Nationalisons donc le rire !!!

Publié le par imagiter.over-blog.com

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A chaque fois que nous pensons à "compétition" le poivre du rire nous secoue jusqu'à nos fondations. La vie quotidienne, tramée par "l'horreur capitaliste", paraît plus que navrante. N'empêche que tous les concepts utilisés par cette fumisterie ambulante (une métaphysique inénarrable !) sont voués à nous faire toujours plus hurler de rire…Pourquoi nous en "priver" ? Le privé prive de tout – oui ou on ? Ah bien oui alors, nationalisons donc le rire !!!

 

Première Fête :  COM- PETITION = SE PLAINDRE, MAIS A QUI ?

 

Compétition cum avec, qui participe de, pétition, la plainte, la râlerie sempiternelle, le bal des pleureuses, les jérémiades, les grincements, les lamentations, les récriminations, les gémissements ou les doléances que vous destinez à qui donc ? Ne serait-ce une transcendance, un arbitre extérieur qui ne participe pas à la mêlée : bref l'aveu d'un échec complet pour qui bramait le triomphe du tout immanence, la résolution complète par l'horizontalité de tout le monde également informé, la démocratie du juste plus de transcendance. Nous voilà, tout vautrés dans la magie régressive "de la main invisible" qui sait tout, qui ordonne tout. Bref le fiasco total de cette immanence par son plus beau fleuron, la concurrence. Concurrence, pratiquement, ce sont la râlerie sempiternelle, le bal des pleureuses, les jérémiades, les grincements, les lamentations, les récriminations, les gémissements ou les doléances, etc. lancés complètement dans le vide !!!

 

Oui oui la compétition met en miette le fonctionnement même de la compétition. Il n'y a nulle main invisible que les mains sales de la malhonnêteté, incapables de se débrouiller elles-mêmes, mais toujours prêtes à s'élancer vers un grand extérieur, une forte transcendance qui doit, sans cesse, réparer les dégâts causés par l'inextricable mêlée, l'indénouable écheveau, le chaos irrésolvable appelé compétition. D'où nulle omniscience, nulle auto-régulation, nulle auto-détermination – RIEN de vrai dans le capitalisme – puisque la trop bestiale main invisible met le DESORDRE absolument partout…pas de compétition mais l'inextricable mêlée de la bêtise obstinée ? Ce malheur flagrant de l'économie capitaliste ( de se profiler compétitif – par rapport A QUOI ? au Grand Extérieur ?), le comble du chamboulement et du désordre, ou bien le comble du tout inefficace, qui, partout, provoque des catastrophes dominos, sert bien de pub pour sa dissolution. Désormais, qui dira l'abrutie com-pétition, appellera pétitions sur pétitions à remettre à qui ? Quel est le "bras bien visible" nécessaire pour que continue/ ne continue pas cette compétition de bestiale bêtise ? L'essence de la compétition apparaissant bien comme la recherche frénétique de trouver l'arbitre qui mettra fin à la compétition. Comme le plus stupide des animaux courant après sa propre queue. La compétition se dénudant comme l'activité la plus ahurie et ridicule de toutes. Ainsi, le gémissement continu recelé, les pleurs maillant la tâche, la renonciation à toute volonté, voire virilité, par qui prenait l'attitude la plus triomphante – ne manque pas de recevoir le premier prix de tous les "contrastes". Il/elle ne cherchait qu'à se cacher dans un giron protecteur. Attitude de gitons… Le burlesque qui tue : la si "sérieuse" compétition est ce qui, globalement, veut juste s'auto-supprimer. S'autoeffacer. Se gommer, s'enlever, se gratter. Bref, s'auto-ôter. Caricature qui va avec ?

                                                                       Oh que oui : une outre gonflée avec, en bulle, soulignée par le gémissement aaaaaaaaa, "pétition, pétition, pétition". En face, le spolié, dont on voit les billets de banque sortir des poches pour aller dans les leurs, leur dit "de quoi vous plaignez-vous ?", "de quoi vous plaignez-vous ?" "de qui vous plaignez-vous ?". Enfin, une ronde d'enfants chantant "c'est la pétition c'est la pétition de la compétition, compétition des cons, des cons pétitions…", jetant tous les journaux financiers alentours.

 

Oui de chez oui. A chaque fois que nous pensons à "compétition" le poivre du rire nous secoue jusqu'à nos fondations. La vie quotidienne, tramée par "l'horreur capitaliste", paraît plus qu'affligeante. N'empêche que tous les concepts utilisés par cette fumisterie ambulante (une métaphysique inénarrable !) sont voués à nous faire toujours plus hurler de rire…Pourquoi nous en "priver" ? Le privé prive de tout – oui ou on ?

                                                           Ah bien oui alors, nationalisons donc le rire !!!

 

toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

            Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!

 Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

(à suivre)

            tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale

 

***trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org,   onglet 4  "Nul n'est  nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4  " La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir " et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie",  onglet 3  "Why do we left the left wings ?",  onglet 2  "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, Le Roman de L'Economie, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim il a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc),  onglet 2.

Résistances au changement      Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

La façon d’écrire se nomme infini respect

 

Si ce blog a su retenir votre attention dans les 2 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu

 

 

 


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Commenter cet article
L
<br /> l'excès de privatisations semble avoir éteint le rire - la confiance dans ces malades de convoitises "peu raisonnéezs" et "non préoccupées des autres" nous rend donc plutôt malades - merci<br /> d'approcher ces problèmes QUE du côté des solutions...<br />
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