Qu’est-ce qui apprivoise l’humain ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Qu’est-ce qui apprivoise l’humain ?

Cette auto-domestication même ? Lorsque l’on constate que le fauve le plus déchainé, le prédateur le plus inconscient et déraisonnable c’est, désormais, l’homme ? Parce que toujours plus incapable d’OBÉIR aux lois de la Nature. Cet homme n’a pas créé l’Univers, ni le Big bang, pas non plus la Terre et la Nature. De cette position dans l’universalité – le comportement vraiment raisonnable c’est bien de suivre (comprendre à fond et suivre tout autant) les lois évidentes de la Nature. Il y a, actuellement, une partie très dangereuse de l’Humanité qui se montrent complètement inapte à ce réalisme global : financiers, hommes d’argent et autres irrationalistes. Qui prennent, fanatiquement, l’argent pour la réalité supérieure de tout l’univers. Tous plus lunatiques les uns que les autres…à nous alors – grâce à l’acceptation de l’apprivoisement (et non du dressage, de la domestication ou de l’asservissement) de transformer leur enfer négatif en positivité heureuse !!!!

Dans ces « Règles pour le parc humain », Peter Sloderdijk – sa Lettre sur l’humanisme d’apparence très irritante se révèle, pourtant, avoir trouvé un inhabituel point de vue très prolifique !!!

...

1) - Peter Sloderdijk : La domestication de l’Être.

https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Domestication_de_l%27%C3%8Atre

...

Cette « ontoanthropologie » se propose de réfléchir sur la production de l'homme par lui-même en insistant notamment sur son rapport indissociable à l'espace ou l'environnement (Umwelt, selon le concept introduit par Jakob von Uexküll).

Dont les chapitres 2 et 3 :

 II. Etsi homo non daretur (« Même si l'homme n'était pas donné »)

 III. Penser la clairière, ou: la production du monde est le message

...

...

2) - D’Antoine Danchin - Notre anomalie cérébrale salvatrice.

http://www.larecherche.fr/idees/chroniques/refusons-domestication-homme-01-10-2004-76292

...

« Bien sûr, les microbes restent notre avenir le plus sûr: ils s'adaptent aux circonstances les plus monstrueuses. Ils seront là longtemps encore, et feront naître bien de nouvelles formes de vie. Mais notre vanité d'animaux « doués de raison » aimerait bien autre chose. Or, sans que personne ne trouve à y redire – on a tellement peur de faire l'erreur de n'avoir pas reconnu le génie qu'on le tue plutôt que le laisser naître – l'eugénique fleurit dans nos nouvelles technologies. Pourtant, si l'homme doit avoir un avenir, ce sont probablement ses formes « anormales » qui sauront survivre – pourvu qu'on ne les stérilise pas, ou qu'on n'organise pas le refus du partage des êtres-humains entre hommes et femmes, bien distincts et complémentaires.

...

Déjà la surconsommation médicamenteuse tue ceux qui possèdent des gènes utiles du temps où nos ancêtres primates étaient végétariens: ces gènes codent des protéines qui modifient les médicaments en poisons violents. Les «dégénérés » qui ont perdu ces gènes vivent mieux dans notre monde nouveau. Et que dire du développement de notre cerveau? Il y a souvent peu de distance entre le comportement de patients atteints de syndromes comme le syndrome d'Asperger, et le nuage au sein duquel vivent de grands mathématiciens. Qui sait quel sera le cerveau dont nous aurons besoin, demain? Déjà l'ordinateur fait le tri dans la population: il y a ceux dont il est le familier, et les laissés-pour-compte. Et notre mode de vie crée aussi de nouvelles épidémies, et il est bien difficile de deviner qui en seront les survivants féconds. Mais nous souhaitons, trop puérilement, créer des enfants poupées Barbie pour tous.

...

Faut-il vraiment domestiquer l'homme? Il ne fait aucun doute qu'il serait possible, comme pour les chiens ou les chevaux de créer des grands, des petits, des forts, des agiles, des blancs, des beiges et des noirs, des gardiens ou des veilleurs. Le sport et ses drogues nous y ont déjà menés, tout comme la manipulation des embryons nous y amène, et pour combien de générations? Le sort qui nous attend est alors celui des animaux domestiques retournant à la nature: la déchéance et la mort.

...

3) – Un autre humanisme qui ne se sépare plus de la Vie universelle ?

http://www.lesmutants.com/slot2.htm

...

Aujourd’hui, remarque Sloterdijk, c’est tout le projet de la politique humaniste qui se trouve brutalement remis en cause. Nous sommes entrés dans une ère « post-épistolaire », « post-littéraire » - et par là même, « post-humaniste ». L’École par exemple se voit érodée en amont, avec la déstructuration de la famille et du tissu social, tout comme en aval, avec la crise du travail. Elle est de plus en plus concurrencée par les techniques de communication (télévision, ordinateur personnel, Internet,…).

Le traitement pénitentiaire des pathologies sociales, s’il n’est plus considéré comme l’unique remède, est encore largement majoritaire et, par des processus accélérés de décomposition sociale, ne fait bien souvent que renforcer les problèmes et conduire à un cercle vicieux.

...

Alors comment socialiser l’homme, puisque c’est le fond de la réflexion et sa question transversale ? Comment y parvenir dans une société de plus en plus complexe, alors que les pathologies sociales empêchent un grand nombre d’individus d’acquérir le minimum requis et que l’enivrement médiatique produit une désinhibition grandissante ?

..

Sloterdijk note d’ailleurs : « La perte de l’héritage n’est que le commencement. S’y ajoute, au niveau spirituel, le désenchantement, l’hébétude. Beaucoup de personnes perdent et oublient leurs qualités de médiateurs. Ces gens-là deviennent de maussades consommateurs finaux de biens et d’informations. » La question se pose d’autant plus que, grâce aux avancées de la génétique et de la recherche biomédicale, on voit se mettre en place des contrôles biologiques du comportement et de nouvelles pratiques eugéniques anonymes (au nombre desquelles l’avortement thérapeutique).

...

L’apprivoisé est bien un RELIÉ : il ne perd aucun héritage. Se sentant, à chaque seconde, connecté, branché, reliè avec chaque point de l’univers, chaque civilisation du passé et chaque pays actuel de la planète. La Nature ne lui est pas étrangère mais le lien qui le rappelle , sans cesse, à la réalité universelle !!!

Ce qui le place en position très favorable pour discerner ceci : tout semble, actuellement, fait absolument à l’envers : la pensée n’arrive plus à y parcourir des segments réflexifs pourtant peu complexes :

..

** Nous pouvons opter pour nous apprivoiser

** Mais nous apprivoiser à quoi ? Auprès de qui ? Et en sens inverse : qui (ou quoi) devrait nous apprivoiser ? Et non dresser !

** Avons-nous des témoignages de qui aurait eu le courage – non, cette fois-ci, de l’auto-intoxication volontaire …à l’idéologie lourde - mais bien le courage de s’auto-domestiquer . Soit d’accepter une forme d’ apprivoisement.

** Tous les liens que nous avons pu trouver, pour le moment, ne marchent pas vers cet apprivoisement qui est – l’étymologie l’effleure – une façon d’apprendre. Que l’appris – voisé, voisin, a été vu, vois…

..

*** Ce qui conserve, alors, la posture que nous devons quitter absolument pour survivre : celle dite du sauvage, de la sauvagerie, oui de la bête fauve que rien ne peut dompter, raisonner, rendre rationnel, sensible, ouvert, perspicace, intelligent. Et sauvage ce n’est pas, ici, le contraire de la civilisation c’est son excès sans plus de sagesse, de réflexion, de raisonnement tout entièrement parcouru. Disons que la Nature n’aura pas réussi à …apprivoiser ces humains. Disons aussi : que ces humains ont refusé, sans argument, de même se laisser effleurer par l’apprivoisement.

...

Le vibrionnement, l’électron aléatoire, l’être si peu libre qui ne connaît même rien de son parcours : oui le d’où je viens, ce que je fais et dans quelle direction je me dirige. Enfin, sais-je, au moins, le but, vers quoi j’aboutirais. Et toutes les conséquences concrètes de ces choix successifs. Qui ne paraissent plus qu’impulsifs et inconscients.

...

Aussi, le merveilleux instinct de l’homme a redescendu toute les marches. Et vire à faire de toute réflexion un réflexe mécanique. Et de tout réflexe une flexion d’abaissement. Où est l’élévation et du cœur, de l’esprit et du corps glorieux d’un tel personnage si gonflé d’orgueil ? Orgueil trop étrange qui semble se satisfaire de toutes ces images de rétrogradations. Qui refuse l’apprivoisement régresse donc !!! Faute d’appuis à l’extérieur de lui…

Il semble bien que, sans apprivoisement, l’humain connaisse, plutôt, la défaite générale. Même s’il y a des victoires locales, mais trop dispersées pour construire un ensemble cohérent. Et qui ne ressemblent pas à construire pour durer !!!

4) – Comment avons-nous perdu la compréhension d’une bonne partie de la culture universelle ?
http://www.philagora.net/corrige/cult-domest-hom.php

..

Toujours plus d’incompréhensions ? Afin de parcourir ce nouvel état de fait – parcourons la question déjà bien corrompue du texte ci-dessus ? La culture serait une domestication ? Oubli sommaire de l’éducation qui peut-être une émancipation

==> L'éducation consiste -t-elle à supprimer la nature ou à la maîtriser, à l'utiliser, la canaliser ?

Question fondamentale – dans un pur jeu rhétorique alors - la nature peut-elle être supprimée? Et qu’est la Nature ? La nature c'est ce qui est donné à la naissance, par exemple, le programme génétique. La culture c'est ce que l'homme ajoute à la nature. Ce simplisme, toujours hors sujet, nous rend à l’étroit dans toutes les situations. Pourquoi? L'homme est-il un produit de la nature ou de l'histoire? Comme s’il n’y avait pas une histoire naturelle, une Histoire de la formation de la Nature et de la naissance de la Vie !!! On y ajoute, dans ces pensées incohérentes afin de ne rien comprendre, un soupçon de liberté comme mouvement de l'existence toujours par delà l'essence. Et aucun tour n’est joué.

Toute cette vaine agitation, où il n’y nul apprivoisement que de l’asservissement, pour rien. Juste de tels questionnements : Y- a-t-il une nature humaine, une essence humaine ou, plus simplement, une condition humaine? S’il y a une nature humaine c’est la nature qui apprivoise. S’il y a une essence humaine ce sont les immenses entités qui apprivoisent., Et s’il y a une condition humaine tout se passe au conditionnel et c’est l’aléatoire potentiel qui apprivoise. En tout cas, les interrogations transcendantales, quelles qu’elles soient, impliquent toutes un… apprivoisement. Pourquoi ne pas commencer par là ?

...

4) - Peter Sloderdijk : Des avantages de la néoténie.

http://1libertaire.free.fr/sloterdijk.html
L’ontologie revisitée et perçue comme jamais auparavant.

Tout cela est favorisé par la néoténie, c’est le mot employé pour qualifier le fait que les enfants humains ne naissent pas tout à fait « fini-es ». Il parle de « l’immaturité animale chronique de l’être humain ». Une grande partie de notre processus de maturité se fait à l’extérieur du ventre maternel et au sein de la communauté humaine. L’élevage humain a un rôle important dans le développement du cerveau. Ce qui au départ est une fragilité extrême devient un avantage considérable par la suite, puisque la maturation peut alors comporter la transmission de la culture. Sloterdijk nomme cela « la couveuse symbolique ». Il considère que le langage est un résultat de tous ces processus. Ceci explique bien pourquoi les humains sont passés d’une évolution biologique à une évolution bio-culturelle.

..

Cette façon de voir l’hominisation lui permet de revenir sur notre vie contemporaine, où nous côtoyons régulièrement l’apocalypse. Selon son analyse, nous n’en sommes pas responsables ni coupables. Cette affirmation ne concerne que le citoyen de base. Par contre, un certain nombre d’humains ont une réelle responsabilité dans le développement et la reproduction du système de domination actuel. Soit parce qu’ils décident de l’assumer ou parce qu’ils restent passifs et en profitent sans trop s’inquiéter. Sloterdijk note donc que le monstrueux fait partie de notre vie maintenant. On le constate souvent ces temps ci. Il est exact que la culture humaine, dans sa variante idéologique, essaie de nous faire vivre ce côté monstrueux de notre société, de nous le faire accepter tout en ayant une identité raisonnable. Il semble que ça ne fonctionne pas trop bien en ce moment, puisque aucune raison ne peut plus justifier l’organisation de la domination, si ce n’est avec le rapport de force qui s’appuie sur le relativisme et l’individualisme.

...

Aussi, le mot même d’apprivoisement ne peut plus rentrer dans le cerveau perdu des dominants. Il ne reste que le « dressage » . Qui ressemble à la notion développée par Pierre Legendre sur l’institution humaine et le rôle de la loi, de la violence symbolique dans l’apprentissage du désir. « En vérité, l’expression «anthropotechnique» désigne un théorème philosophique et anthropologique de base selon lequel l’homme lui-même est fondamentalement un produit et ne peut donc être compris que si l’on se penche, dans un esprit analytique, sur son mode de production. » On côtoie aussi Spinoza, puisqu’il s’agit bien d’une pensée de la puissance. Il utilise également de façon originale les apports de l’éthologie. L’éthologie est l’étude des comportements des animaux, et plus particulièrement les comportements sociaux, affectifs et cognitifs. Sloterdijk souhaite que nous nous occupions des conséquences de notre vie, de notre ouverture au monde.

...

À sa façon, sa philosophie est une théorie de la responsabilité, mais il s’agit d’une responsabilité basée sur des convictions fortes puisqu’il condamne le relativisme, qui énonce que tout se vaut [et que rien ne va plus…] ou bien qu’il n’y a pas nécessité de trancher, qu’il n’y a pas urgence à se positionner pour l’avenir de l’humanité, que tout peut continuer ainsi et que finalement tout ce qui apparaît est bon. Alors que l’indifférencié aboutit à l’indifférence : faute de ne rien savoir des vraies différences. In-différence. Un tel « relativisme » mou ne se démasque que comme la paresse crasse intellectuelle et…morale et…affective…de l’égoïsme économique. Seul le relativisme en devient monstrueux.

..

Comment rattraper le coup alors ? Eduardo Colombo effectue une opération à propos de l’utopie. Il propose une autre vision de l’utopie plus féconde, si on accepte de se placer dans l’espace […topie..]. L’utopie est alors comme la ligne d’horizon, elle se déplace au fur et à mesure qu’on avance. La lutte pour que l’utopie se réalise s’inscrit alors dans une perspective, qui n’est jamais terminée. Sloterdijk se situe dans la même optique. Où l’on va quelque part parce que l’on veut quelque part !!!

5) – Commencements des bénéfices délaissés de l’apprivoisement.

https://ilnyaquelaveritequiblesse.wordpress.com/2015/02/16/la-domestication-de-lhomme-confirmee-par-la-science/

...

Récemment, la science vient de confirmer que l’homme est un animal domestiqué et que tous les animaux domestiques ont en commun d’être immatures ou inachevés toute leur vie (c’est ce qu’on appelle NÉOTÉNIE, c’est-à-dire le maintien de la jeunesse). Ils sont également dociles, ont un cerveau de taille réduite (-20% chez le cheval ; nous-même avons un cerveau plus petit que celui de Cro-Magon) ; et ils présentent également beaucoup d’autres symptômes (oreilles tombantes, tachetures, etc.).

Ce « syndrome de domestication », en particulier la néoténie, a d’abord été aperçu en dehors de la science, par de nombreux philosophes et penseurs, depuis les Grecs à Marx et Freud en passant par Nietzsche et Konrad Lorenz. De ces penseurs et savants se dégage l’idée que l’homme s’est séparé de la nature et éloigné du sacré par la culture qui a entraîné une dégénérescence à la fois physique, comportementale et psychologique. La culture ou civilisation serait, aussi, une façon de domestiquer l’homme ! Krishnamurti et le Bouddha ne disent au fond rien d’autre…

...

Notre évolution culturelle s’accélère : c’est indéniable. Mais une partie du cerveau n’a pas été conditionnée : elle correspond à un esprit nouveau, celui qui agit dans l’intuition créatrice de l’artiste. S’il n’y avait pas une partie du cerveau vierge de toute domestication, il serait impossible qu’il y ait des Mozart et des Picasso : il n’y aurait pas de très grands artistes, il n’y aurait pas d’intuition ou de perception authentique.

...

Au cours de notre évolution est apparu la pensée par l’intermédiaire du langage. Le langage et la pensée ont créé une distance entre la réalité de ce qu’est l’homme et l’idéal ou le symbole (la projection du contraire de ce que nous sommes). Notre morale sociale est l’expression de cette distance : notre morale habituelle est le résultat de conflits, d’efforts, de compétitions, de contradictions millénaires.

..

La mutation du cerveau ne provient pas d’une pression extérieure, d’une analyse psychologique (introspection), ni d’une expérience, même spirituelle. Elle ne provient pas d’une force contraignante, d’un effort, d’un conflit entre ce qu’on est et ce qu’on veut être. Au contraire, la mutation est la destruction de cette distance entre la réalité et l’idéal créé par la pensée. La mutation met feu à l’inconscient. Pour Krishnamurti, « c’est une explosion totale à l’intérieur des couches inexplorées de la conscience, une explosion dans le germe ou, si vous voulez, dans la racine du conditionnement, une destruction de la durée. » L’esprit libre, vif, silencieux, connait l’énergie sans cause, qui est au-delà de la pensée.

« Pour observer le mouvement de la vie, il est aussi rapide qu’elle, actif et sans direction. Alors seulement, l’immesurable, l’intemporel, l’infini peut naître ». (Krishnamurti)

...

Voici qui commence fort à ressembler aux bénéfices délaissés de l’apprivoisement.

6) - Pourquoi pétrir la terre de ses mains rend plus humain ?

https://www.facebook.com/photo.php?fbid=1614365702179288&set=gm.1609305539318906&type=1&theater

Ici, nous apprenons que de manipuler la terre de la Terre vainc la dépression. Et nous entrons dans une spirale ascendante de réflexions : pourquoi, ce que cela implique, ce que cela change dans toute notre culture ? Oui pourquoi nous étions-nous autant puni en refusant l’apprivoisement. Manipuler de la terre par ses mains représente, en effet, une des images actives de l’apprivoisement. D’autant plus que l’étymologie du mot humain c’est…humus !!! A humer ?

...

...

7) – Penser sans cesse à la Nature ?

http://www.rts.ch/info/sciences-tech/6945001-la-mort-des-abeilles-augmenterait-le-taux-de-mortalite-humaine.html

...

Aussi APPRENDRE en direct ce qu’est notre environnement est de vivre, d’abord, qu’il… ne l’est pas. Il ne nous environne pas environ par là ou par ici oh environ, vaguement, à mille poil près. Dans une imprécision flottante telle – que nous doutons entièrement d’un tel concept de malade mental – l’environnement. La vie extérieure est la même que nous vivons à l’intérieur de nous : il n’y en pas deux de vie. Une que vivrait l’environnement et une spéciale pour les…environnés oh environ de cette eau là !!! Il n’y a nul décor, nul écran, nul film dans lequel nous ne serions pas déjà. Non nous ne sommes pas SÉPARÉS, à part, isolés de la Vie commune. C’est la même pour tous les vivants. Sauf l’usage que l’on en fait : on dirait que l’homme de 2015 se rendort à l’animal et ne désire plus avoir conscience de tout !!! Ni de rien.

...

Ce qui, cependant, offrirait de COMPRENDRE (prendre avec soi, dans soi, le cum- préfixe de la participation). Comprendre = qui participe par prendre sur soi, en soi. Très anti-environnement comme expression !!! Oui de comprendre ceci, ce qui suit – donc d’AGIR en conséquence !!!

...

« La disparition des abeilles pourrait provoquer jusqu'à 1,4 million de morts humaines supplémentaires par an dans le monde, déclare la revue médicale The Lancet.

..

Le déclin des pollinisateurs - essentiellement des abeilles mais aussi d'autres insectes - pourrait provoquer une augmentation de la mortalité mondiale de près de 3%, selon des chercheurs.

..

Cette accroissement de mortalité résulterait de la combinaison d'une augmentation des carences en vitamine A et en folates (vitamine B9 ou acide folique), vitales pour les femmes enceintes et les enfants, et d'une incidence accrue des maladies non transmissibles comme les accidents cardiaques ou vasculaires cérébraux et certains cancers.

Carences en vitamine A et folates

...

Une baisse de 100% des "services de pollinisation" pourrait réduire les approvisionnements mondiaux en fruits de 22,9%, en légumes de 16,3%, et de 22,9% en noix et graines. »

Si ce genre d’informations ne nous fait pas ressentir que c’est aussi dramatique que le décès d’un membre de sa famille proche c’est que le personnage à fini, et sans même s’en rendre compte, d’être…UN HUMAIN.

...
https://vimeo.com/58485887

...

En conclusion de cette première partie :

nous pourrions qualifier cette flagrante perte de l’humanisation comme une…

...

….. domestication par le Néant et le nihilisme !!!

...

Ce qui se montre tel le pire des asservissements possibles, il n’y a pas pire tyran…

En seconde partie, nous verrons comment des expériences désirées d’apprivoisement…guérissent de tous ces abaissements dus à d’irréalistes entêtements…

….

…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

(à suivre)

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3 "La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et "Rien de plus solide que le solidaire", sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 3 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

les vraies sagesses

les vraies sagesses

apportent la porte où nous entrons dans le vrai Nous...

apportent la porte où nous entrons dans le vrai Nous...

13 mai 2014 Les Mardis de l'Espace des sciences avec Pierre Léna, Astrophysicien, membre de l'Académie des sciences, Président de la Fondation de coopération scientifique "La main à la pâte"

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article