Compenser c’est savoir penser.

Jusqu’à savoir récompenser. La plus adroite des compensations. Ce texte représente, ainsi, un contredit cinglant à la majorité des prétendus dirigeants actuels : ils ne savent vraiment pas penser. Oui, les répressions obtiennent les pires résultats sociaux et humains possibles. Tandis que compenser prouve, partout, que le pratiquer c’est savoir penser. Cet ensemble de certitudes nous est venue suite à la lecture du « Retour au meilleur des mondes » (Brave New World revisited) de Aldous Huxley. Où il fait l’éloge du 1984 d’Orwell et précise que son Meilleur des mondes avait été écrit avant le nazisme et le stalinisme. Et que le gouvernement par la répression de 1984 signe son définitif ÉCHEC. Et dans ces termes si bien formulés :

«A la lumière de ce que nous avons récemment appris sur le comportement animal en général et sur le comportement humain en particulier, il est devenu évident que le contrôle par répression des attitudes non conformes est moins efficace, au bout du compte, que le contrôle par renforcement des attitudes satisfaisantes au moyen de récompenses et que, dans l’ensemble, la terreur en tant que procédé de gouvernement rend moins bien que la manipulation non violente du milieu, des pensées et des sentiments de l’individu ( p. 11 – op. cit. 1958). »

Ce diagnostic se retrouve en filigrane dans l’époque et sa si minable devanture de soft dictature, qui fait donc l’éloge très indirect d’Huxley. Huxley qui s’est juste trompé de vision dans ce passage : « Pendant ce temps [[1948]], des forces impersonnelles sur lesquelles nous n’avons presque aucun contrôle semblent nous pousser tous dans la direction du cauchemar de mon anticipation et cette impulsion déshumanisée est sciemment accélérée par les représentants des organisations commerciales et politiques (p. 13 – ibidem). Son erreur de diagnostic étant de ne s’attacher qu’à ces deux groupes sociaux. Comme s’il n’y avait que ces seuls prétendus dirigeants sur la Terre ? Prendre l’aveuglement des soi-disant dirigeants pour la lucidité de toute la population. Oui ? Dans les plis du peuples, se trouvent assez d’esprits libres pour que ceux-ci pulvérisent les enfantillages des manipulations. L‘erreur d’Huxley étant, ainsi, de survaloriser ces puérilités (manip’ foutaises !)…Puisque ces esprits libres, disséminés dans toute la société, vont même jusqu’à…manipuler les manipulateurs par leur aïkido mental. Oui, pas de traces, le martial (maître de son art) fout l’autre K.O. par ses propres avidités miteuses. C’est ainsi. L’époque est mûre : c’est une affaire de prise de conscience. Or, tous les routiers de la pensée savent que cette conscientisation peut surgir avec la soudaineté d’un éclair. Pas un souffle dans les voiles pendant des mois et, en quelques heures, tout est chamboulé. Pourquoi ?

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Les prétendus maîtres de ce monde s’entêtent dans les répressions – tout en oubliant leurs vitrines souriantes de séductions qui disent l’inverse. Répressions inexcusables dans le « on ne publie pas les génies ». Répressions aberrantes et cause des pollutions majeures depuis presque un siècle. La répression du chanvre juste pour les intérêts économiques du…pétrole. Résultats : l’air est un million de fois plus irrespirable qu’avec le cannabis interdit. Humour de l’univers ? Ce même cannabis interdit peut soigner les dégâts de ces pollutions de l’air dues aux très mauvaises décisions prises en 1937. Donc, non seulement ils sont bêtement répressifs (résultats toujours au-dessous de tout) mais, en plus, ils sont idiots (leurs décisions ne créent que des problèmes 100 fois plus nuisibles que ce qu’ils prétendaient combattre). Oui Compenser c’est savoir penser. Et ils ne savent absolument pas penser.

http://www.imagiter.fr/2017/09/chanvre-la-plus-grave-pollution-mentale-du-siecle.html

Les contre-feux urgents ?

**** - > Plus de gouvernements par les terreurs (mêmes télécommandées à distance), plus de répressions créatrices de problèmes (ce qui prouvera par l’absurde que la destruction créatrice ne peut exister. Réprimer c’est détruire et cette stupidité au front bas ne crée rien. Du tout.).

**** - >> Retour aux conditions matérielles permettant l’auto élucidation permanente de la société par elle-même.  Désormais « on publie, aussi, les génies ». Les écrivains savent mille fois plus et mieux que les éditeurs égarés ce dont la société a besoin. En culture, c’est l’offre qui sculpte sa demande. Plus elle est authentique plus les sillons sont profonds.

**** - >>> Fin de tous les esprits de prohibitions. Affronter en face les problématiques est seul adulte dans ce cas. Fuir dans les prohibitions répressions est source de chaos et d’un flot d’injustices (il n’y a que les petits qui trinquent – ce qui est le summum du contre productif !). Déjà, enlever au commerce sa possibilité de prendre des décisions pour le monde entier sera un progrès décisif. Fin des lubies loufoques des lobbies si irréalistes. Le commerce doit être mis sous surveillance lorsqu’il veut DÉCIDER. Il ne sait absolument pas penser. Et comme dit Fernand Braudel « dès qu’il dépasse de trop le tiers (1:/3) de main mise et d’influence sur la société il devient une grave nuisance publique, une irrationalité incontrôlée ». Actuellement, n’en serions-nous pas, parfois, au 2/3 ?

**** - >>>> La problématique des manipulations n’est pas du tout réfléchie. La filière des questionnements s’arrête à la porte (oui même chez Huxley) : pas de mais qu’est-ce qui manipule les manipulateurs (ils n’ont tout de même pas inventé tout l’univers - ils suivent, obligatoirement, une filiation ontologique !) ? Et nous manipuler pourquoi ? Le but ? Est-ce de tous nous instiller la fibre philosophique ? N’est-ce pas des buts nobles ? Ou bien ces manipulations n’ont aucune grandeur : à creuser jusqu’au bout nous n’y voyons qu’un objectif sordide : leurs uniques intérêts égoïstes et irresponsables. Dans le sens que manipuler y est nous faire accepter comme naturel, et venant de notre proposition même, leurs enrichissements illégaux (or une vraie élite reste distanciée par rapport aux richesses – surtout jamais cupide et veillant à ce que les nécessiteux aient, en toute priorité, leurs nécessités qui ne peuvent attendre ? Bref – le mot manipulation rétrécit vachement au lavage ; en gros, on s’en fout. Ce ne sont que d’illégitimes manœuvres si grossières que nous pouvons glisser entre. Et qui nous prouvent (avec les pouvoirs toujours veiller à…inverser. Afin de vérifier (acte surgi de la vérité) si de tels comportements…n’accusent pas ces pouvoirs !)…oui nous avons vérifié. Les conclusions sont du genre : pauvres prétendus pouvoirs qui ONT TOUT A CACHER ! Et le font si mal… Donc le concept « manipulations » déblaie (moins de poids sur la civilisation). Il ne demeure que dans le dossier d’accusation contre le capitalisme. Point barre !

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Ne nous reste qu’à élucider : c’est quoi compenser ! Compenser si prolifique dans réCompenser et, évidemment, penser, le préfixe cum avec, qui participe à, soulignant que compenser participe à fond à penser et peser. Comment et pourquoi ?

L'auto-élucidation-permanente-de-la-société-par-elle-même

L’œuvre de Cornelius Castoriadis se présente, elle-même, comme une élucidation. Son exigence même le permet : oui cette œuvre reste si soucieuse de penser sa propre historicité, "toute pensée de la société et de l'histoire appartient elle-même à la société et à l'histoire (p. 8). »

Castoriadis-et-compenser

Compenser c’est peser, et récompenser peser avec justice et justesse. Huxley reprenait la réflexion à la racine (celle qui soulage de tout ce qu’il y a d’inutilement pesant dans la civilisation !).  Oui les devoirs premiers sont ceux de la société, ce pourquoi nous savons que nous avons affaire à des anti-élites actuellement (celles que les médias d’argent voudraient nous faire passer pour des « élites », alors que, trop souvent, elles se comportent comme…la lie de l’Humanité). Huxley le précise ainsi : «Mais les sociétés sont composées d’individus et ne valent que dans la mesure où elles les aident à s’accomplir, à mener une vie heureuse et créatrice (p. 30 - Retour au meilleur des mondes). La société actuelle et ses médias si insuffisants doivent donc être engueulés à fond. Ils représentent un poids, un fardeau injuste puisque leur absence d’esprit de justice les empêche de savoir compenser. Ils ont tort et doivent…réparer !

Car « seuls les vigilants peuvent sauvegarder leurs libertés et seuls ceux qui ont sans cesse l’esprit présent et l’intelligence en éveil, peuvent espérer se gouverner effectivement eux-mêmes par les procédures démocratiques (p. 51 – ibidem). » Et comment ceci « peut » se passer ? Thomas Jefferson était pour le gouvernement par soi même si exigeant. Huxley en restitue l’esprit : « Si on leur donne leur chance, les humains peuvent se gouverner eux-mêmes et le font sans doute mieux encore qu’avec une efficacité mécanique moindre, que « des autorités indépendantes de leur volonté ». Pourvu, je le répète, qu’ils puissent faire l’expérience dans de bonnes conditions, c’est là une nécessité  préalable absolue (p. 44 – ibid. ). » Et donc ? Il devient éclatant que la capitalisme a trahi à fond tous les pères fondateurs des États –Unis d’Amérique (donc des étasuniens et non des « américains », ce qui représente une véritable fraude de le dire !). Oui pas de pire ennemi de la Constitution : en rien, ils ne cherchent à…compenser, à beaucoup moins peser. Ils sont, tout au contraire des fardeaux, des sur-assistés (actuellement touts les chiffres montre que les trop riches sont les plus…assistés ! Ce qui est le flagrant reflet d’anti-élites partout…)

Pourquoi le « gouvernement par soi-même » qui était le but des Pères fondateurs s’est perdu ? « (…) Elle ne développe pas non plus cette indépendance consciente de ses responsabilités à l’intérieur de petits groupes autonomes, qui est la première condition à l’établissement d’une démocratie authentique (p. 35 – ibid.). Les raisons en sont multiples mais toujours ces…absences de compensations. Ce manque de prévisions prouve tant qu’il n’y pas de grands hommes et femmes chez eux. Ils /elles auront toutes été exclues. Plus qu’illégalement.

Ainsi… « Le corps électoral est positivement garanti contre tout contact avec la vérité, sur quelque sujet que ce soit (p. 79 – ibid.). » Ce sont par de telles minables manœuvres, inexcusables et illégitimes que les pouvoirs non établis actuels ne méritent surtout pas de l’être. Ah oui, la propagande pour semer la haine de la vraie intelligence et de la véritable bonté (qui, évidemment, n’existerait pas – pourquoi tant la combattre alors ?).

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Un petit détour ? En effet, nous sommes, ici, parés afin de ressentir ce que des mécanismes de compensations dans toutes la société modifierait en profondeur.  Ce sera juste une esquisse afin d’entrevoir à qu’el point le gigantesque champ des possibles est châtré par la médiocratie qui ne sait pas penser…

>>>>>> - l’acte de compensation le plus simple est : si nous avons l’intelligence et si nous avons le pouvoir il s’agit de COMPENSER pour celles et ceux qui ne les ont pas. Donc de ne surtout pas nous retourner contre afin de les spolier, dévaliser, surtaxer – ce qui est la marque non d’une élite mais d’une frange gangstérisée et effondrée de la société…Donc ne surtout pas les dévaloriser, insulter, dégrader afin de les spolier, dévaliser, surtaxer – ce qui est la marque non d’une élite mais d’une frange gangstérisée et effondrée de la société…Donc d’agir à 180 ° différemment des fausses élites actuelles

>>>>> - compenser devient de se préoccuper, en toute PRIORITÉ, des plus pauvres et des plus faibles – et avec le fait indéniable que l’Humanité n’a jamais été aussi riche qu’aujourd’hui (et que donc tout l’argent est déjà « trouvé »…) – et donc  d’arracher définitivement, du monde, toutes formes de misères …matérielles. Les plus illégales et injustes. Celles dont nul (à part les anti-élites) ne peut dire que ce serait « une inégalité naturelle «  alors que c’est « une illégalité antinaturelle » ! Oui qui n’est pas capable (avec des moyens absolument hallucinants) d’abolir toute pauvreté matérielle ne peut absolument pas faire partie d’aucune élite. Compenser ou ne pads compenser – démasque absolument tout le monde. Et surtout ce prétendu « haut » de la société qui agit, quasiment tout le temps, plus que…bassement !

<<<<< >>>> - ensuite, pour l’intelligence, il y a moyen de la partager le plus aux ras des besoins de la société entière. Soit de le diffuser directement en ligne (les éditeurs nous disent « ne donnez pas tout, gardez-en pour les livres ! ». Ces éditeurs sont obsolètes, et leur parole ne correspond plus aux temps présents). Afin de démontrer que la seule façon d’expulser le capitalisme de la culture c’est l’offre gratuite (les compensations ne peuvent que venir plus tard) nous avons opté pour cela. Il faut donc savoir (chacun-e « reprend » ses responsabilités) que lire nos textes c’est participer du fait que nous nous privons (contre le privé, privons-nous !) pour qu’ils restent accessibles gratuitement  - nous ne touchons rien, tout sort de notre poche, oui du peu que nous avons - ce qui est une formule de redistribution directe, nous souffle l’humour inaltérable. Voici une compensation en acte qui sait de quoi elle parle..

>>>- et dans tous les secteurs de la société, les compensations sont partout possibles – il suffit d’y penser (c’est même écrit dedans, non ?). Le gouvernement par soi-même doit admettre rester un effort, un effort qui ne vient que de soi. Un effort qui va contre soi ( oui contre tout l’avachissement dégradant imposé par la société de consommation ) afin de vaincre ce que nous a fait devenir cette société. Et qui va vers les autres : afin de remplir les conditions matérielles qui leur permettre aussi ce gouvernement de soi ! Nous développerons ceci ailleurs. Il fallait juste faire ressentir à quel point les fausses élites actuelles ne savent pas penser. Ni vraiment ressentir. Seuls qui savent compenser font…le poids ! Comment se fait-il qu’elles (ces anti-élites au pouvoir) n’aient jamais trouvé le trésor durable et inépuisable du…compenser c’est penser pour tous ? Ah oui ! la prohibition (par le commerce) des grands hommes !

Le grand homme (pp. 128 et 130 op. cit.) nous apprend tellement sur nos dysfonctionnements actuels (les chaos semés par les nihilistes cyniques du haut de la société). Déjà - ce n’est pas la société qui fait le grand homme mais lui qui la recréé. Et la guérit socialement. Ce pourquoi les conditions sociales, politiques géographiques et anthropologiques, où il est apparu, comptent – dans la mesure où il les transcende. Il « sort » entièrement de son milieu il reste donc inutile de le trop décrire ce milieu – ce sont les forces physiologiques qu’il fabrique et invente qu’il importe de connaître… La biographie ne concerne donc que « tout ce qui aura changé et comment grâce à lui/elle ». C’est « dans un agrégat de circonstances et de conditions » qu’il surgit. Il n’est donc surtout pas « un produit de ses antécédents » mis bien un…cadeau du futur. Et le William James du « Grands hommes et l’environnement » (1880)…oui « Sur les grands hommes et leur milieu » selon Huxley, a bien raison de nous secouer les puces et de nous engueuler à nous voir passer notre temps à « ignorer » tous ces apports irremplaçables. Puisque, oui, aucune science n’a supprimé le grand homme. Herbert Spencer a tort. Ce géant hors classification (il fonde de nouveaux noms qui nomment) reste l’initiateur des changements - mais rien de mécanique dans ces transformations. Pas de chronologie, de compte à rebours. Il sème les concepts et le liant logique entre les concepts. Il fréquente chaque jour toute l’inFormation. Afin de formuler les formules les plus justes (formule – ce qui est issue de la forme même), de donner forme à ce qui inForme - pour nous offrir toute la formation contenue dans l’inFormation. L’ignorer c’est demeurer dans l’ignorance, donc de pouvoir dire quoi que ce soit de sensé et de structuré sur quoi que ce soi. Il reste formateur de toute notre partie informe. Parfois la plus grande.

Nos comportements si inadaptés et fortement déplorables envers les génies et les grands hommes ? Nous avons un si attrayant moyen de vérifier l’intensité de notre connerie. C’est de ? C’est d’expérimenter ce que nous ressentons devant cette phrase :

      La beauté du rangement sert de justification au despotisme (p. 34)

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…..........……(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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