La dette de la crise

Publié le par imagiter.over-blog.com

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Le discours qui ne réfléchit pas ce qu'il dit avance "crise de la dette" or il s'agit plutôt de " La dette de la crise". Ce ne sont pas les peuples mais les puissants qui ont tout mis en crise. Font-ils tout mal ? Déraisonnent-ils tout le temps ? Ils vont même jusqu'à avouer que ce sont toujours les plus petits qui trinquent. Mais qui boit donc sur leur dos ? Qui leur fait payer a note des beuveries au sommet ? Et si ce sont toujours les plus petits qui trinquent, ils sont mieux à même d'en parler, non ? 

 

La dette de la crise c'est que les puissants n'ont plus de leçons à donner à personne mais beaucoup à recevoir. Ils conduisent mal et se conduisent vraiment pas bien. Où voyez – vous là une légitimité à diriger qui que ce soit ?

 

Les lois doivent être clairement dirigées contre eux, afin de canaliser leurs débordements, assainir les conséquences de leurs irresponsabilités et empêcher leurs délires de retomber sur le dos des autres.

 

Oui oui les crises c'est toujours une masse qui subit et une minorité qui la fait subir aux autres mais qui ne la subissent pas eux-mêmes… Jusqu'à ce qu'une réglementation y veille, du moins. Même la force anti-crise existe: la B.A.C., brigade anti crise vous connaissez ? avec pour missions principales d'arrêter les trop riches et les puissants et de rassembler des preuves de causalités dans les crises (les trop riches et les puissants). Afin que la Justice détermine, exactement, les montants qu'ils vont devoir rembourser aux pays spoliés et  aux particuliers. Et de déshonorées banques françaises qui ont trop gagné avec la crise de la Grèce devront, aussi, rembourser ses habitants. Sans oublier Meryl Lynch ! etc

 

La dette de la crise c'est que le mouvement interne des crises est, désormais, clairement établi. Ce sont les trop riches et les puissants qui déclenchent toutes les crises, émeutiers sociaux permanents, barricadiers de la raison, fauteurs de troubles mondiaux, etc, vraiment des personnages dont il faut se méfier. La dette de la crise c'est qu'avait toujours été soustrait à la vue qui la subissait de plein fouet. Et que plus rien, dorénavant, ne pourra effacer l'identification de ces mouvements déclencheurs. Et les responsables devront bien répondre à…Qui démunit les démunis ? qui a déshérité les déshérités? qui s'est emparé des désemparés ? qui a endetté les endettés? qui a spolié les spoliés? qui fait travailler au noir ? qui vous fait travailler clandestinement ? Trop d'etc.

 

La déchéance verbale, qui accompagne les trop riches et les puissants, avec les médias déshonorés qui nous faisaient vivre dans un monde irréel, un conte de fées où rien n'était jamais causé mais où tout surgissait de chez les extra terrestres. Où aucun acte ni décision n'avaient le moindre effets. Où tout se montrait chimérique, béat, satisfait, enchanté. Puisque, enfin, pas de travailleur clandestin si pas de patron clandestin. Ce n'est pas par une mauvaise volonté ni une décision personnelle que le travailleur se déclarerait clandestin, puisque, par rapport à ce patron il ne l'est pas du tout clandestin, non ? La responsabilité n'est pas chez lui. "On" le nomme clandestin et on ose l'accuser d'avoir été nommé ainsi: quel manque d'esprit pratique, non ?  Pareil pour le travail au noir, le travail est fait en dehors de toute appellation, c'est bien le donneur d'ordres qui se le planque au noir pas le travailleur ? Faut-il insensé de le poursuivre sans sa cause, alors ? Identiquement, pas d'endettés sans endetteurs, on ne peut s'endetter tout seuls: c'est tellement plus réaliste et efficace de s'en prendre aux endetteurs, non ? Si l'on veut que les spoliations et spéculations cessent quoi de plus direct que d'empêcher les spéculateurs d'exister ?

Tous les mots usités montrent bien un état subi. Une conjugaison passive. On ne se démunit pas tout seul on EST démuni, si l'on vous voit comme déshérités c'est bien parce que votre héritage vous a été chouravé. Vous voyez bien pourquoi le bourgeois se montre si terrifié devant la raison, les mots et les débats (combien de complices inconscients ont-ils eu qui ont tout ait pour effacer trace de cela ?) ? Parce que la raison, les mots et les débats LES ONT DEJA VAINCUS, en leurs domaines. Ne reste qu'à répandre la victoire en tous domaines, non ?

 

Substantifs, ces noms dérivés d'un verbe, d'une conjugaison de passé composé, par exemple. Ce qui nous amène et aux yeux et aux oreilles ces "démunis" – sens qui "ont été" démunis. Résultats clairement passifs d'un côté et très actifs (mais antérieurement si dissimulés de l'autre…). Preuves accablantes et tout à fait recevables en Justice !!! Simplicité et efficacité vont ensembles.

 

Qui pourra encore cacher que les démunis ONT ETE démunis ? et que l'efficacité maximale demande de se concentrer, surtout, sur par qui démunis ???

 

Cet acte seul devient détonateur pour changer vraiment le monde .

 

Savez- vous pourquoi ?

 

(à suivre)

 

trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org,   onglet 4  "Nul n'est  nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4  "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir ". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3,   LE ROMAN DE L'ECONOMIE,  ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? etc), onglet 2.

Résistance au changement      Implique changement de la résistance

 

Si ce blog a su retenir votre attention dans les 1 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu

 

Publié dans economie et politique

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