Les guerres toujours « inventées » par des mensonges ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Les guerres toujours « inventées » par des mensonges ?

La guerre demeure surtout une propagande pilonnée par un petit groupe de trop riches qui dégouline d’avidités. Parce rien en elle n’est naturel. Parce qu’elle ne répond pas à une tendance fondamentale inscrite en tout. Toujours elle est inventée et fabriquée. Aussi, hormis les querelles entre ethnies de nos ancêtres se confrontant entre rivaux à cause de territoires de chasse et de nourriture, les guerres n’ont pas lieu en raison de…disputes entre individus où de quelques pulsions agressives qui soient. Non, non. « La guerre est une sorte d’exercice de la violence institutionnelle froidement planifiée selon des réflexions stratégiques d’une obscénité sans égale : on prépare les armes dans cette perspective, on veille aux réserves de munitions. »…et ? Eh bien nous allons découvrir ces personnages de la honte qui ne s’agitent que pour leurs cupidités inadmissibles et que nous devons tous…vomir de toute notre âme ! En découvrant comment ils « créent » de toutes pièces, toujours et partout, les conflits. Si évitables conflits…

Les-hommes-ne-veulent-pas-la-guerre-ou-comment-l'on-crée-les-guerres.

« L’«aide mutuelle» correspond à la «lutte pour la vie» et pas…l’agression : L’hypothèse de Freud selon laquelle la guerre est biologiquement fondée, s’est avérée totalement erronée. Ni la guerre, ni toute forme de violence domestique ne correspondent à une quelconque nécessité biologique. Elles ne sont pas ancrées dans nos gènes. La vie humaine n’est pas déterminée par l’agression. L’«aide mutuelle» correspond en fait à la «lutte pour la vie». Elle a garanti la survie du genre humain car ce n’est qu’en communauté que l’Homme a pu résister aux aléas de la nature et se protéger contre ses ennemis naturels [[ radicale remise en question de toutes les foutaises de l’inculte capitalisme, sommet d’antisocialités barbares et véritable ennemi n° 1 de la vraie société !]].

En observant le vivre-ensemble humain de manière objective, on reconnaît qu’il est déterminé par la recherche de relations humaines et de l’appartenance à un groupe de semblables. L’être humain s’efforce de bien remplir ses tâches dans la confiance qu’autrui agisse de même et soit honnête. Même de nos jours, où l’individualisme est roi – «pense d’abord à toi» –, l’humanité ne pourrait survivre même une douzaine d’années sans l’aide mutuelle et les activités bénévoles en faveur du bien collectif. [[ tâches vitales que le trop anti-humain capitalisme est bien incapable de remplir. Conclusion ; il devient plus « économe » de se passer de ce fardeau inutile qu’est le capitalisme que de tout autre secteur humain…]].

En dépit des difficultés pouvant survenir dans toutes les relations humaines – divergences d’opinion, malentendus, jalousies et disputes dégénérant parfois dans des actes violents – la vie en commun des êtres humains se passe en général de manière pacifique. Les gens travaillent, se soucient du sort de leurs enfants, soignent leurs maisons et leurs jardins, aiment la convivialité, sont parfois joyeux et parfois tristes – mais malgré les grandes diversités régnant d’une personne à l’autre, il est extrêmement rare que quelqu’un plie bagage, se rende dans un pays étranger pour y tuer ses semblables qui ne lui ont rien fait et dont il ne comprend pas même la langue. Albert Einstein avait raison en écrivant: «Les masses ne sont jamais avides de faire la guerre, aussi longtemps qu’elles ne sont pas empoisonnées par la propagande des sommets

Même dans les situations exceptionnelles de la guerre, la cruauté sadique – nécessitant une analyse à part – se trouve en compagnie de l’entre-aide et de la compassion, non seulement envers ses camarades, mais également envers l’«ennemi». Il existe d’innombrables exemples où des soldats, même sous la menace de mort, ont épargné l’ennemi par exemple en déviant volontairement leurs tirs. L’industrie de guerre a pour cette raison créé des «jeux violents» («Killer Games») afin de réduire l’inhibition des soldats à tuer et d’augmenter le taux de morts chez l’ennemi. On connaît également les témoignages de soldats rentrant de la guerre et racontant qu’ils avaient, lors de courtes trêves, quittés leurs tranchées pour fumer une cigarette avec leur «ennemi» et échanger des photos de leurs familles.

La-glorification-remixée-de-Winston-Churchill-n'est-guère-rassurante

L’Homme est entraîné dans la guerre par de trop scandaleux mensonges : Hormis les querelles entre ethnies de nos ancêtres se confrontant entre rivaux à cause de territoires de chasse et de nourriture, les guerres n’ont jamais eu lieu en raison de disputes…entre individus où de quelques pulsions agressives. La guerre, on parle la de guerre d’agression, tout comme la terreur, est une sorte d’exercice de la violence institutionnelle [[ G.K. Galbraith note bien que le …pire des U.S.A. restera d’avoir privatisé à 100 % le complexe militaro–industriel…ce qui enlève tout droit…de faire la guerre – faute de « souveraineté nationale » derrière…donc U.S.A. ? Toutes leurs guerres sont illégales. En prison ? OUI ? tous ces privatiseurs irresponsables !]]. Les deux formes sont froidement planifiées selon de très sordides réflexions stratégiques : on prépare les armes dans cette perspective, on veille aux réserves de munitions. Pour faire la guerre, il faut des cuisiniers pour ravitailler les troupes et du personnel d’aide médical et des médecins pour s’occuper des blessés. Tant pour la guerre que pour l’exercice de la terreur, il faut une stratégie pour diaboliser l’ennemi en créant artificiellement les images nécessaires. Souvent, ces préparatifs durent plusieurs années. La propagande de guerre a comme tâche de créer la haine contre l’ennemi et de masquer la guerre politiquement derrière une «bonne» guerre nécessaire. »…Notons que le texte est bien plus complet – mais, qu’afin de diminuer le nombre de nausées, nous nous sommes limités à ces deux petits extraits. Les plus coriaces peuvent toujours aller tout lire grâce au lien !

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« « Au cours des 25 dernières années, la guerre a coûté trop de vies. Pourtant, alors même que les luttes civiles et religieuses ont fait rage en Syrie, en Afrique centrale, en Afghanistan et en Irak, un affrontement dévastateur entre les grandes puissances mondiales est resté presque inimaginable.  Ce n’est plus le cas […] de changements puissants et à long terme de la géopolitique [[ oui mais sans…les peuples]] et la prolifération des nouvelles technologies érodent la domination militaire extraordinaire dont jouissent l’Amérique et ses alliés. Un conflit d’une ampleur et d’une intensité jamais vues depuis la Seconde Guerre mondiale est encore une fois plausible [[ mais ne se fera pas…ces « fausses » élites se sont trop isolées de tout !]]. Le monde n’est pas préparé. »

The Economist envisage un futur dystopique, violent, avec le déploiement de l’armée étasunienne pour intimider ou détruire les prétendus défis à sa domination partout [[ alors que, partout, nous la voyons commencer de se retirer…American first, cela s’appelle]] »… Nos analyses ne rejoignent absolument pas celles-ci…puisque nous ne partons pas du tout des mêmes fondamentaux. Et, dans ces conditions, n’en retirons pas les mêmes vues pour le futur. Et, principalement, par le fait majeur que les propagandes si primaires pour la guerre ont toujours moins d’impacts…toujours moins d’humains « croient » en ces constructions très bancales. Et les intérêts avides, qui se cachent derrière ces « inventions bâclées », se voient beaucoup trop. Aussi – de les voir se vanter, si mégalomaniaquement ivres, ne trouve plus de grands répondants dans la réalité. La paix est le désir profond de la grande majorité des humains : et elle a tellement plus d’atouts matures dans la main. Des exemples flagrants ?  

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Gauthier Chapelle: Ce qui est frustrant, mais aussi fascinant, c’est que Darwin lui-même avait déjà souligné le rôle fondamental de la coopération dans le monde vivant. Mais il a été interprété de travers! Et notre société est devenue hémiplégique. Elle marche sur une seule jambe, elle boîte dans sa boite étroite.

Nous-sommes-l'espèce-la-plus-coopérative-du-monde-vivant

Aujourd’hui on redécouvre la complexité de la vie, faite d’un entrelacement de compétition et de coopération. C’est ce que nous avons voulu faire dans notre livre, retrouver l’usage de notre deuxième jambe en synthétisant ce que les éthologues, botanistes, microbiologistes, économistes, psychologues, sociologues et anthropologues ont découvert sur la tendance qu’ont les êtres vivants à s’associer. Par exemple comment les bactéries se regroupent pour survivre, comment nous les humains avons une propension très forte à l’entraide spontanée, quelles sont les zones du cerveau qui s’activent lorsqu’une personne en face coopère, etc. L’ensemble de ces études met en lumière un grand principe du vivant. L’entraide est partout, depuis le début de la vie, sous de multiples formes. C’est passionnant. Si la compétition et la coopération sont entrelacées, comme le yin et le yang, nous montrons que la coopération tient un rôle plus important en tant que moteur de l’innovation.

Vous démontrez également qu’en matière d’évolution, l’entraide est bien plus pertinente que «la loi du plus fort».

G.C.: La sélection naturelle se déroule en deux étapes: création de diversité, et puis sélection des plus aptes. C’est le principe de base de l’évolution. A la première étape, c’est l’entraide, l’association entre organismes, qui permet d’innover radicalement, en plus des mutations aléatoires qui ne génèrent finalement que peu de différenciation. Et à la deuxième étape, la sélection des plus aptes, c’est encore une fois l’entraide qui tient le haut du pavé, car les individus qui survivent ne sont pas forcément les plus forts, ce sont surtout ceux qui s’entraident le plus.

>>>> *** Ce-ne-sont-pas-les-peuples-qui-ont-peur-de-la-mondialisation-ce-sont-les-dirigeants-qui-ont-peur-du-réel      ce sont ces fausses élites qui sont très “aliénées” – complètement  hors du réel et nous moulinant des absurdités. Dont elles se montrent strictement incapables d’en porter un seul raisonnement durable et fiable. Des hors sol lunatiques, oui…

Les études que vous évoquez mettent en évidence que plus le milieu est hostile ou difficile, dans le monde du vivant, plus l’entraide se développe. Et que l’abondance exacerberait au contraire la compétition…

Pablo Servigne.: Absolument. L’idée que l’environnement joue un rôle fondamental dans l’apparition de l’entraide a déjà un siècle, mais elle a été oubliée de la biologie, trop focalisée sur les gènes pendant tout le XXe siècle. La pénurie appelle l’entraide et l’abondance engendre la compétition. Cela peut sembler contrintuitif ! En fait, c’est plutôt logique: ce n’est que lorsqu’on est riche qu’on peut se permettre de dire à son voisin qu’on n’a pas besoin de lui. Mais lorsque les conditions redeviennent hostiles, seuls les groupes les plus coopératifs survivent. Les individualistes ne survivent pas longtemps !

Nous vivons dans un monde de plus en plus inégalitaire. Sans justice ni équité, l’entraide peut-elle se développer?

P.S.: Pas vraiment. Il existe trois ingrédients absolument indispensables à l’émergence d’une entraide solide et généralisée entre les membres d’un groupe : le sentiment de sécurité, le sentiment d’égalité et le sentiment de confiance. Si chaque individu ressent cela, alors il se passe quelque chose de magique, qui fait que le groupe se soude, qu’il devient une sorte de superorganisme. Au contraire, de hauts niveaux d’inégalité provoquent des sentiments d’injustice extrêmement toxiques pour la cohésion d’un groupe. C’est ce que nous observons en ce moment dans nos sociétés, où l’écart entre le sommet et la base de la pyramide n’a jamais été aussi important.

Vous souteniez dans un livre récent (Comment tout peut s’effondrer, coécrit avec Raphaël Stevens, 2015) que la combinaison des crises que nous connaissons rend plausible, et même probable, un effondrement de nos sociétés. Vous écriviez alors que «se préparer à une catastrophe signifie d’abord tisser du lien autour de soi». Est-ce à dire qu’il faut apprendre de toute urgence à s’entraider?

P.S.: C’est une évidence! La sociologie des catastrophes nous apprend que c’est le tissu social qui fait la résilience d’une région, qui la rend capable de traverser les tempêtes sans sombrer. Ce n’est pas la richesse matérielle ni la solidité des bâtiments. C’est le lien, le sens de la communauté. Notre proposition est de réapprendre à vivre ensemble avant les grandes catastrophes. Et c’est difficile! On ne peut pas compter sur le bon sens et la bonne volonté, il faut redevenir experts en coopération, en altruisme, alors que notre éducation scolaire ratée valorise essentiellement la compétition. Mais ce qui nous rend plutôt confiants est que nous avons maintenant les connaissances, et que nous en avons les capacités !

G.C.: Il faut se rendre compte que nous sommes l’espèce la plus coopérative du monde vivant. Dès 3 ou 5 mois, les bébés font preuve d’étonnantes aptitudes prosociales, comme certains cousins primates avec qui nous partageons les mêmes hormones et les mêmes circuits neuronaux. En fait, l’entraide est déjà profondément ancrée en nous, il n’y a qu’à regarder la complexité de nos systèmes de santé, ou de sécurité sociale, ou même les comportements altruistes après un tsunami ou un tremblement de terre. Il faut simplement arriver à le voir, et surtout à y croire. Puis il faut remettre tout cela au programme des écoles et des business schools ! Lorsqu’il y aura autant d’équations mathématiques et de Prix Nobel d’économie sur l’entraide, alors nous pourrons discuter sérieusement d’un vrai projet de société. »

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L'espèce-humaine-reste-constituée-de-braves-gens-?

« Mais vous persistez à dire que l’humanité est meilleure?

Il y a des statistiques intéressantes sur l’augmentation de la bonté, oui. Quant à moi, je pense que 90 % de l’espèce humaine est constituée de braves gens qui sont prêts à rendre service si l’on se casse la gueule, et qu’il n’y a que 10 % de gens abominables. Hélas, ce sont ces 10 % qui prennent le pouvoir. Je viens du Pays cathare, et les cathares disaient que plus on grimpe vers le sommet de la société, plus on s’approche des puissances du mal. L’expérience de la vie m’a prouvé que ce n’est pas faux. Mais comme on est des braves gens, on laisse faire ces 10 %. »

Comme tout le monde peut le constater ces 10 % sont définitivement encerclés – nous sommes parvenus, par la force paisible et tranquille, à les dénuder de tout alibi, de toute parole faussée comme de toute possibilité d’agiter des circonstances atténuantes…Tout en est devenu transparent : 90 % ne veulent plus du tout ni de leur présence ni de leurs folies d’incapables et d’irresponsables…

………………Ne reste plus qu’à leur faire entendre Raison !

…………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 600 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

la paix reste toujours exposée et la guerre archi planquée (par ses initiateurs mêmes)...

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donc en économisant...l'économie...

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L’invention de la guerre totale : la création cruelle d’humains qui doivent être condamnés. Les initiateurs sont alors les grands...accusés !

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Les guerres toujours « inventées » par des mensonges ?
le feu des injustices

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toutes les guerres sont sales…immenses hontes sur qui ose la « guerre propre » …strictement impossible !

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La guerre c’est…d’anéantir le prétendu adversaire…or nul-le ne mérite d’être anéanti-e sinon qui est devenu-e tellement fou/folle qu’elle/il s’en donne fanatiquement le droit !

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ne plus se tromper de priorité...jamais !

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les bombes ne se trompent-elles pas toujours de cibles ?

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