Tout internet dépend de quelques bénévoles ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Tout internet dépend de quelques bénévoles ?

Le travail invisible des faiseurs du web ? Encore pire : une personne seulement s’occupe de la maintenance d’un logiciel critique utilisé quotidiennement par des banques, des agences étatiques, des entreprises ! A peine croyable. Et pourtant à seulement écouter Nadia Eghbal, employée chez Github, une plate-forme de développement des logiciels en coopération, nous comprenons à quel point les détraqués du court terme, ces dérégulés plus que déréglés, ont semé de catastrophes par complète ignorance (ne pas vouloir voir ni savoir, regarder ailleurs est, aussi, une…ignorance )…oui nous voyons de prés à quel point ces hors sol, qui ne connaissent plus rien de la réalité, négligent la simple Maintenance de l’existant. C’est dire leur abyssale Imprévoyance. Jamais internet ne doit appartenir à des mains aussi incapables. Plutôt aller voir bien en face les dégâts que ces fous cravatés ont déjà tant ensemencé…Depuis tant d’années d’oligarchie tous les dangereux préjudices structurels ne…viennent que d’eux. Eux et leurs obstinations démentes de ne rien écouter, de ne vouloir rien comprendre, rien savoir, comme de fuir tout bon bain de…concret !

Menaces-sur-internet-?

« Car le maillon faible en question est, comme souvent, humain. Il est incarné par des petites mains, souvent invisibles ou peu connues, qui font tourner la machine en écrivant, corrigeant, améliorant, ligne à ligne, les programmes, les langages, les protocoles d’Internet. Or, nous apprend Nadia Eghbal, ces cerveaux sont moins nombreux que l’importance de leur œuvre et de leur travail le laisserait penser. Pire, ils sont même parfois solitaires. Comme si l’on découvrait que la sécurité d’un réseau électrique d’une ville ou d’un pays ne reposait que sur une seule personne

Fadaises ? En 2014, la découverte d’une faille dans un logiciel de sécurisation des communications, OpenSSL, avait créé la panique dans le cybermonde. Mais le « pire » était qu’une personne seulement s’occupait de la maintenance de ce logiciel critique utilisé quotidiennement par des banques, des agences étatiques, des entreprises ! » … Grande panique dans le cybermonde des planqué-e-s indignes ? Qui crachaient tant sur le gratuit, le bénévolat, le don, la gentillesse, le désintéressement, la serviabilité, la Fête sociale, se retrouvent infiniment plus cons que leurs lunes. Dénudés dans leurs crétinismes. Avoir tout faux à ce point ? Leur confort immérité repose donc sur …très peu d’épaules. Bénévole épaules. Epaules qu’ils/elles n’aident jamais évidemment. Vils exploiteurs-spectateurs-esclavagistes de la …base (quelle qu’elle soit) qu’ils semblent être devenus : jamais, par exemple, un regard sur…les infrastructures du numérique (la base pourtant). Réservant leurs aides absurdes aux seuls imposteurs trop riches, ceux qui volent, en plein jour, les richesses de tout le monde. N’obéissant qu’à l’oligarchie…Bref, servant, en rampant, les pouvoirs tout en faisant semblant de les critiquer.

 

Car c’est sur le…terrain que les pouvoirs se contre ! Où étiez-vous lorsqu’il le fallait ? Pas de quoi être fier-e de …toujours à faire semblant !

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« Comme nous l’avons vu, l’infrastructure numérique est un constituant essentiel du monde actuel. Notre société repose sur les logiciels et ces logiciels s’appuient de plus en plus sur une infrastructure qui utilise des méthodologies open source. Dans la mesure où nous prenons peu d’initiatives pour comprendre et pérenniser notre infrastructure numérique, que mettons-nous en péril ? Ne pas réinvestir dans l’infrastructure numérique présente des dangers que l’on peut classer en deux catégories :… »

Négliger les infrastructures a donc un coût caché…ce que les têtes vides des lunatiques en costards-cravates semblent complètement incapables de comprendre…ce sont les petites mains qui doivent engueuler drus ces nuisibles incompétents… «Aujourd’hui, la quasi-totalité des logiciels couramment utilisés sont tributaires de code dit « open source », créé et maintenu par des communautés composées de développeurs et d’autres talents. Ce code peut être repris, modifié et utilisé par n’importe qui, entreprise ou particulier, pour créer ses propres logiciels. Partagé, ce code constitue ainsi l’infrastructure numérique de la société d’aujourd’hui… dont les fondations menacent cependant de céder sous la demande ! [[ demandes super égoïstes, trop capricieuses et complètement irréalistes : bref de très arrogant-e-s inadapté-e-s du sociable…]].

En effet, dans un monde régi par la technologie, qu’il s’agisse des entreprises du Fortune 500, du Gouvernement, des grandes entreprises de logiciel ou des startups, nous sommes en train d’accroître la charge de ceux qui produisent et entretiennent cette infrastructure partagée. Or, comme ces communautés sont assez discrètes, les utilisateurs ont mis trop longtemps à en prendre conscience. Tout comme l’infrastructure matérielle, l’infrastructure numérique nécessite pourtant une maintenance et un entretien réguliers. Face à une demande sans précédent, si nous ne soutenons pas cette infrastructure, les conséquences seront nombreuses.

L’entretien de notre infrastructure numérique est [[comble de l’irrationalité collective !]] une idée nouvelle pour beaucoup, et les problèmes que cela pose sont mal cernés. Dans cet ouvrage qui ouvre, Nadia Eghbal met au jour les défis uniques auxquels sont confrontées les infrastructures numériques et comment l’on peut œuvrer pour les relever [[ Déjà en arrêtant de sur-donner, ne serait-ce que son attention, aux trop riches dont nous pouvons nous passer pour donner et aider les véridiques sociables dont nous…ne pouvons pas nous passer !]]. » Comment le savons-nous ?

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Puisque, pendant ce temps… Les classes dites favorisées ont "fait sécession", dans la stupidité la plus hébétée. Qu'entendre précisément par là ? « Je développe dans cette étude l'idée que la mixité sociale a indéniablement reculé en France depuis une trentaine d'années. De manière silencieuse et progressive, dans de nombreux secteurs de la vie quotidienne - école, loisirs, quartiers - des mécanismes se sont développés qui font que les contacts et les interactions entre la partie supérieure de la société et le reste de la population sont de plus en plus rares [[ au net détriment de cette prétendue supériorité laminée en « médiocratie » et qui est vraiment en train de devenir complètement…aliénée !]].

De manière plus ou moins consciente et plus ou moins volontaire, les membres de la classe supérieure se sont progressivement coupés du reste de la population [[ s’ils se sont ainsi coupés, ils vont obligatoirement avoir très mal…]] et ont construit un entre-soi confortable [[ qui ressemble lugubrement à une prison puisqu’ils ne vont plus pouvoir…en sortir !]]. Cette classe supérieure évolue socialement, culturellement et idéologiquement de plus en plus en vase clos [[ et tout vase clos ne peut que pourrir, dégénérer et perdre tout futur]]. » …Directeur du département "Opinion et stratégies d’entreprise" de l'Ifop, Jérôme Fourquet a publié, ce mercredi 21 février, une note pour la Fondation Jean-Jaurès intitulée "1985-2017 : quand les classes favorisées ont fait sécession".

 

Dans quels domaines ce "séparatisme social" [[ nommé désertion, passible de peine capitale en temps de guerre…économique !]] est-il particulièrement prégnant ? : Ce recul de la mixité sociale est d'abord visible sur le plan géographique, avec une concentration des CSP+ dans le cœur des métropoles. Elles vivent ainsi dans le cœur des grandes villes de plus en plus en autarcie. Comme l’a notamment montré Christophe Guilluy, la diversité sociologique s’est considérablement réduite dans ces territoires sous l’effet conjugué de la hausse des prix de l’immobilier, de la tertiarisation du tissu économique des principales métropoles et de la gentrification [[or la perte de la biodiversité alliée à la perte de la sociodiversité c’est carrément le suicide, il n’y a nulle issue que de changer à 100 % de mentalité ! La grave régression vers le tout Ancien Régime n’est que le fait massif des si…fausses élites !]]. Les ouvriers et employés qui demeurent à Paris sont cantonnés dans les quartiers d’habitat social situés en bordure du périphérique ou dans une partie de l’Est parisien. »

Les-fausses-élites-se-sont-progressivement-coupées-du-reste-de-la-population-:-donc-ne-peuvent-être-des-élites

Formulé très autrement ceci donne : Les trop riches, ces lâches achevés, qui fuient comme des dératés les conséquences collectives de leurs méfaits et vont…se cacher dans des villes autarciques – qui ressemblent tellement à des prisons que, pour une fois, c’est leur inconscient qui aura rendu un juste verdict – déserteurs qui n’assument rien : la laideur de leur cœur ne peut plus être…retouchée…

Cet isolationnisme, protectionnisme complètement illégal, ne se traduit que comme un abandon d’inconscients, une débandade de lunatiques, une panique d’irresponsables, bref, une déroute de tout leur système. S’ils fuient c’est parce qu’ils ont tout raté et qu’ils courent plus comme des ratés dératés qu’autre chose – ils avouent clairement l’absence de solutions collectives de leur fake système, d’où le ridicule de leurs réformettes de pacotille lorsque toute solution adulte ne peut exister que Sans Eux. C’est qu’ils ne veulent qu’une chose. Quoi ? Que RIEN NE SOIT DIT de la réalité, que ne soit critiqué que qui apporte de solides analyses accouchant de solutions bien concrètes. Que ne soit vilipendé que les esprits de synthèses qui prennent dans la même poignante poignée toutes les problématiques et les fondent dans le même fleuve de nouvelles pratiques vraiment à portée de main. Pour ces médiocrates toute l’horreur du libéralisme fou est « normale » - c’est juste de montrer la vérité de cette barbarie à visage inhumain qui serait « anormal » ! Bref, quel est le vil visage de ces plus qu’illégaux « médiocrates » ? De tout saboter (les trop riches qui fuient et vont se planquer dans « leurs » villes privées sont de vulgaires saboteurs !). Leurs hures de voyous piétinant tous les cœurs ne pourra plus « être maquillée ». Ils /elles ne pourront plus se faire passer pour ce qu’ils ne sont surtout pas

En fait, ces sécessionnistes lamentables N’ASSUMENT rien, dépassés par leurs propres illégalités, incapables de se présenter en face de la foule, c’est en se déguisant comme des grands esprits qu’ils ont cru…tromper « leur » monde – et ils se défilent, pitoyables, dès que les mots responsables, imputables, coupables, accusés, devant répondre de leurs actes et paroles se profilent.

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Vers lequel des deux (les bénévoles discrets ou les trop riches hurlant leurs nocivités plein pot) – en toute connaissance de cause - nos cœurs s’élancent-ils ? Quel modèle nous enchante ?

Et que FUIENT-ils, les piteux et miteux ? Le fiasco complet de leur système frelaté à 100 %. Au point qu’il va leur retomber dessus…Les trop hauts revenus, si abusivement hauts, nuisent infiniment plus au travail réparti que les…trop bas salaires, voyons, le simple bon sens le comprend. Et ? Eh bien le chômage est fortement induit par ces trop hauts revenus, oui c’est de leur faute, ils en prennent beaucoup trop. Et tout chômeur/se peut réclamer complètes restitutions de leurs…trop hauts perçus …Et donc ?

 

États-unis-:-il-faut-mendier-pour-se-faire-soigner

>>>> ** - Fiasco atterrant du pire de tous les systèmes : les privatisations plus qu’irresponsables tournant à la course à l’inhumanité. Tel : Aux États-Unis, il faut savoir mendier pour être soigné : « Atteints d’une maladie grave, un grand nombre d’Etasuniens n’ont pas les moyens de financer leur traitement [[alors qu’ils ont une assurance-maladie…privée. Donc qui, en général, refuse de rembourser…]]. Ils se voient contraints de faire appel au crowdfunding [financement participatif]. Enquête sur un “marché de la compassion” en pleine croissance, qui ne profite pas à tout le monde [[ il faut se montrer charitables mais c’est plus que…du pipeau…la charité erratique et aléatoire qui ne peut remplacer la solide et solidaire raison de « la santé comme bien commun », du service public définitif de la santé. Définitif puisque les mains trop cupides du privé ont accumulé des milliards de milliards de  preuves que la…santé des humains est bien le tout dernier de leurs soucis…La charité des capricieux qui REMPLACE la saine raison non cela ne fonctionne pas du tout. Et donc, les trop riches…doivent fuir !]]. »

les-indices-de-volatilité-seraient-les-détonateurs-stupides-de-la-crise-de-février

>>>> ** - Fuir aussi leur plus que lunatique Bourse. Fiasco aussi de la complètement irrationnelle Bourse qui ne recherche plus du tout…l’allocation la plus rationnelle des ressources (cette trop fake main invisible bien méconnue) mais son inverse ! Tout y est, désormais, fait (et nous le détaillerons dans un prochain texte)…pour ne varier les cours qu’afin de répondre…aux seuls instruments et aux uniques algorithmes de l’oligarchie. Qu’afin que le…joujou irresponsable de l’un triomphe sur ceux de l’autre. Ce qui n’est plus du tout la recherche et l’attribution du juste prix. Mais juste les caprices si dommageables d’êtres immatures déguisés en adultes…Et nous ? Nous sommes sommés de faire…comme si il y avait…une science économique derrière toutes ces nocives gamineries. Comme si les gouvernements savaient (au moins une fois) de quoi il parle. Illustration par n‘importe quelle actualité (rendue fausse par les médias trompeurs – fausses informations puisque non liées à de véritables analyses…). Comme ceci… « le paradoxe d’un mini-krach déclenché par la chute des titres censés assurer contre le… déclenchement de tel krach [[or décrire n’est jamais expliquer, nous attendons encore l’analyse de fond sans laquelle toute information est obligatoirement…faussée ! Faussée, oui pire que fausse !]]. » Conclusions ? Si les trop riches fuient tant (fuites honteuses maquillées en « sécessionnisme » pour les chochotes) c’est qu’ils…désavouent à fond leur propre système. Ils le laissent carrément tomber, ne le défendent plus vraiment sinon… »Si on y croit », on abandonne pas le terrain ainsi, on reste bien incarnés et bien présents…Leur critique est donc radicale puisqu’ils vont se planquer…et se planquer pourquoi si « ce » système devait nous retomber dessus ? Faux encore - il va leur retomber dessus …et eux seulement (avec leurs larbins et autres illusionnés – soit grand maximum 10 % des humains)…pas de quoi donc fouetter l’Humanité pour ces lamentables entêtés à la…marginalisation !

 
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Dans quelle pitrerie irréaliste stagnent-ils encore ?

il-faut-plus-que-relativiser-la-notion-de-révolution-technique-énergétique-ou-numérique

Dans sa chronique mensuelle, le journaliste du « Monde » Antoine Reverchon explique que la plupart des objets et systèmes techniques mis en œuvre sont des choses anciennes. Pas d’issue dans la technologie : Bush a donc à 100 % tort, il a trompé tout le monde et n’assume même pas sa hideur…Notre confiance aveugle dans les maths pourrait même être responsable des crises boursières. C'est dire.

Lorsque-les-mathématiques-augmentent-les-crises-boursières

 

De même si nous mettons des mathématiques à la Bourse c’est la…catastrophe assurée. La main invisible automatisée ne peut, à l’évidence, pas exister (nous en reparlerons) ! Ces nullités médiocrates avaient donc tort depuis tant d’années et ils/elles n’ont fait qu’insister à amplifier les dommages et torts d’avoir tort. Il fallait donc être complètement fous/folles pour voir dans ces putrides incapables des…élites. Les empêcher de nuire sera donc vivre un immense…progrès collectif, un visible bond en avant.

 

Le-vrai-visage-des-nuisibles-parasites-fiscaux

D’autant plus qu’ils porteront et emporteront avec eux tous les traîtres fiscaux, les honteux sur-assistés qui font payer leurs impôts légitimes…par les autres. Ces autres soumis à la si inefficace « austérité » ( inefficace - sauf qu’elle enrichit tant ces trop riches…dispensés, eux, d’austérités !)…Trop riches qui, en plus, volent des dividendes illégales (dividende vient du verbe partager, diviser équitablement entre tous), illégales puisque pillant les plus-values surtout arrachées par les rendements du travail direct. Ce fardeau si injuste disparaîtrait aussi….

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Et pour une fois (depuis très longtemps), tous les braves gens…

aideraient à bon escient. Aideraient qui le mérite immensément et s’aideraient eux-mêmes en permettant à celles et ceux qui savent réparer en vrai la société…

…………………….……de pouvoir le faire !

 

>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>  -  ANNEXE  -  <<<<<<<<<<<<<<<

Sur-quoi-reposent-nos-infrastructures-numériques-?

De Nadia Eghbal pour « Sur quoi reposent nos infrastructures numériques ? »… « Le problème exposé dans cet ouvrage m’est apparu sur une intuition. Pour avoir travaillé dans des startups puis dans des sociétés de capital-risque, j’ai pu constater que des sommes d’argent considérables affluaient dans les entreprises de logiciel. Par ailleurs, en tant que développeuse logiciel amateur, j’étais bien consciente que je n’aurais rien pu produire toute seule. J’utilisais du code gratuit et public (plus connu sous le nom de code open source) dont j’assemblais des éléments afin de répondre à des objectifs personnels ou commerciaux. Et franchement, les personnes impliquées dans ces projets avaient, quel que soit leur rôle, fait le plus gros du travail.

Cette observation m’a trotté dans la tête pendant plusieurs années, tandis que j’assistais à l’explosion à droite et à gauche des bootcamps où étaient diplômés de nouveaux développeurs de logiciels et que je voyais des startups lever plusieurs dizaines de millions de dollars pour vendre des produits qui tournaient sans doute avec plus de code libre que de code propriétaire. Comme j'avais travaillé auparavant dans des associations à but non lucratif, les biens publics et les défis qui leur sont associés me vinrent immédiatement à l'esprit. Pourtant, ce vocabulaire était étrangement absent du langage [[ tout commence par « se dissimuler » à soi-même en usant de mots qui « effacent » très fort. Ensuite, le ver étant dans le fruit, il est fait du vrai (l’essentiel vient du gratuit) juste un moment du faux (c‘est grâce à mon… gébbnie que…je…bon ..eurhhhmmm, que j’ai le droit, mon grrrand mériteuuu atchoumm de gagner tellement plus en …oubliant…les sources et ressources qui me précédèrent…et voilà, de se dissimuler on passe, tout stupidement, à tout…dissimuler !]] de mes pairs dans le monde du logiciel.

Après avoir quitté l'an dernier mon travail dans une entreprise de capital-risque, je me suis mis en tête d’étudier ce paradoxe auquel je ne cessais de penser : il existe de précieux logiciels qui ne peuvent pas s’appuyer sur des modèles commerciaux [[trop minuscules et étroits afin de pouvoir, fiablement, embrasser l’immensité des savoirs ]] et qui manquent d'aides  des pouvoirs peu-publics [[ aides trop…privatisées – c’est un comble ]], quelles qu'elles soient. C’est plutôt amusant, mais le code open source ne figurait pas sur ma liste initiale. Comme mes collègues, j’avais supposé, à tort, que c’était l’exemple même de ressources logicielles à la disposition du public qui bénéficiaient d’un fort soutien. Lorsque j’ai mentionné l’open source à mes amis et mentors, ils m’ont aimablement dissuadée de poursuivre mes recherches dans ce domaine, puis incitée à trouver plutôt d’autres exemples de domaines qui avaient vraiment besoin d'aide [[ comme quoi la déréalisation touche beaucoup plus de têtes que l’on croit…le remède reste la Raison telle que décrite dans l’excellent document « Je ne parle plus à qui a raison (1986) », ses chaînes exigeantes de raisonnements, ses astreintes de vérifier (le verbe de la vérité) en frottant les faits les uns contre les autres, les concepts aussi….ses analyses méticuleuses du général au détail et du détail au général. Ses synthèses qui se disciplinent à fondre le tout dans un même courant cohérent et congruent au possible (l’impertinence des pertinences bancales, ou non, pointe son nez persistant)…pas de moyen plus raide pour se reRéaliser que la simple raison!]].

Pourtant, je suis tombée sur un certain nombre de projets open source qui mettaient à mal ces préjugés. Il s’est avéré que maintenir les projets dans la durée était un problème connu dans le monde des contributeurs de l’open source. Plus je creusais la question et plus je découvrais des billets de blog, des articles et des forums de discussion qui abordaient la tension et l’épuisement éprouvés par ceux qui maintiennent les projets open source [[ dans l’indifférence inhumaine des trop capricieux…spectateurs de tout !]]. Tous mes contacts m’indiquaient une autre personne à joindre et, sans m’en apercevoir, j’ai récolté un nombre incroyable de témoignages à ce sujet. Je me suis rendue compte que j’avais découvert un problème certes « bien connu » des producteurs (les contributeurs de l’open source), mais dont les consommateurs (les entreprises de logiciels et les autres utilisateurs de code open source) n’avaient apparemment aucune idée. Cette anomalie m’a incitée à me pencher sur la question.

Par ailleurs, il semble que le milieu de l’open source soit lui-même en train d’évoluer, voire de bifurquer. J’ai eu des conversations très diverses avec des interlocuteurs multigénérationnels, tous contributeurs open source. Ils semblaient avoir des philosophies et des valeurs divergentes, au point de donner l’impression de ne pas utiliser le même vocabulaire. J’ai appris que dans les trois à cinq dernières années, la production ainsi que la demande dans le monde de l’open source avaient explosé grâce à l’amélioration des outils pour les développeurs et à celle de l’organisation du travail. Les contributeurs de l’open source d’aujourd’hui sont très différents de ceux d’il y a dix ans, sans parler de ceux d’il y a trente ans. Or ces générations ne communiquent pas entre elles, ce qui rend difficile toute conversation productive sur la maintenance pérenne des logiciels. Au hasard d’une conversation avec Ethan Zuckerman, du MIT Center for Civic Media, j’ai eu l’occasion de partager plus largement mes découvertes.

Bien que ne sachant pas exactement ce qu’il y avait derrière ni si j’employais le vocabulaire adéquat, j’ai décrit à Ethan le problème dont je m’étais rendu compte et il a eu la gentillesse de me mettre en contact avec Jenny. Jenny m’a suggéré de rassembler les résultats de mes recherches dans un rapport. Au fur et à mesure de sa rédaction a émergé cet ouvrage sur notre société numérique moderne, et sur l’infrastructure cachée [[ infrastructure trop tenue à bout de bras par de véridiques bénévoles]] qui la sous-tend.

Le présent livre n’aurait jamais vu le jour si Ethan et Jenny Toomey de la Fondation Ford, n’avaient pas donné sa chance à une idée tout juste ébauchée qui désormais, grâce au travail d’écriture, s’est transformée en quelque chose de construit. Je les remercie chaleureusement d’avoir fait confiance à leur intuition. Je suis aussi reconnaissante envers Michael Brennan et Lori McGlinchey pour leurs conseils, leur regard, et leur enthousiasme au cours de la relecture. Enfin, et c’est sans doute le plus important, j’ai une dette envers toutes les personnes qui travaillent dans l’open source et qui ont rendu leur histoire publique pour que des gens comme moi puissent la lire – et particulièrement ceux qui ont pris de leur temps malgré un agenda chargé pour me divertir au détour d’une conversation ou d’un courriel. Cet ouvrage est un concentré de leur sagesse et non de la mienne. Je suis aussi particulièrement reconnaissante envers Russel Keith-Magee, Eric Holscher, Jan Lehnardt, Audrey Petrov et Mikeal Rogers pour les conversations que j'ai pu avoir avec eux. Ils continuent à m’inspirer par leur patience et leur dévouement à l’égard du travail open source. »…

******* Tous les braves bravos doivent se diriger vers tant de sociabilités non vers ces personnages dits « connus » et dont si peu méritent de l’être !

………………….  *************************************************

 

 

……….…(à suivre)

 

toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que la vaste gratitude vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 600 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

bénévoles ou bien...

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Des outils mathématiques biaisés et non fiables ? Notre confiance aveugle dans les maths pourrait être responsable des crises boursières

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GitHub.svg

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Comprendre Internet Histoire d'internet et description des différentes phases de son fonctionnement. Fonctionnement du réseau, adresse IP, serveurs, Protocole tcp/IP, tout ces aspects d'internet sont expliqués simplement.

Where money meets open source - Nadia Eghbal (GitHub)

Git est un logiciel de gestion de versions décentralisé. C'est un logiciel libre créé par Linus Torvalds, auteur du noyau Linux

Installer OpenSSL

La gouvernance par les nombres 1- De quoi la gouvernance (ce concept utilisable par les seuls « médiocrates ») est-elle le nom ?

La gouvernance par les nombres 2 - La croyance…irrationnelle en un monde régi par les nombres (qu’un mathématicien ose même nommer « la main invisible…automatisée » – tant qu’à faire, pour que rien…ne soit fait !)… Oui, il y a une harmonie des mathématiques mais il faut changer complètement de civilisation pour le vivre. La barbarie capitaliste c’est le tout dysharmonie !

La preuve par l’utilisation « baisée et complètement faussée » de ces mêmes nombres …Lorsque les traders professionnels et les gérants institutionnels « dés-utilisent » l’Analyse Technique ?

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