de ces ingénieux humains, le chômage demeure à un taux de 4 à 5 fois au-dessus d'où il aurait dû aboutir avec une utilisation individuelle de toute la boîte à outils, cadrans ou dispositifs concernant la mécanique des fluides des activités corrélées…quelle claque pour ces dirigeants. Sans eux cela aurait été, sans doute, 3 fois moins grave. Ils ne font qu'aggraver les problèmes. La grisaille uniforme de qui se cache, lâchement, derrière des abstractions au lieu de voir la diversité humaine qui clignoterait tellement plus si l'on pouvait s'intéresser plus aux motivations qui poussent certain-e-s à se retirer, de leur seul mouvement spontané, de statistiques du chômage. Qu'aux coûts inclusifs du travail (le profit est un coût comme un autre, les revenus exorbitants des dirigeants doivent être classés dans le coût du travail et alléger d'autant la charge de ces trop bas salaires (au lieu, qu'en gros, ce soit l'exact inverse actuellement), etc…)…
 
Ensuite, le collapsus théorique général sur le travail c'est que c'est bien le système de dédommagements du chômage qui ne fonctionne pas puisqu'il omet d'indemniser 40 % des chômeurs "volontaires". Ce qui est un délit constitutionnel caractérisé (le travail est un droit individuel inscrit dans la Constitution). Donc l'égalité d'indemnisation doit prévaloir, dans la hiérarchie des actes législatifs. C'est les faiseurs de chômeurs qui sont là, aussi, complètement en faute.

Encore, une puérilité peu sérieuse face aux évaluations nécessaires si vous voulez décider. Savoir hiérarchiser les priorités et mettre en ordre les buts essentiels voient un non-sens immense. Pourquoi s'acharner sur ce qui (très gonflé !) ne représente que de 3 milliards d'euros par an pour les pertes aux caisses d'assurance chômage ?  Au lieu des 50 milliards d'euros par an (selon le Syndicat national unifié des impôts, Snui) de fraudes fiscales ? Avec 20 fois plus d'efforts pour chasser le chômeur plutôt que le trop riches cupide/ stupide ? Ce qui produit un manque à gagner maximum de 20 X 16,67 (assiduité X chiffre final) de 333 fois supérieure à l'autre solution non retenue. Quel non sens des affaires chez ceux qui s'auto-proclament rois des affaires (soit "vivent sur le dos de l'argent des autres" comme disait Alexandre Dumas fils) de toujours tout faire à l'envers, non ?  

Enfin, il faut toujours centrer l'essentiel, des structures de discours paranoïaques laissent planer un sérieux doute sur les méthodes "de travail" de l'OCDE . Prenez le raisonnement où le salarié et cotisant ne suit pas ce que les réformes leur apportent. Comme s'ils refusaient systématiquement leurs propres intérêts. Comme cela dérape complètement ? La réalité conserve le prestige de l'isotropie ? Si c'est universellement vrai cela le reste dans quasiment tous les cas. Ne peut-on pas voir, selon le même schéma, des riches complètement aveuglés sur leur vrai intérêt et qui négligent les chemins intelligents de la réforme. Vers lesquels des "conseillers" "coercitifs" devraient les ramener. Où cela s'englue dans l'incohérence? Comment peut-il se faire, d'ailleurs, que dans la sphère des trop riches il n'y ait jamais AUCUNE REFORME à faire. C'est logiquement impossible. Une sélectivité préméditée est derrière. Un favoritisme privilégié d'Ancien Régime se tient en arrière.  Une volonté égoïste qui veut écraser tout l'intérêt commun ?

Plus vous plongez, avec un regard neuf, dans le discours dominant, plus rien n'y tient plus debout. Prenez l'idéologie où, dans les années 1970, le capitalisme était vu "moins rentable" (rentable ? la rente pour seuls rentiers, uniquement. Tous les autres sont exclus!) amplifié en "au bord de la faillite". En effet, le partage des plus values (ce que rapporte la productivité, ce moins de temps passé sur chaque article) avait atteint un état de maturité. Mais le capitalisme par atavisme fatal, voit, dans ce partage devenu équitable, une perte pour lui. Autant, il fut plus globaliste autant depuis 20 ans il a perdu le sens des mesures, des proportions, des lignes de force, des perspectives, etc…Donc c'est le travail qui "coûte" trop cher (et pas l'avidité du capital ? Et pas l'hypocrisie indéfendable de placer l'impact des revenus exorbitants des dirigeants dans le sans conséquence pour les autres. Dès que nous entendons coût du travail, nous pensons à la réduction de la masse salariale due par ces détournements arbitraires des trop riches. Se tromper de destinataire à ce point lorsqu'il s'agit de coût du travail devient une impasse irréductible. Il ne faut surtout plus stimuler la demande tant que les ressources de la production (travailleur devenue à 100 % flexible c'est-à-dire qui a quitté l'Humanité pour devenir une abstraction morte de chiffre sans poids de réalité significatif, oui un robot dépouillé de tout son corps  – 100 % de flexibilité ce n'est pas du tout pour les vrais êtres humains et de vouloir violer cette réalité ne vous décrit que comme bourreau cruel et sans droit ni légitimité à œuvrer ainsi !!! Comme vous pouvez vous en rendre compte dans le blog "Société de performance, société de somnolence" du  mars 2012. 

Résultats des courses ? Nous situons le discours du workfare dans la sphère de la crédulité la plus totale. Etourdissant, non ? En effet, les étranges personnages qui se nichèrent à croire dans la Religion capitaliste se mirent à délirer sur des mains invisibles qui agissent pour le plus grand bien collectif. Chacun-e s'évertuant, pourtant, qu'à tout saboter en ne pensant qu'à ses pires intérêts. Ce tour de magie qui jamais explicité son déroulement, vous place, en plus, dans la position de l'omniscient carrément divin (plus de séparation des sphères d'énergies, comme dans les autres religions, là, en un clin d'œil, vous êtes dieu, vous pensez fric et la magie est avec vous…vous rentrez dans un sac pour vous aveugler entièrement, vous le savez et vous faites comme si votre seule ligne était divine, vos gains sont si mérités, vous êtes rare élu du ciel, vous n'avez aucun impact négatif sur les autres, la réalité n'existe plus, la guimauve poisse tous les contacts, on nage vraiment dans la pire utopie d'une "richesse" créé à partir de rien (la Bourse a inventé "l'argent métaphysique" extraterrestre qui tombe du seul fait de dire grigri totem totem Bourse)…toujours sans description du déroulement de l'expérience. Est-ce qu'encore un seul brin de raison ou de réalité siège en ces esprits ?

"De même que ce n'est pas le fait d'étudier qui crée les emplois qualifiés, de même que ce n'est pas le fait de partir à la cueillette aux champignons qui fait pousser les champignons, de même ce n'est pas chercher un emploi qui crée l'emploi [ou son manque]…(p. 54 - Laurent Cordonnier - Economistes en guerre contre les chômeurs)." Ce qui nous rétrograde bien "au melon qui existe pour que l'on puisse, en famille, en couper 6 parts égales"…une justification a posteriori d'une réalité qui n'a rien à voir avec la propagande étalée…Et qu'une vision enfin scientifique de la société soi complète sans exclusion possible, androgynat complet du réel femme- homme liés, sans partition ni séparation du moindre élément – nous obtenons des puits de vérifications…songez à celui où s'il y a un travailleur clandestin c'est que D'ABORD il y a patron clandestin. Le capital au noir ne peut que précéder le travail au noir. Pas d'endettés sans endetteurs premiers, etc…vous voyez, qu'à chaque fois, le vocable très familier c'est travail au noir et pas capital au noir. E qui avoue que le second, tellement plus coupable que le premier, reste des centaines de milliers de fois moins prononcé. Ce qui avoue une fuite massive de la société devant le réel entier !!! Autres puits de vérifications…Songez aux blogs tels "Qu'est- ce qui vous amène à vous amener ?" du 23 mars 2012 afin de vérifier l'intégralité de la causalité…ressentez les …qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? etc. La traçabilité est sans faille et la mise en accusation du capitalisme peut reposer sur la solidité des articulations argumentaires…

La causalité retrouvée et donc L'IMPUTABILITE JURIDIQUE de la grande délinquance capitaliste devenue possible

Dans cette logique le putsch illégitime permanent de la finance, son occupation exorbitante du Domaine Public, son anarchisme déloyal considéré comme '"tromperie délibérée" (à croire que qui est élu ne l'est que pour détruire entièrement l'Etat – d'où intervention de la Haute Cour de Sûreté de l'Etat), son assistanat dément ( 52 % du PIB mondial géré par moins de 500 multinationales absolument sur-subventionnées) ou ses conduites d'Ancien Régime (se croire inimputable judicièrement, refuser de répondre de ses actes, d'assumer sur ses propres biens ses pertes, de se comporter comme appartenant à un autre monde sans plus le moindre rapport avec le monde commun, d'où dérive tyrannique obligée…) seront, aussi, pris en compte dans l'acte d'accusation qui ne pourra que finir en son abolition : le capitalisme condamné !!! Où que vous le preniez il ne décline plus que ses prochaines inculpations…
                    …ainsi…  

Le chômage est un choix social. Il doit donc continuer à fond. En aucun cas, après ce choix, abolir le chômage n'est un but commun envisagé. Seulement fournir, la rente rentable et non inflationniste pour les uniques rentiers. A croire que le reste de la population ne concerne plus les dirigeants. Qu'ils les ont laissé tomber. Les chômeurs resteront, jusqu'au bout, entièrement sacrifiés. Se débrouiller seuls, les dépouiller de tous les droits sociaux – puisque, non d'essence divine (sauf, vous avez repéré, pour les croyants aux capitalismes) vous n'avez pas la légitimité de retirer des droits, de maltraiter autrui, de l'exclure, de le spolier ou de traiter en "chômeur". C'est vous qui êtes en faute. Vous ne pouvez accuser longtemps les autres de vos propres méfaits !!!

Le travail est "un droit constitutionnel" ce qui place tous les gouvernements dans un état permanent de délit constitutionnel. Le chômeur est une victime complète, celle qui a tant de torts "à faire réparer" oui même rétroactivement !!! Ou l'art de renverser les choses !!!

Plus clair pour vous…le chômage représente ce décompte de secondes qui abolissent vraiment le capitalisme. Chaque excès de chômage le rapproche donc de sa proche fin.

                    Plus clair, maintenant ?

à rapprocher, aussi, du fait déstabilisant que "Tous les chiffres sont bien contre le capitalisme" (blog du 23 février 2012)…les expertises du réel, dont font état ce texte, surgissent-elles d'avoir consulté, aussi, les blogs "une société, institutionnellement, organisée pour voler les pauvres" du 23 septembre 2011, "Tout l'argent gratuit pour les seuls capitalistes" du 25 septembre 2011 ou  "Les banques doivent faire leur travail" du 25 septembre 2011… en écho le 21 janvier 2012 d’André Orléan « Que les banques fassent leur métier », Le Monde, p. 6 « culture & idées »…,"L'angle mort de la finance", " Chiffres de l'occupation de l'armée étrangère de la finance" (blog du 17 février 2012), "Les crises sont causées par les excès d'inégalités ?", "Principe de précaution massif envers la finance ?", "Désindustrialisation : à qui la faute ?", "Plus ça va plus c'est vulgaire d'être trop riche","Gains collectifs partout", "La spéculation désocialisée", "Les émeutiers ce sont les trop riches ?", "Peut-on vraiment se dire "objectif" lorsque intéressé et profiteur ?","Le coût d’une non intervention publique ?", "Hontes du néolibéralisme", "Banques, plus rien ne va !!!", "Plus tu prends aux autres plus tu les enrichis !!!", "Les élus ne sont pas les propriétaires de ce qu'ils gèrent", "Plus con qu'un banquier ?", "L'infantilisme du "circuit intégré de la finance internationale"""Ce que représente l'argent des banques ?", "Collectif/ individuel", "Privatecity" – Publicity", "L'autorégulation étatique est prouvée …", "Donner l'apparence de la solidarité à un simple courant d'air (1 et 2)", "Du suffrage universel "libre et non faussé"", "au mieux des intérêts de tout le monde", "Qui on valorise ?", " La finance - une fraude systémique ?", "Comment le capitalisme se met à dos tous les génies ?", "Si la nouvelle génération de penseurs ne vient pas vite", "Le bon détour ne ment…" ou "POURQUOI LES MARCHES CA NE MARCHE PLUS ?"
Gains collectifs à la place des gains individuels, Fête sociale permanente, Service public du crédit, retour massif des services publics autogérés, et tant d'autres filons du futur etc – toute une nouvelle civilisation est bien, complètement, en place !!!

        Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
 (à suivre)

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org,   onglet 4  "Nul n'est  nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4  "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir ". onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie",  onglet 3  "Why do we left the left wings ?",  onglet 2  "Comment devenir un (e) athée du capitalisme".Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3,   LE ROMAN DE L'ECONOMIE,  ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? etc),  onglet 2.
Résistances au changement      Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Si ce blog a su retenir votre attention dans les 1 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu

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