Le « ce qui conçoit bien » enfin mis en procès ?

Un tel titre ne se laisse pas comprendre directement. Disons qu’il s’agit d’une aliénation collective qui rétrécit périlleusement les compréhensions du réel. Et qui multiplie les obstacles aux communications intra-humaines. Ajoutée aux nombreuses équivoques déjà très difficiles. A partir d’une interprétation erronée (le qui conçoit bien), des esprits superficiels semblent croire qu’il n’y aurait qu’une seule manière de comprendre le bien concevoir. Et, qu’automatiquement, seraient bien dites ces choses. Trop magique et trop facile ; de fait nous allons découvrir qu’il y a de très nombreuses manières d’interpréter. Fin de l’unipolaire là aussi.

La seconde impasse est que ce qui des conçoit bien n’est jamais explicité. Comme si cela allait de soi. Comme si tout le monde était d’accord sur la définition de ce « bien concevoir ». Comme sur celle d’énoncer clairement. C’est mettre la charrue avant les bœufs. Nous allons, de plus, découvrir que c’est tellement faux. Et que, devant la diversité des sensibilités, la collectivité en vient à maltraiter autrui pour une fascination non fondée. Fascination qui fuit, justement, de se poser…des questions exigeantes. Ces questions non posées signifient non enracinées dans le sol, dans le solide. Et le tout de flotter dans des mots jamais pensés, jamais réfléchis, jamais débattus, et jamais remis en…questions. Soit le confus intégral !

Justement c’est là le grand hic. Qui finit lorsque la fascination léthargique ne fonctionne plus. Ce que nous allons expliciter. Et faire ressentir.

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1 – Comment, telle une trompeuse publicité, l’argument se trouve irrationnellement inversé ?

Ce qui se croyait le front uni de « l’idéologie du qui se conçoit bien » se voit enfin démantelé. Front uni qui n’en revient pas de ce que « tous les commentaires » ne lui soient pas…soumis. D’où anicroches à leurs longs sommeils. Avec arme unilatérale si facile : comme pour le mot hideux complotiste, tu dégaines « qui se conçoit bien » et…tout se tait. Tout serait bâillonné. Hé bê bê bê.

---- L’anomalie vicieuse est qu’il y a inversion complète de la démonstration. Au point qu’il n’y a même pas démonstration.  La proposition principale devient “ ce qui s’énonce clairement ”. Et qui énonce clairement est « donc » qui conçoit bien.  Et surtout pas l’inverse. Ce qui reste à 10 000 kilomètres de se voir prouvé.

Oui c’est très exactement comme la publicité, l’antre de tous les irrationnels sordides. Ce qui est mis en avant ne sera jamais prouvé, mais présenté et représenté comme objet de fascination. Une hypnose chasse gardée : à force de la radoter et répéter, elle peut s’insinuer en vous et…détruire tout sain raisonnement. La publicité se déguise en raisonnable mais ne l’est surtout pas. Vu, déjà, sa dictature insensée sur les « moyens d’information ». Qu’elle voudrait, démentiellement, monopoliser. Tout en maintenant qu’il faille « croire » en elle. Surtout pas croire. C’est l’enfer dans le fruit.

Ici, le s’énonce clairement n’est apprécié que SUBJECTIVEMENT. Des goûts simplistes qui veulent s’imposer partout. La civilisation – sans plus d’objectivité et de probité - ne peut que disparaître. L’affaire est donc d’immense importance ! Et mérite à fond que nous nous en occupions !

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Puisque que prendre en pince efficace

cette régression collective

du soi-disant « qui se conçoit bien » s’effectue en enserrant cette bestiole

dans une… double pince hyper rationnelle :

>> -- 2- de Karl Popper et sa « non falsifiabilité ». Non falsifiabilité pour ce qui ne peut être remis en question, en interrogation, en doute, comme toutes les vraies sciences. Sciences toujours...réfutables. Soit le si...futé "que tout le monde peut réfuter" : A la place un pesant dogme clos sur lui-même et qui ne répond plus à rien. Mais se radote ainsi à l’infini. L’exemple du freudisme le place dans le non falsifiable : si vous remettez en cause un psychanalyste, vous êtes automatiquement atteint d’un trouble qu’il jette sur vous. Et, encombré de ce trouble, vous ne pouvez le remettre en… question. Jamais à la bonne hauteur, d’après lui,. Et donc nul ne peut critiquer le blockhaus fermé. Ce pourquoi la psychanalyse n’est pas une science. Ils « ont » toujours raison car ils ne sont ni dans la réalité ni dans l’objectivité

--- Pareillement le « qui se conçoit bien » le place dans le non falsifiable. Effectivement il fuit toute question transcendante. Genre ?  mais qui Dit, décrète le « qui se conçoit bien » ? Et c’est quoi, au concret, ce « qui se conçoit bien » ? Pourquoi jamais d’exemples tangibles, d’explications non embrouillées ? Que de la matraque à sens unique ? La réponse au premier c’est qui vous attaque avec un « qui se conçoit bien » qui va dire, décréter la «bonne» conception. Appropriation privative qui fait donc douter de l’honnêteté de leurs assertions. Seconde réponse le « bien » dans ce qui conçoit (vous concevez ?) c’est ce « bien dire » comme les pouvoirs, les gouvernements, les centres de…propagande le décrètent unilatéralement. Et pas de possibilités de contredire. Du non réfutable en béton ! Puisque le dire clairement c’est le concevoir « bien » (avec bons points des corrompus). Une fausse formule qui ne peut se contredire. Au réel, un char d’assaut qui écrase tout sur son passage. Faut l’avoir vécu durement pour pouvoir l’affirmer… et donc concevoir « bien » (ce que veulent les pouvoirs, en fait !) c’est bien formulé comme une soumission existentielle. Cercle vicieux des mots qui se répètent comme…uniques arguments.  Sans que d’autres arguments puissent exister. Être possibles : il faut sortir de l’aliénation collective pour retrouver ses esprits critiques.  Prendre conscience qu’il n’y a là que des pléonasmes sables mouvants…

Quelle saleté de propagande que «ce qui se conçoit bien » si redondant. Autoréalisateur. Maniaque obsessionnel., Ressasseur de faux sas...à gueule unique de matraque

Ceci fonctionne comme une publicité trompeuse – en plus, cela apparait réellement contre la science ! Le recul devient nettement flagrant : comme si l’argument ex-massue perdait tout en route ? Et tout ne fait que commencer !

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3-)) – Enfin profanée le profane de la fausse dignité prétendue sacrée du le « ce qui se conçoit bien ».

Soit…par l’usage plutôt fasciste qu’emploient ceux qui s’en croient couronnés. Ces dieux de l’inquisition qui donc insultent, vitupèrent, condamnent sans jugement, foutent la pression sur les lynchages médiatiques, vous expulsent arbitrairement, exigent le monologue unique (le leur !), etc. bref, se comportent vraiment très très mal (normal, ils conçoivent bien !). Leur idéologie non rationnelle, comme nous l’avions esquissée, est la trop même que celle des nuisibles décréteurs de complotisme. Impossible de prouver que l’on n’est pas (là complotiste, ici concevant bien !) lorsqu’ils parlent à votre place. Ces diffamations c’est sans vous mais contre vous – ensuite, on vous les fout à la gueule comme si vous ne pouvez qu’être d’accord sur la…sentence.

Le «ce qui se conçoit bien » fonctionne exactement pareil que l’imposture complotiste : essayez de prouver l’inverse…

En élucidant le revers sardonique autoréférentiel « se dit clairement » parce…que «se conçoit bien », etc. Le tout se renforçant à chaque répétition pétrifiée et sidérée. Et tout ceci sans jamais de preuves montrables et…recevables !

Le non démontrable appartient à ces non falsifiables. Ils ne peuvent démontrer que oui, et vous ne pouvez démontrer que non. A moins de sortir du cadre ! Rien n’est objectif dans le «ce qui se conçoit bien » que de la force des brutes. Violences noyées dans le si confus de toutes ces fuites devant les vraies questions… Ce sont des idéologues acariâtres et enfantins qui refusent d’être contredits. Leur monologue seul est « sacré ». Et les faiseurs de concepts nouveaux leurs apparaissent comme des ennemis jurés. Ce qu’ils ne sont pas : mais il faut, d’abord, les libérer de l’aliénation pour qu’ils y croient enfin ! Et entrent dans la santé mentale, morale et affective de ce que nous pouvons...réfuter !

Rappelons fermement le fascisme complet du raccourci du « ce qui s’énonce bien » (décidé par qui déjà ?) qui vous envoie aux ghettos, aux camps, aux goulags : mais c’est qu’elle/il ne conçoit pas bien. Cela ne fonctionne pas bien chez lui (s’intoxique-t-on !). Y’a anomalie. Faut la/le vite classer chez les malades mentaux. Raccourcis « aisés » donc terrifiants. Vaut mieux plus oser ce ce qui conçoit bien, lorsqu’ils existent des milliers de façons de concevoir. Et pas qu’une seule : qui serait la « bonne » !

La prétendue « bonne » qui en est devenu maléfique par son usage trop commode pour ceux qui tiennent l’illégitime fusil !

Nous avons, là, la suite précise de ce texte, qui avait déjà déblayé le terrain…

https://www.imagiter.fr/2023/06/libertes-d-expressions.html

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4)) – qui veut agir et libérer use toujours de la dialectique.

Et donc la puissante réhabilitation du style, le Style c’est l’homme, résulte de la déchéance libératrice du «ce qui se conçoit bien ». Le style appartient désormais aux vrais résistants. Et le style réhabilité va enfin rendre si heureux tous ses fervents adeptes-adoptes.

Nous avons enfin quitté cette obscure…clarté !

Oui aujourd’hui le monde est plus libre. La répression-régression recule. La pression si néfaste du  «ce qui se conçoit bien » est enfin éteinte. Le non falsifiable ne fonctionne plus. Les possibles sourient et dansent.

C’est la grande fête dans la pensée. Rien n’empêche d’y participer.

Tout recommence !!

5 )) - Vérifications méticuleuses :

…nous avons demandé à 1196 personnes ce qu’elles entendaient dans «ce qui se conçoit bien », puis dans ce « qui est bien énoncé ». Eh bien, chaos et éparpillements dans les réponses : vous n’avez pas 2 opinions semblables autour du comment ce qui est bien conçu. Pareil autour de ce qui serait bien énoncé. Comme si l’idéologue agglomérée sans conscientisations de Boileau n’avait produit que des projections, des fantasmes, des désirs individuels, des rêves couvés séparés de conceptions et d’expressions. En tout cas, pas de quoi asséner fortement que certains ne conçoivent pas dans les règles et n’énonceraient pas bien du tout.

Chaque opinion individuelle ajoutée à chaque opinion individuelle ne peuvent former, ensembles, une théorie scientifique unanime pour, ainsi, se donner tous les droits d’oppressions et de répressions. Puisque diversités d’opinions = diversités d’expressions. Nous n’avons pas trouvé l’origine des psychorigidités qui poussent à poétiser qu’il n’y a qu’une façon de concevoir (la bonne !) comme une unique énonciation. Et que donc d’abolir en toute brutale irresponsabilité les libertés d’expressions n’est plus possible. Les styles libèrent, pas du tout l’idéologie du ce qui conçoit « bien ». Ce qui semble enfin remettre définitivement en cause le dogme tautologique « qui conçoit bien ». Comment est-ce bien conçu…mais « parce que » cela s’énonce clairement. Et, serpent qui se mord la queue, énoncé prétendu clair puisque bien conçu. Machine inconsciente à faire le vide autour de soi. Rien n’y est structuré comme un raisonnement rationnel. Et le tout maintenu dans un « flou » oui un flou bien confus. Ce qui est un comble devient donc la confusion qu’amène cette fausse clarté ? L’énoncer renonce, dès le départ d’énonciation, à raisonner. C’est un annoncé pléonastique plus qu’une élaboration réfléchie.

Quel foutoir donc que cette poésie-miroir des méchancetés faciles. T’as qu’à dégainer, et l’autre immobilisé, oui sidéré par tant de haines infondées ne peut réagir. Enfin jusqu’à aujourd’hui !

Essayez de démontrer l’inverse pour voir. Vérifications terminées.

Merci et à bientôt bien…tôt !

6 ) --….des obscures clartés ?

…il est donc de fausses clartés. Boileau ou bien l’oxymore. Le miroir à fantasmes qu’il y aurait (comme …ça !) un modèle unique qui conçoit bien en fait tristement partie. En fait tu projettes tes fantasmes, ta vision du monde. Et tu décrètes…abusivement… que tu « sais » ce qui se conçoit bien et comment le saurais-tu ? Car ça « s’énonce « clairement ». Or, personnellement, ce s’énonce clairement au concret me déplait. Fortement. Ne me convient pas. C’est simplet, benêt, cela ne quitte pas les généralités, ceci n’explique rien, cela reste seulement superficiel avec une pauvreté de langage à frémir, etc. Entendons plutôt !

« Mais à n’emprunter que des chemins faciles, on n’admire que des paysages limités. Il ne faut pas reprocher à la montagne ses sentiers escarpés. (…) Et tant qu’à gravir une montagne, autant s’attaquer à la plus haute. La vue n’en sera que plus spectaculaire (p. 85 – Sôsuke Natsukawa – Le chat qui voulait sauver les livres - juillet 2023). »

Cette notion d’extrême facilité, trop incluse dans l’aisé qui conçoit bien, voulait nous cacher toutes ses faces obscures. Dont celle-ci : « les ouvrages plus complexes perdent rapidement de la valeur au seul prétexte qu’ils sont difficiles à comprendre (ce qui est un vrai plus, devient un moins dangereux !). Tout le monde voudrait pouvoir lire les livres aussi facilement qu’on télécharge des compilations de chants. (p. 83 - Le chat qui voulait sauver les livres) » Tout « doit » (sic) être amusant et rapide, sans se prendre la tête. Donc lisse comme les toboggans des vides intérieurs. Sauf que la perte existentielle se montre immense : sans réfléchir, nous pourrions penser ? Surtout pas !

Se tellement limiter au qui conçoit c’est bien choisir la solution de facilité ! Celle qui, au final, nous limite tant…

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Vous voyez bien que vous dites s’énonce clairement et que d’autres découvrement que ce « clairement » c’est juste du trop rabâché, un million de fois matraqué. Pourquoi en rajouter une couche sinon pour dissimuler le vrai...nouveau ? Tout en n’informant sur…rien.

A bannir cette crasse paresse mentale et affective où certains se mirent à devenir les Crs des styles des autres et se mirent à leur cogner…dessus…

….dans la pire des conceptions possibles, vous voyez !

………..(à suivre)

En sourire ajouté, ce dernier extrait probant de « Le chat qui voulait sauver les livres » ?

« Rencontrer un texte difficile est une…chance (…) Si tu trouves une lecture facile, c’est que tu en connais déjà le contenu. Si une lecture te paraît difficile, c’est la preuve que son contenu est nouveau pour toi (p. 193). »

Et que ? C’est en réalité ton toi profond, difficile et toujours nouveau pour toi, que tu vas découvrir, veinard.

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

          Que la si vaste offrande au monde entier nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Bien nommer c’est résoudre à moitié la problématique bloquante

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 Nous sommes la santé de la société

 …les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Vous changez vos mots, vous changez vos vies

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

de clarte.com.mx…il est donc de fausses clartés. Le miroir à fantasmes qu’il y aurait (comme …ça !) un modèle unique qui conçoit bien en fait tristement partie. En fait tu projettes tes fantasmes, ta vision du monde. Et tu décrètes…abusivement… que tu « sais » ce qui se conçoit bien et comment le saurais-tu ? Car ça « s’énonce « clairement ». Or personnellement ce s’énonce clairement au concret me déplait. Ne me convient pas. C’est simplet, benêt, cela ne quitte pas les généralités, ceci n’explique rien, reste seulement superficiel avec une pauvreté de langage à frémir, etc.

Vous voyez bien que vous dites s’énonce clairement et que d’autres découvrent que ce « clairement » c’est juste du trop rabâché, un million de fois matraqué. Pourquoi en rajouter une couche sinon pour dissimuler le vrai...nouveau ? Tout en n’informant sur…rien. A bannir cette crasse paresse mentale et affective où certains se mirent à devenir les Crs des styles des autres et se mirent à leur cogner…dessus…Dans la pire des conceptions possibles, vous voyez !

wikistrike.com/2020/09/bientot-dans-votre-ville-la-reponse-totalitaire-de-l-australie-au-covid-cree-un-precedent-pour-tout-dictateur-en-devenir.html

La dictature, ça veut dire que l'on n'a jamais à admettre ses propres erreurs

Même en mettant de côté les faux positifs, les terrifiants modèles informatiques qui ont inspiré tant de pays et d'États à verrouiller ont depuis longtemps été dénoncés comme étant erronés. Cependant, les politiques qu'ils ont inspirées n'ont pas été réexaminées. Étant donné les énormes dommages collatéraux qui découlent de l'arrêt de l'économie d'un pays - les statisticiens ont averti il y a quelques mois que le nombre de suicides en Australie serait dix fois plus élevé que celui des décès dus au virus, une part importante de ces décès inclue des jeunes, tandis que les experts médicaux britanniques et américains ont averti que les confinements tuent plus que le virus qu'ils sont censés arrêter - il n'y a aucune excuse pour enfermer les jeunes et les personnes en bonne santé afin de protéger les personnes âgées. Le fait que ces mêmes personnes âgées soient plus susceptibles de mourir de causes autres que le Covid-19 lorsqu'elles sont maintenues dans l'isolement social ne fait qu'ajouter à l'insulte.
 

ce lien explicite que le vrai message de Boileau est plutôt

« qui conçoit loin, énonce difficilement ».

A partir de l’étude complète de la totalité du poème : cela semble mieux que

d’arracher hors contexte le mauvais passage !

Comment guérir du ressentiment, cette « fureur qui consume » ? L’enquête de Cynthia Fleury…Dans « Ci-gît l’amer », la philosophe et psychanalyste décrit, en convoquant Montaigne ou Maurice Blanchot, ce mécontentement sourd qui gangrène l’existence des hommes. Et retrace les chemins empruntés par qui travaille à dépasser cette « morsure accélérée ».

Le ressentiment est un poison pour soi-même.

« “Le corps, un acteur essentiel de l’esprit”

Les choses ont commencé à changer au tournant de ce siècle, quand Antonio Damasio, chercheur en neurosciences de l’université de Californie du Sud, a lancé le domaine de l’embodiment ou “cognition incarnée”. “Je défends l’idée que le corps est un acteur essentiel dans tout ce qui a trait à l’esprit”, explique-t-il. Après avoir été minoritaire pendant des années, il a été rejoint par quelques chercheurs, parmi lesquels Sarah Garfinkel, dans sa quête de l’origine corporelle de notre perception de nous-mêmes.

Leur point de départ, c’est l’intéroception, une espèce de sixième sens de ce qui se passe dans notre corps. L’un des moyens de la mesurer, c’est par exemple de demander à quelqu’un de compter les battements de son cœur pendant un temps déterminé et de comparer le résultat avec celui d’un électrocardiogramme (ECG). Cette capacité varie beaucoup d’une personne à une autre. Celles qui perçoivent le battement de leur cœur avec le plus d’exactitude tendent à prendre de meilleures décisions intuitives et perçoivent mieux les émotions des autres.

Que se passe-t-il exactement ? Pour le savoir, les chercheurs avaient besoin de mesurer l’intéroception dans le cerveau. Ils en ont trouvé le moyen avec le potentiel évoqué par les battements du cœur (HEP), c’est-à-dire la réaction du cerveau aux battements du cœur. Il existe beaucoup d’études sur la question car le HEP est relativement facile à mesurer : le rythme cardiaque n’étant pas complètement régulier. »

informaction.info/vidéo-mouvements-sociaux-ces-crapauds-fous-qui-ouvrent-la-voie-pour-sauver-lhumanité-thanh-nghiem-tedxvaugirardroad

Chaque espèce a ses stratégies pour survivre. Celle des crapauds est d'avoir dans chaque groupe des individus divergents : les crapauds fous.

Malgré les apparences c'est souvent sur eux que repose la survie du groupe. Un exemple à suivre ?

Minimal Techno & Deep Melodic Techno - Listen to FREE music: http://bit.ly/artminimal

université-des-hauts-potentiels.kneo.me/shop/view/LIBRETONPOTENTIEL-NIVEAUX14

 2 jours et 6 h…

Alors que l’humanité est aux prises avec les implications de ce changement de pouvoir, les fondements d’un grand jugement prennent forme. Ce schéma remettra en question les croyances et les structures de longue date qui ont soutenu la domination occidentale sur le monde depuis les quelques centaines d’années, exposant en cours de route la nature du droit perçu par l’Occident à diriger l’ordre hiérarchique mondial. Le résultat final sera une réévaluation significative des relations internationales telles que nous les connaissons.

Renversons les méthodes – commençons par ce qui est le Plus Censuré : pour 2 motifs – 1))… niquer les salopards qui censurent en leur foutant un nez rouge de ceux qui aident le Plus à faire connaître les bonnes idées (…leur camp de faux jetons ne va pas apprécier et va …censurer les censeurs tous mouillés…)- …2 ) --pour des méticuleux tels que nous, les chances de rencontrer de bonnes idées… augmentent d’avec les acharnements à les masquer…on ne cache pas ce qui est trop médiocre (sauf si ça vient des indignes gouvernements…)

Créer de faux mouvements boursiers juste pour faire gagner illégalement leurs actionnaires (c’est ça le CAC 40, si minable sur le fond)…sauf que la symétrie c’est l’inflation actuelle. Inflation actuelle pour la population globale = un « sur-impôt » forcé !!!) Donc ne pas taxer les illégaux surprofits c’est taxer, à la place, l’honnêteté des majorités ? Tant d’injustices ne vont pas durer longtemps : s’envolent les compréhensions

« En plaçant ses sociétés sur une base idéologique, la (prétendue) élite occidentale s’est mise au pied du mur.

Elle ne peut pas être compétitive, elle ne peut pas développer ses économies ou ses sociétés, et elle ne peut pas revenir en arrière. Pour résoudre les problèmes de l’Occident, il faudra un renouveau économique, où une économie réelle remplacera l’actuelle fausse économie de services financiarisée (donc par l’intervention d’un tiers ?). Cela ne peut se faire sans placer le groupe détesté des 1,5/8 à des postes de pouvoir. Par conséquent, cela ne se fera pas tant que la classe dirigeante occidentale actuelle… sera au pouvoir.

Les sociétés occidentales ne survivront pas à une relance économique dans leur configuration idéologique actuelle. Le conflit est donc la seule option qui reste à la classe dirigeante pour s’accrocher au pouvoir. »

Refusons ce conflit (le « leur » uniquement ) et prenons cette non élite dans les filets des transformations globales ! Le fait maniaque qu’ils censurent sans discernements prouve déjà que l’immense lézarde est en eux. Censurer avoue toujours de toujours que vous…avez tort !

L’univers une conscience ? « De fait, ce que les mathématiciens suggèrent, c’est que si nous voulons obtenir une description précise de la conscience, nous devrons peut-être abandonner nos intuitions et accepter que toutes sortes de matières inanimées puissent être conscientes – peut-être même l’univers dans son ensemble » poursuit l’hebdomadaire. Comme le résume Johannes Kleiner, mathématicien au Munich Center for Mathematical Philosophy en Allemagne :

 « Cela pourrait être le début d’une révolution scientifique »

En effet, malgré leurs immenses avancées, les neurosciences ne sont toujours pas en mesure de décrire la conscience. « La dure vérité est que les neurosciences ne nous ont pas rapprochés de la question de savoir comment les neurones provoquent la joie ou la colère, ou l’odeur du café », résume le New Scientist. La difficulté provient de la nature intrinsèquement subjective de l’expérience ressentie. Ce n’est pas quelque chose que l’on peut produire et mesurer. »

Pas moyen de « prouver » scientifiquement que nous aimons. L’amour un vrai mystère ? Inaccessible à ce qui n’est pas amour ?

https://youtu.be/Ew4E4c-U5AY

1 h 53 mn…On ne l'entend plus trop car largement censuré. L'excellente chaîne "Des Paluches et des Bouquins" donne la parole à Alain Soral suite à la sortie de son livre "Comprendre l'époque, pourquoi l'égalité ?", après 1 heure la bourgeoisie est définitivement Non sérieuse (des branleurs sournois qui mentent tout le temps)…suite "Comprendre l'Empire".

52 mn… Sapiens, et la musique fut  (35 000 à 40 000 ans)

« Grottes et points rouges…l’acoustique est très bien comprise…25 mn 30 les stalactites = orgue naturel et 24 sons…amérindiens un os de rennes de 100 000 ans pour calmer les rennes…les flûtes retrouvées surtout dans le Pyrénées…la chant aura précédé (possibilités vertébrale)…

Mais des découvertes ont ébranlé ces représentations, notamment celle d’os d’oiseaux perforés ressemblant furieusement à des flûtes, vieux de plus de 35 000 ans, retrouvés par l’archéologue Suzanne Münzel au cours des années 1990 dans le Jura allemand. Explorant les grottes "avec les oreilles", des acousticiens ont aussi établi des liens entre l’emplacement des peintures pariétales et la résonance des parois. Autant d’avancées qui incitent à reconsidérer certains objets préhistoriques. Vus comme des pilons à céréales, des cylindres venus de Côte d’Ivoire, rebaptisés depuis "lithophones", produisent ainsi une pluie de notes cristallines… Orgue naturel Au cœur de la nature ou de grottes splendides, des scientifiques tentent de cerner la pratique musicale d’Homo sapiens et de son cousin Neandertal. Cette quête passe par la patiente reconstitution d’instruments retrouvés épars et l’élaboration de répliques dont des musiciens tirent des sons émouvants, parfois très mélodieux. Explorant la grotte de Saint-Cézaire, près de Grasse, le paléomusicologue Erik Gonthier a, par exemple, testé les sonorités d’un amas de stalactites, qui, tel un orgue naturel, résonne majestueusement sous les voûtes. Omniprésente chez nos ancêtres, la musique les aidait peut-être à apprivoiser la nature, à dialoguer avec des animaux dangereux ou totémiques au cours de cérémonies animistes. Les grottes ornées prennent une signification nouvelle et apparaissent désormais comme le théâtre d’un art total, associant peinture rupestre, chant, musique et danse. Un fascinant voyage scientifique et sonore à travers l’Europe, à une époque où se fondaient en un même creuset, sacré et profane, émergence du langage et naissance de la musique. »