Entre la Terre qui se dévoile et la finance qui se cache ?(1)

Publié le par imagiter.over-blog.com

Entre la Terre qui se dévoile et la	 finance qui se cache ?(1)

Ces animaux dont nous ne savons même pas tous les services irremplaçables qu’ils nous rendent - et dont nous laissons le système de la bêtise les massacrer alors qu’ils valent plus que ses richesses ? Ou ce que parviennent à accomplir les végétaux est si fantastique et que nous laissons les industries absurdes saccager. Par exemple, lors des canicules, c’est dans les quartiers sans végétation que les humains sont plus massivement morts. La végétation c’est donc la vie. En face, il n’y a que déchéance de procédés malpropres, d’enrichissements trop malsains, de médias qui, à force de faire reluire, sont devenus tout noirs et vraiment inaudibles…Pourquoi sont-ils toujours plus hystériques et grincent-ils de si fausses joies ? Voici le cadre pour en sortir, et voilà le concret :

 

Au départ, nous voulions tout dire dans un seul texte, mais devant la pléthore des données nous allons diviser – d’autant plus que depuis un mois, nous avons compris que les trop riches et leurs égarés représentants (médias et politiques) sont des définitifs cancres égarés dans une incompréhension complète des 2 parties gigantesques de la pince logique : et qu’à cause de ces fardeaux de la collectivité (les arriérés trop riches !) il faille plus détailler…donc (1) et (2)…

 

Ce-que-parvient-à-faire-une-plante-est-absolument-fabuleux

« Nous avons très longtemps considéré la vie des plantes comme une forme de vie inférieure, entre le minéral et l’animal, celle d’un état végétatif précisément. Les plantes constituaient le Lumpenproletariat du vivant, celles qui organisent l’interface entre l’organique et l’inorganique, mais dont l’existence serait à l’image de leur fonction d’intermédiation : entre la vie et la non-vie. Or, depuis au moins une décennie, de multiples travaux ont fini par remiser aux oubliettes de l’histoire cette conception pourtant pluriséculaire. Les plantes vivent, aussi pleinement que nous-mêmes, même si elles déroulent leur existence d’une tout autre manière que la nôtre.

Edward Farmer : La question fondamentale qui est l’origine de nos recherches est de savoir pourquoi sur la Terre, les paysages restent verts. Autrement dit, pourquoi ne voit-on pas au travers de la frondaison des arbres, alors que des centaines de millions d’insectes herbivores peuplent les forêts ? C’est la question centrale. La forêt est constituée de biomasse et de molécules nutritives comme les protéines. Les insectes, tout comme les animaux plus grands, puisent leurs ressources dans la forêt. Ils agissent sur elle. Ils arrachent les feuilles des plantes, ils tirent sur les arbres, alors pourquoi le végétal est-il encore si dense ? Pourquoi la forêt est-elle si verte ? C’est la question fondamentale du laboratoire depuis des années! Une fois que l’insecte a mangé la plante, la plante dépérit-elle ? Si nous retirons les insectes de la plante dans l’image à droite, cette plante va essayer de refaire une ou deux petites tiges, ce qui est très étonnant. Elle va ainsi produire quelques graines. L’attaque va accélérer la floraison et non la faire mourir. Si je reprends la question de départ – pourquoi la Terre est-elle verte ? –, je dois extrapoler nos résultats jusqu’au niveau de l’écosphère. Toutes les expériences en laboratoire permettent de comprendre que lorsqu’une plante est blessée, elle se défend très bien si elle produit l’hormone jasmonate. Comment se fait-il que la plante produise cette hormone de défense ? Lors de l’attaque par l’insecte, quel est l’élément déclencheur ?

 

Ce que vous appelez le déclencheur, est-ce l’élément qui libère la production d’hormone ? Exactement. Beaucoup de travaux ont montré comment l’hormone fonctionne. Elle est émise à peu près 30 secondes après l’attaque de l’insecte. Nous avons trouvé que suite à une morsure d’insecte la plante produit des signaux électriques qui, ensuite, activent la production de l’hormone. Des signaux électriques se déplacent d’une feuille à une autre pour transmettre les informations. Nous avons identifié des gènes particuliers qui permettent cette communication électrique. La plante communique donc d’une feuille à une autre ? Oui. Elle ne communique pas vers une autre plante mais elle a un système de communication au sein de son propre système. Nous savons aujourd’hui se trouve la voie cellulaire de ces signaux électriques. C’est vraiment très intéressant, ça se passe dans les cellules.

Où se trouve la voie de communication entre les feuilles ? Elle se trouve dans les veines. C’est un peu comme un système nerveux. Chez nous, les humains, les veines ressemblent à des tuyaux. Chez les plantes, ce ne sont pas des tuyaux, c’est une matrice avec de nombreux types de cellules différents. Nous identifions au moins onze types de cellules vasculaires, dont deux jouent un rôle dans la transmission des signaux électriques.

Dominique Bourg : Nous comprenons la question de recherche principale, la résistance des feuilles aux agressions d’insectes. Nous saisissons les sous-questions, quel type de signal, quel parcours pour ce signal, quelle substance émise en réponse pour la défense des feuilles contre l’agression ? L’hormone en question est-elle une hormone commune à d’autres plantes ? Est-elle propre aux végétaux ? Edward Farmer : L’hormone est propre aux végétaux. Mais quelques rares champignons pathogènes peuvent la produire pour tromper les plantes. Ils produisent cette hormone lorsqu’ils attaquent la plante. La plante se sent attaquée par un insecte et alors elle investit des ressources contre les insectes et non pas les champignons, c’est malin de la part du champignon. »…. Après le « Intelligence dans la nature » de Jeremy Narby qui prouve que les bactéries, les mousses, les lichens, etc. prennent tous des décisions qui déterminent leurs actions. Et que, par extension, l’humain appartient à la même chaîne de vie (non, non ce n’est pas un extraterrestre mais bien un terrestre de la même vie, qui, au 21 ème siècle, a le défaut de devenir complètement lunatique dès qu’il se croit en haut et qu’il veut comme diriger les autres !)…Et qu’il n’est même pas le sommet de la création (versus pyramide) mais juste un élément de l’arbre buissonnant de la vie (donc sans sommet). Tout a sa forme d’intelligence dans la vie globale – sauf la Bourse qui en semble complètement dépourvue, vu ses dénis quotidiens de la supériorité de la nature par rapport à leurs toxiques chimères. Désormais, la Bourse doit être sanctionnée sévèrement pas son abolition même

-la-vraie-écologie-

 

Un rappel bien documenté des sources qui interpelle à quel point la vraie écologie (pas celle de la politique-spectacle) est infiniment plus RÉALISTE que le délire capitaliste – cette métaphysique sans issue ! Par exemple, cet exalté cupide refuse d’admettre que le biodiversité est plus que nécessaire à nos vies…et lui pas !

 

La-biodiversité-améliore-la-qualité-de-vie-des-citadins

Les services rendus par la biodiversité urbaine. Ce n’est pas parce que les lunatiques citadin.e.s ont décrété de la Nature n’existe pas qu’elle les laisse tomber – les preuves ?... « De quoi parle-t-on quand on parle de biodiversité en ville ? Il existe en ville de nombreuses espèces : animales, végétales, champignons, bactéries… Certaines espèces ont été choisies par les humains, notamment des plantes ornementales, horticoles, domestiques, mais il y a aussi des espèces sauvages présentes de façon autonome, qui poussent au pied des arbres, vivent sur les rosiers ou colonisent les toitures. La qualité de la biodiversité dépend du nombre d’espèces mais surtout de leurs interactions [[ exactement l’inverse du blocage de notre société interdite de sociabilités et d’échanges horizontaux entre tous ses membres, par ses autoproclamées élites…]]. Il faut que ces espèces interagissent entre elles pour bien fonctionner, pour que l’écosystème rende des services et ait de bonnes capacités de résilience. Cette biodiversité est-elle « utile » aux citadins ? Si vous voulez avoir des courgettes et des choses qui poussent dans les jardins des villes, il faut des insectes pollinisateurs. Des espèces qui s’installent dans l’herbe lorsque l’on sème des pelouses permettent d’éviter les problèmes de ravageurs. La présence de pâquerettes ou de trèfles permet de limiter les graminées et les allergies pour les citadins. Plus d’oiseaux, c’est moins de moustiques et moins de moucherons…[[ la vie est une, tout est lié et relié, et l’humain parait assez faiblard dans la chaîne puisqu’il a besoin de toute la chaîne afin de continuer à vivre…et cela les détraqués capitalistes ne sont plus capables de le comprendre : se démasquant comme les pires ennemis qu’a l’Humanité. En effet, leur seule présence sur Terre leur parait suffisante et tant pis si toute la chaîne de vie disparait. Vous voyez le topo qui les range du côté des fous dangereux !]].

Quelles sont les bonnes politiques pour protéger et développer cette biodiversité ? Il est important qu’il y ait des connexions entre les poches de biodiversité. Il faut que les espaces soient assez grands et reliés à d’autres espaces contenant les mêmes espèces, pour qu’il y ait un échange de gènes entre individus qui garantisse la pérennité de la population. La multiplicité des endroits, une mosaïque de parcs, friches, etc. fait la richesse de la biodiversité urbaine. Pour lutter contre les canicules, qui vont être de plus en plus fréquentes, il faut végétaliser au maximum. Les pelouses ne renvoient pas la chaleur la nuit, contrairement au béton. Il faut beaucoup d’arbres pour avoir de l’ombre. Les bâtiments emmagasinent la chaleur, les arbres non. Les bâtiments doivent être pensés pour que les toitures soient végétalisées. Lors de la canicule de 2003, c’est dans les quartiers sans végétation que les gens sont morts. »…Clair que devant ces fait, les promoteurs, ces purs produits du libéralisme détraqué, se sont révélés des abrutis, donc des brutes, des arriérés, des incultes et de braillards incompétents qui mettent la vie d’autrui en danger (la végétation vaut plus que leurs profits immérités). Tout nous souligne qu’il faut arrêter « leur » système. C’est le pire de tous !

Commission-mondiale-sur-économie-et-climat-bénéfices-honteux-rapport-inqualifiable

 

Les-tortues-sont-en-train-de-disparaître-et-c'est-très-mauvais-signe-pour-l'humanité

 

Ce qui disparaîtra avec elles : Cela peut paraître moins évident, mais les tortues sont aussi des pollinisatrices en dispersant les graines de diverses espèces de plantes,  pour certains végétaux qu'elles consomment et dont les graines, qui ne sont pas détruites par le processus de digestion, sont ensuite expulsées, elles peuvent même être le pollinisateur principal. Leur rôle dans le cycle de distribution des minéraux est, lui aussi, peu connu. Ainsi, en creusant le sol, la tortue du désert va consommer du carbonate de calcium, notamment lors de la saison de la nidification. Pour d'autres, ce sera du phosphore. Et après leur mort, leurs os contenant des concentrations importantes de ces minéraux vont servir à la fois aux végétaux et à certains animaux souffrant de déficiences. Ces capacités à concentrer des éléments va aussi en faire d'excellents "indicateurs de pollution" : on retrouve chez elles de fortes doses de composés toxiques et, en Amérique du Nord, on les considère comme des témoins efficaces de contamination au mercure et même à la radioactivité en milieu aquatique. »…Toute atteinte massive à la nature qui a si bien conçu la vie et sa poursuite (et que jamais un technocrate insensible donc insensé ne pourra approcher) nous affaiblit tous, nous en perdons nos moyens de défenses…qui sont cette biomasse tant piétinée par les fous capitalistes…

 

Paysans-Gagner-du-temps-mutualiser-des-moyens-rompre-l'isolement-les-banques-de-travail

« Sociologue rurale, Véronique Lucas travaille sur la coopération de proximité en agriculture. Elle définit les banques d’entraide mutuelle comme « un système de comptabilisation des services pouvant être échangés entre agriculteurs ». Pour ce faire, les paysans s’inspirent des barèmes souvent édités par les chambres d’agriculture ou les Cuma (coopérative d’utilisation de matériel agricole). Les paysans définissent ensemble une certaine valeur pour l’utilisation du matériel prêté – tracteur, remorque, etc – et des heures passées – comme chauffeur par exemple. Souvent, le barème fonctionne avec un système de points, dans lequel un point correspond par exemple à un euro. Tout au long de l’année, les agriculteurs comptabilisent les points en fonction des services échangés.

Ils profitent d’une réunion, souvent annuelle, pour faire le compte de tout ce qui a été mis à disposition des autres. Certains groupes décident de solder leurs comptes par un échange de monnaie. D’autres aspirent à éviter tout échange d’argent et préfèrent rester sur de l’échange de main d’œuvre ou de mise à disposition de matériel, conscients que des occasions de « rendre » se présenteront nécessairement dans les mois suivants. « L’objectif est de ne pas s’échanger d’euros [[ le fric pouvant pourrir les rapports humains qui restent plus sacrés que lui ! C’est ainsi…un jour l’argent perdra !]] mais dans l’hypothèse où quelqu’un serait trop déficitaire, on se laisse la possibilité de remettre à zéro avec de l’argent », précise Margaux. « Dans la banque de travail, tu es assuré de la réciprocité », constate Paul-Adrien Vasse. Pour les détracteurs du système, il n’y a pas besoin de compter, pas besoin de barème, ce serait naturel... sauf que cette logique de don contre don se heurte parfois à des limites. Avec les banques d’entraide, ce que tu donnes à ton voisin te revient nécessairement, et vice versa. Tu n’as pas à te soucier du fait que quelqu’un te doive de l’argent. Les choses sont formalisées.»… Les banques spéculatrices qui, depuis des décennies, ont tant nuit à la société et à la nature, seraient très avisées de « se corriger » en devenant comme un tel système !

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Pourquoi-il-faut-protéger-au-moins-un-Tiers-de-la-planète-contre-les-humains

« Les efforts de protection des espèces entrepris par les associations, les scientifiques et certains gouvernements, bien que méritoires, ne suffisent pas. Il serait donc temps de passer à la vitesse supérieure en protégeant les océans comme les terres émergées contre les dégâts causés par l'humanité. C'est la position très ambitieuse (mais tellement nécessaire) que soutiennent aujourd'hui deux scientifiques dans la revue "Science". Jonathan Baillie est vice-président et dirige l'équipe scientifique de la National Geographic Society. Son collègue Ya-Ping Zhang est biologiste à l'institut de zoologie de Kunming, une division de l'Académie des sciences chinoise. "Quelle part de la planète devrions-nous laisser aux autres formes de vie ?" s'interrogent-ils. La question est presque rhétorique, mais "elle va aussi déterminer le destin de millions d'espèces et la santé et le bien-être des générations futures." Laisser de la place : Le décor est posé : avec une population qui devrait atteindre les 10 milliards d'individus d'ici le milieu du siècle, une consommation en nourriture, en eau et en énergie qui devrait doubler d'ici là, les extinctions massives semblent devoir se poursuivre à un rythme accéléré.

Baillie et Zhang donnent un exemple frappant : "Les animaux d'élevage constituent aujourd'hui 60% de la biomasse (quantité totale d'être vivants) des mammifères, et les humains 36%. Il ne reste que 4% pour plus de 5.000 espèces de mammifères sauvages." Pour préserver les écosystèmes, il faudrait laisser de la place aux autres espèces vivantes, animaux et plantes. Et pas qu'un peu [[ ces 60 % de domestiqués voués à trop peu d’humains prennent «trop» de place. De ne pas le savoir – ce pourquoi les lobbies sont inexcusables et devraient être traités comme des maladies contagieuses – oui de ne pas comprendre « ce qui est » ne peut permettre de résister…de viser pile dans les solutions. Les contestataires en peau de lapin devraient vraiment le savoir. Car ? Les dénis du réel, dans ce cas, c’est comme devenir collabos !

"Les niveaux actuels de protection ne se rapprochent même pas des niveaux requis," affirment les deux scientifiques. "Seulement 3,6 % des océans et 14,7 % des terres émergées sont protégés de manière formelle [[ tous les gouvernements sont des têtes à claques…il faut vraiment les bousculer et secouer afin qu’ils…reviennent à la réalité !]]. Nombre de ces aires protégées sont des 'parcs de papier', ce qui signifie qu'ils ne sont pas gérés dans les faits, et un tiers des terres protégées sont soumises à une pression humaine intense." Baillie et Zhang visent donc la Convention sur la diversité biologique qui se tiendra à Pékin en 2020 et rassemblera les représentants des gouvernements de la planète. Ils espèrent que des objectifs ambitieux [[ donc qui abolissent le si néfaste capitalisme ]] y seront fixés : "Nous encourageons les gouvernements à fixer des objectifs minimum de 30% des océans et des terres protégées d'ici 2030, avec un accent mis sur les zones à forte biodiversité et/ou productivité, et à viser à en sécuriser 50% d'ici 2050".

"Ce sera extrêmement difficile," reconnaissent les deux scientifiques, mais c'est possible, et faire moins que cela résulterait probablement en une crise d'extinction majeure et mettrait en danger la santé et le bien-être des générations futures." 26.000 espèces en danger : Combien d'espèces animales disparaissent-elles chaque année ? Nous ne le savons pas de manière précise, car nous ne connaissons pas l'ensemble des animaux et plantes qui peuplent la planète. Celles que nous connaissons suffisent cependant à nous donner des raisons de nous alarmer. Certes, durant l'histoire de la planète, des espèces disparaissent, d'autres apparaissent, c'est le cycle de la vie. Mais l'humanité a précipité le déclin à grande vitesse, au moins 1.000 fois plus vite que le cycle naturel. Un exemple, les amphibiens : ils "semblent particulièrement sensibles aux changements de l'environnement [[ et, d’ailleurs dans les années 1970, ils avaient déjà été considérés comme des gardiens de ces changements nuisibles. Oui ? On voit que la parole des capitalistes ou Rien c’est pareil - zéro confiance envers ces voyous – tout avec eux doit se faire sous forme de garanties exigées et m-a-r-t-e-l-é-e-s ! Ce sont tous de nuisibles faux jetons !]] dont les taux d'extinction atteignent jusqu'à 45.000 fois leur vitesse naturelle, expliquent les spécialistes. La plupart de ces extinctions ne sont pas enregistrées, et nous ne savons même pas quelles espèces nous perdons". La liste rouge de l'IUCN, référence internationale, cite le chiffre de 26.000 espèces en danger d'extinction. Ce n'est malheureusement que la partie émergée de l'iceberg : sans être forcément listées comme "en danger", nombre d'espèces voient leurs populations ou leur territoire se réduire comme peau de chagrin, ce qui les place sur une pente menant droit à l'extinction, comme le démontrait une étude récente. »…Chaque pas dans la réalité « telle quelle est » démontre que les réformes doivent toutes être faites CONTRE les réformistes, ces dangereux irresponsables, que le trop riches séparatistes de la société (donc en « délinquance », voir la Catalogne) sont ceux qui polluent le plus et qu’ils ne peuvent que continuer en pire. Sauf par la seule saisie pouvant aller jusqu’à 80 % de leur patrimoine (ce que des études ont prouvé qu’ils ne sentiraient nulle absence, nul manque et n’en pâtiraient pas – seulement cette inconsciente accumulation « systémique » nuit trop dangereusement à la nature – il s’agit de trouver les « meilleurs » actes – détourner la direction des patrimoines si nocifs en leur contraire : retour à la protection « réaliste » de la nature (au moins 1/3 interdit aux humains pour la honte ineffaçable de leurs indignes…cupidités !).

Transition-énergétique-utilisons-les-innovations-du-passé

Pour rendre aberrante cette analyse de grand paranoïaque : « L’écologie saura-t-elle relever le défi d’un tournant réformiste loin des utopiques sirènes de la décroissance ? Emmanuel Macron a-t-il compris la nécessité de gagner cet enjeu salutaire ? Ce sont ses penchants gauchistes qui ont conduit Nicolas Hulot à claquer la porte de son ministère »…Hulot gauchiste ? Vraiment…Clair que ceci n’est pas écologiste du tout, les évaporés lunatiques qui ronchonnent ces conneries : pour le moment, ne connaissent rien du terrain, n’ont jamais mis la main à la tâche de comprendre, et n’ont jamais fait ce qui avec vérité…vérifier. Il faut donc les considérer comme des menteurs/ses et exiger qu’ils/elles prenant les responsabilités de les désastreuses paroles. Tout est train de basculer et leur « bilan » personnel les accuse mille fois plutôt qu’une.Ce blog a recensé de la bonne écologie du passé qui aimerait bien la vivre de nos jours…

 

Terre-mise-à-jour-Gaïa-2-0/

« Hétérarchie : Pour ce faire, assurent les deux auteurs, il faut s’inspirer de trois traits de Gaïa 1.0 qui ont pu passer inaperçus de la vision occidentale de la nature, où l’espèce humaine est seule consciente parmi les autres agents, passifs : l’autotrophie, les réseaux et l’hétérarchie. L’autotrophie ? A l’échelle de la planète, il n’y a qu’une seule source d’énergie extérieure – celle du Soleil qui est utilisée par les « producteurs primaires », avec la photosynthèse. Puis, l’ensemble des êtres vivants recyclent cette énergie et cette production primaire, avec une très grande efficacité. Comme les forêts tropicales dont la luxuriance contraste avec leurs sols souvent peu profonds. Ce recyclage permet la pérennité de l’écosystème planétaire sur des milliards d’années. (Et le mauvais esprit rappelle que les cycles sont aussi alimentés par la tectonique des plaques et le volcanisme qui proviennent de la chaleur interne de la Terre due sa formation initiale et à la radioactivité).

Les réseaux ? Gaïa 1.0, c’est pour beaucoup les réseaux formés par les transferts horizontaux d’informations génétiques entre bactéries et la redondance dans les recyclages, permise par la biodiversité, qui font les flux biogéochimiques. L’hétérarchie ? Les acteurs de Gaïa 1.0 ne sont pas organisés selon une hiérarchie figée, mais entretiennent des relations de coopération sans subordination. L’importance des acteurs varie selon les durées et lieux (par exemple, les facteurs d’évolution climatique). Gaia 2.0, ce serait une gestion consciente de l’écosystème terrestre par une Humanité organisée pour cela [[ donc ayant mis fin au délire libéral-capitaliste et le plus le tôt sera le mieux !]]. Et visant la pérennité de son habitabilité. Lenton et Latour admettent se méfier un peu d’une démarche « inspirée par la nature », estimant que les exemples du Darwinisme social, de la sociobiologie et du matérialisme historique ne sont pas probant (je reviendrai sur ce point en fin de note). Mais, ils suivent tout de même cette démarche.

Économie circulaire : Comment viser l’autotrophie ? Les technologies utilisées par les hommes extraient du sous-sol des matières premières – énergétiques, phosphates utilisés comme engrais ou métaux… – qui ne se renouvellent pas. Et sont très peu recyclées. Pire, leur usage produit une masse énorme de déchets  [[ + 70 % de « prévus » dans les 30 prochaines années si…rien ne change des pillages des gasPillages !]] qui, à l’inverse des « déchets » de la vie (végétaux et animaux morts), ne sont que très peu recyclés, soit par la technologie soit par les écosystèmes. Conclusion ? Il faut, disent les deux auteurs, que la technologie, pour devenir « autotrophe », recherche l’usage massif des sources d’énergies solaires. Vise l’économie « circulaire » par la transformation des déchets en ressources. Le tout par de nouvelles innovations.

Jour-de-pendant

L’équivalent du réseau bactérien ? Ce serait une mise en réseau « autocatalytique » d’agents humains visant des énergies soutenables ou le recyclage afin de combattre le paradigme économique dominant centré sur les « gains à court terme [[ le réalisme ne peut que prendre le raccourci d’abolir ce système qui n’a plus UN seul argument en sa faveur…]]. » Quant à l’hétérarchie, il faudrait que les différents pouvoirs (les auteurs évoquent Trump, Poutine, le GIEC et l’État de Californie, curieuse liste) agissent de concert pour le climat, [[ nous pouvons très bien les remplacer s’ils avaient de nouveaux…trous de mémoires !]] affirment les deux auteurs. Mais comment y arriver ? C’est là que Lenton et Latour avouent qu’ils ne savent pas trop quels conseils donner [[ et donc qu’ils ne «comptent» pas à fond sur les institutions sus-nommées ]]. Évoquent la nécessité d’être «prudent» en politique car «nous ne pouvons nous attendre à connaître la meilleure solution en avance»[[ ce qui implique de ne jamais en prendre aucune ?]]. Du coup, ils se contentent [[ et nous ne nous contentons surtout pas de l’inertie suicidaire ]] d’attirer l’attention sur la nécessité de disposer de «senseurs» [[ mot si maladroit pour des donneurs de sens, les sensibles ET sensés – lorsque l’on veut rester dans l’abstrait afin de ne pas être compris de toutes et tous c’est ainsi !]] pour traquer les changements environnementaux et les réactions des sociétés. Un peu court de courtisan tout de même, bien que l’on n’atteigne pas la vacuité totale de l’appel à « sauver la planète » lancé récemment par un astrophysicien et une comédienne et signé par tant de personnalités. Critiquons donc un tantinet. » Mais comment donc !

Agriculture-conversions-records-au-bio

« L’an passé, de janvier à juillet, 3 700 agriculteurs étaient passés à l’agriculture biologique. En 2018, sur la même période, ce chiffre est passé à 4 300 ! (Source : L’Agence Bio citée par Le Monde) Désormais, la France compte donc plus de 40 000 exploitations bio. Jusqu’où est-ce que ça ira et à quel rythme ? Difficile à dire, mais un danger guette : celui des retards du versement des aides financières. Beaucoup d’agriculteurs s’étaient en effet lancés dans cette conversion, encouragés par la perspective de ces aides. Hors, les conversions ont été si nombreuses que, visiblement, l’administration peine à suivre et à honorer les promesses (exemple, ici, en Moselle). La France ambitionne de faire passer la part des surfaces agricoles consacrées au bio de 6,5% à 15% d’ici 2022 [[ mais n’abonde pas les budgets qui vont avec ces ambitions ?]]. »…Soit 1 )- ces infos ne sont pas ou très mal relayées par les médias d’argent et 2)…les politiques ne sont pas toujours mis sous garanties de devoir…tenir parole. Cela changerait un peu des mauvais directionnels : non, ce ne sont pas les pauvres (+ 1 million depuis 10 ans !) la cause de tous les maux de la société, vu qu’ils en sont les plus…volés et fraudés et que la société leur « doit » réparations…. Le bon directionnel pointe les véridiques responsables des détraquements de la société par le haut

80-entreprises-textiles-renoncent-aux-substances-chimiques-dangereuses

 « Nous avons fait de grands progrès dans l’élimination progressive des produits chimiques dangereux qui polluent nos cours d’eau et notre environnement. Il y a eu un changement de paradigme majeur dans l’industrie du vêtement qui assure désormais la responsabilité de sa chaîne de production et non plus seulement de ses produits», se réjouit Bunny McDiarmid, directeur exécutif de Greenpeace International. Des groupes internationaux comme Zara, Adidas, H&M, Benetton et d’autres sont signataires de la charte. Elles représentent  environ 15 % de la production mondiale de textile. En signant, elles s’engagent notamment à tester le rejet des eaux usées de leurs usines de fabrication et à publier des rapports, à une transparence accrue sur leurs chaines de sous traitance vis à vis du public, ainsi qu’à une connaissance des usages de leurs prestataires sous traitants [[souvenir des sous-traitants tomates dont les grades surfaces « ignoraient » leurs pratiques…]], souvent basés en Asie. Les 11 produits chimiques toxiques listés seront remplacés par des alternatives moins nocives. »…Voici comme des amorces de maillages solides – s’il y avait des politiques vraiment réalistes (rien à voir avec le charabia des médias vendus !), ils poursuivraient ce qui très vite pourrait se formuler comme : un changement complet de la direction de la société. Ecology first. Toute la société quitte les profits que pour les marginaux capitalistes, barricadés dans leur cité de séparatisme social qui détruisent la Terre ET la vie, et fait de l’écologie de toutes et tous la direction collective…les arriérés « réfractaires » à cette forte évidence se ridiculiseront d’eux/d’elles-mêmes !

Les-salariés-de-l'ONF-veulent-lancer-un-mouvement-contre-la-marchandisation-des-arbres

« C’est au tournant de l’an 2000 que l’institution forestière française entame sa mue néolibérale. La grande tempête de 1999 a engendré un traumatisme économique au sein de la filière et coûté plus de 500 millions d’euros à la forêt publique. « La tempête a servi de prétexte. Elle a accéléré le processus. Mais le ver était déjà dans le fruit, nuance Philippe Canal, porte-parole du Snupfen, le principal syndicat de l’ONF. Depuis sa création en 1964, l’ONF a un mode de financement bancal qui dépend de la vente de bois. D’où une pression toujours plus forte pour en couper davantage et délaisser certaines missions jugées non rentables, comme celles liées à l’environnement, à l’accueil du public ou à la surveillance ». Depuis quatre décennies, le volume de bois récolté a augmenté d’un tiers alors que les recettes provenant de ces ventes ont baissé de 35 %. « C’est un fonctionnement suicidaire ! Le financement de l’ONF devrait être libéré des contraintes du marché du bois », juge Philippe Canal [[Mais qui avait donné ces idées à la con ? Comme nous l’avons déjà rappelé dès 2 000 le nombre d’audits donnés au privé, oui donnés car les services publics pouvaient les faire et en plus objectifs, se sont multipliés. Trop fortement. Ici, c’est encore un cabinet privé qui dit que tout le service public ne doit que suivre que les règles du privé…alors qu’il n’a aucun but lucratif, juste de traitement égal de tous ! D’où, encore catastrophes…]]

S’occuper d’une forêt « comme un conseiller bancaire gère des portefeuilles » : Fortement influencés par l’univers concurrentiel et la gestion telle qu’elle se pratique dans les entreprises privées, ces consultants ont calqué ce qu’ils connaissaient pour le plaquer tel quel sur le service public qu’ils n’ont pas cherché à connaitre…tant que les services publics copieront le privé nous sommes en grand danger…le privé n’est surtout pas fait pour gérer les grandes affaires publiques : il omet bien trop de paramètres .

 

Changement-climatique-:-responsabilité-individus-entreprises-?

« Voilà une idée assez répandue: la transition écologique devrait passer par des changements individuels –c’est le «sois le changement que tu veux voir en ce monde» qu’on attribue à Gandhi. C’est ce que pense par exemple Tristan Lecomte, fondateur de PUR Projet, une entreprise qui «accompagne les entreprises» comme Nespresso ou Chanel «dans l’intégration de la problématique du climat au cœur de leur chaîne de valeurs». En 2010, l’entrepreneur écrivait: «Une critique vindicative n’est que l’expression de ses propres contradictions, de ses peurs et de son sentiment d’impuissance. Le monde n’est injuste que parce que nous sommes tous, individuellement et collectivement, injustes. On s’offusque de la pauvreté, qui n’est pourtant que l’évidente expression de notre égoïsme à tous». Ainsi, l’augmentation d’un million du nombre de pauvres en France en dix ans, [[ oui mais « la » pauvreté diminue, diminue dans les apparences uniquement par jeux faussés de seuils, n’arrêtent pas de mouliner les médias d’argent sale !]] par exemple, n’est pas le résultat de décisions politiques, mais d’un égoïsme également partagé entre tous et toutes –par les 21% de Français et Françaises ayant «du mal à se procurer une alimentation saine pour assurer trois repas par jour», comme par les 580.000 millionnaires de l'Hexagone (un chiffre qui a augmenté de près de 47% entre 2007 et 2016). »…La mise en responsabilité de chacun.e (et qui n’a rien à voir avec les culpabilisations harcelées par les pouvoirs unilatéraux contre ceux/celles qui… subissent leurs si néfastes décisions !)…oui cette responsabilisation acceptée participe des premiers de la nouvelle direction directionnelle offerte à toute la société !

Thomas-Porcher-écologie-et-meilleure-répartition-des-richesses-vont-ensemble

« Ce dimanche, l'économiste et essayiste Thomas Porcher, membre du collectif des Économistes atterrés, propose de choisir l'environnement plutôt que l'économie en développant les énergies renouvelables, en mettant fin aux traités de libre-échange et en changeant les indicateurs afin que les boussoles ne soient plus le PIB et la croissance économique. Entretien. Existe-t-il une contradiction entre l’économie et l’écologie comme l’a pointé Nicolas Hulot ? Le modèle économique tel que nous le connaissons ne prend pas en compte les questions environnementales et climatiques. [[ il faut être clair là dessus : le monde politique fait du Séparatisme d’avec la…réalité. Il est plus du tout dans la course. Donc ? Soit il change soit il se démet !]]. En fait, deux solutions s’offraient à nous. Repartir d’une page blanche, un peu comme après la 2e guerre mondiale et se dire on va créer un modèle économique basé sur la transition énergétique avec la création d’opérateurs sur les énergies renouvelables, avec des investissements massifs dans la rénovation thermiques des bâtiments, etc.  Ou, et c’est le choix qui a été fait : on garde le modèle économique tel qu’il existe et on crée des incitations pour que le consommateur ou le producteur changent, comme des crédits d’impôts pour que le consommateur puisse rénover son habitat. »….en sachant que tout cela est du pipeau et transforme, catastrophiquement,  notre société en ennemie de la Vie et de la Nature.

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Mise-en-oeuvre-de-l'économie-circulaire-les-leçons-d'une-étude-internationale-1ère-partie-suite-en(2)-

Parmi les solutions plébiscitées pour réduire notre empreinte écologique, l’économie circulaire fait des émules. Dénonçant le fonctionnement linéaire de notre système économique, cette approche s’inspire des écosystèmes naturels pour proposer de nouvelles manières, plus vertueuses, de produire et de consommer. À partir du principe selon lequel les déchets des uns peuvent devenir les ressources des autres, les entreprises sont invitées à réorganiser leurs flux en boucles fermées. Engager les entreprises dans une coopération créatrice de valeur autour des déchets implique cependant des changements cognitifs (de nouvelles façons de penser), puis organisationnels (de nouvelles manières de structurer les procédés industriels et la gestion des déchets) [[ donc directionnels globaux de la société : en clair, nous changeons complètement de direction et de méthodes !]].

Faire-traverser-les-canards- ?      pour les canards se déroule le passage clouté

Une pensée plus écosystémique : Regarder les entreprises voisines comme des partenaires potentiels avec lesquelles échanger des déchets n’est pas courant. L’économie circulaire implique pourtant une relocalisation des flux, avec la mise en place d’échanges matériels et énergétiques sur les territoires.

Ces coopérations reposent sur une approche écosystémique où la priorité est donnée à la recherche d’opportunités de symbioses. Ces dernières correspondent à des coopérations environnementales par lesquelles les entreprises partagent ou échangent des déchets pour réduire leur impact écologique entre les acteurs. L’économie circulaire se pense donc surtout à un niveau inter-organisationnel ; la confiance joue ici un rôle prépondérant dans sa mise en œuvre.  Le manque de communication entre les entreprises sur leurs résidus et la culture du secret industriel compliquent cependant l’identification de ces opportunités de coopération. Dans ce contexte, des structures comme les associations ou les clubs d’entreprises peuvent être utiles, comme nous l’avons souligné dans une étude parue en 2018 et portant sur la mise en œuvre de projets d’économie circulaire en France et à l’étranger (Canada, Danemark). Nos travaux portent plus particulièrement sur l’association dunkerquoise Écopal, le Centre de transfert technologique en écologie industrielle (CTTÉI) québécois ou encore le Symbiosis Center Danemark. Ces structures agissent comme plateformes d’intermédiation et permettent aux acteurs du territoire de se rencontrer et de développer des stratégies collectives. Avec leur vue d’ensemble, ces structures sont intéressantes pour chercher et activer les opportunités de coopération en connectant les entreprises en fonction des flux disponibles. « Ce dont les entreprises ont le plus besoin, c’est la mise en relation » [[ce que le monde végétal réussit à la perfection…les anciens modèles Sans la nature doivent être banni lotsque la nature devient le modéle, le modèle biomimétque !]], souligne ainsi Pauline Nackaerts, ancienne animatrice environnement d’Écopal. En centralisant l’information, en pilotant les actions collectives et en absorbant une partie des coûts liés à la recherche et à la négociation des partenariats, Écopal est ainsi devenu, depuis une quinzaine d’années, un levier stratégique dans l’écosystème dunkerquois. »…Basculement complet de la vision – nous ne voyons plus les choses pareillement…. Tous les produits pour…rendre service ? Finis les stupides profits – cet impardonnable enfantillage – désormais, les produits sont évènements (se produit le produit). Soit qu’ils se mettent et mettent tout en interconnexions : la nature, les humains, les autres matériaux dans un gigantesque…vivre en intelligence qu’entrevoient mieux que les plus sensibles d’entre nous. Oui terminés ces crétins en costards-cravates (est-ce qu’un « vrai » boulot se fait en costard ?) dont l’étranglement de la cravate semble rendre, comme automatiquement, arrogants…Oui ? Dans leur feignasseries aiguës, toujours les solutions de facilités des poltrons et des je m’en foutistes, toujours uniquement les idées qui nuisent au plus grand nombre…Non, à force d’accuser les innocents (pauvres (tout de même 1 million de plus en 10 ans), chômeurs (tout de même faut aller vérifier, tous les mois, les « vrais chiffres du chômage » qui ne sont pas vraiment les officiels), les migrants (qui rapportent plus aux économies des pays qu’ils ne leur coûtent)…etc.)…oui ils feraient mieux de sacrément s’auto-engueuler…ils ont déjà plusieurs décennies de retard sur le plus du 1/3 très conscientisé de l’Humanité (chiffre qui enfle d’années en années) – des dirigeants très en retard cela fait tout de même plus que désordre…Car ?

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De tout cette actualités extrêmement attachantes et à la pointe des progrès sociaux – combien sont relayées par les médias dominants ? AUCUNE – c’est plus qu’un scandale – pour leur futilité de cancres déguisés en barboteuse de la connerie, ils osent dissimuler…l’essentiel ! Et si vaguement citées, comment ? Facile de vérifier par soi-même. Oui ces médias mercenaires sont indignes d’occuper la place de l’information. En rien ils ne sont sérieux et ne font rien sérieusement…devenir un guerrier pacifique de la Terre est très facile…lorsque cela commence par foutre à la poubelle tous les médias dits dominants - services rendus : moins dix mille - c’est la glaciation complète ! Et…de prendre toutes et tous leur place !

Si ces animaux n'existaient pas…Les humains ont tellement perdu de temps à se surévaluer, ce qui ne leur réussit pas (esclavage, exploitation, guerres absurdes, pollutions contreproductives, etc.) particulièrement…que nous ne savons plus  A QUOI SERVENT les animaux, les végétaux et la vie. S’aliéner autant, en général pour des conneries, clair que nous ne sommes....

….…………. surtout pas dirigé.e.s. Et depuis combien d’années ?

 

 

……..……(à suivre)

 

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que la vaste compréhension nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Entre la Terre qui se dévoile et la	 finance qui se cache ?(1)
oiseau à Berlin

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Après 7 ans de mobilisations diverses, des dizaines de marques de vêtements et fournisseurs se sont engagés à éliminer 11 composés toxiques de leur production d’ici 2020.

Après 7 ans de mobilisations diverses, des dizaines de marques de vêtements et fournisseurs se sont engagés à éliminer 11 composés toxiques de leur production d’ici 2020.

Entre la Terre qui se dévoile et la	 finance qui se cache ?(1)
“Tribunal”, c’est juste pour faire croire aux abrutis que ça a rapport avec la justice…or c’est l’injustice privée. L’écologie doit expulser cette mascarade. Les pollueurs sont les payeurs (même si le capitalisme les applaudit pour leurs inexcusables méfaits ) et perdent tout droit de juger tant qu’ils restent en dette envers la Terre…Ce sont eux les accusés !

“Tribunal”, c’est juste pour faire croire aux abrutis que ça a rapport avec la justice…or c’est l’injustice privée. L’écologie doit expulser cette mascarade. Les pollueurs sont les payeurs (même si le capitalisme les applaudit pour leurs inexcusables méfaits ) et perdent tout droit de juger tant qu’ils restent en dette envers la Terre…Ce sont eux les accusés !

Au-delà des rafistolages provisoires d une pensée et d un système à bout de souffle, une immense révolution est en marche : celle de la conscience humaine.

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Voici à quoi ressemblaient les fruits et légumes avant leur domestication par l’homme

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La biodiversité améliore nettement la qualité de vie des citadins : impossible donc de mettre la nature à la porte !

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Protéger la biodiversité c’est améliorer notre SANTÉ  ! « La variété, des gènes individuels aux espèces, donne de la résilience aux écosystèmes face au changement. En retour, les écosystèmes stabilisent la planète et fournissent des services essentiels au bien-être humain.

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Entre la Terre qui se dévoile et la	 finance qui se cache ?(1)
nervures et veines des feuilles d’arbres…

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"La plupart des pays riches pourraient consommer moins d’énergies sans porter atteinte à leur qualité de vie mais ne le font pas", estime l'économiste Thomas Porcher.

"La plupart des pays riches pourraient consommer moins d’énergies sans porter atteinte à leur qualité de vie mais ne le font pas", estime l'économiste Thomas Porcher.

Fortement influencés par l’univers concurrentiel et la gestion telle qu’elle se pratique dans les entreprises privées, ces consultants ont calqué ce qu’ils connaissaient pour le plaquer tel quel sur le service public….tant que les services publics copieront le privé nous sommes en grand danger…le privé n’est surtout pas fait pour gèrer les grandes affaires publiques : il omet bien trop de paramètres.

Fortement influencés par l’univers concurrentiel et la gestion telle qu’elle se pratique dans les entreprises privées, ces consultants ont calqué ce qu’ils connaissaient pour le plaquer tel quel sur le service public….tant que les services publics copieront le privé nous sommes en grand danger…le privé n’est surtout pas fait pour gèrer les grandes affaires publiques : il omet bien trop de paramètres.

Responsabilisation n'est pas culpabilisation ; la culpabilisation de l’individu (par les faux jetons dirigeants alors que ce sont eux les…coupables !) est une technique éculée dans de nombreux domaines, comme le montre «Cash Investigation» dans son reportage sur le plastique ou le magazine Frustration dans un article consacré au développement personnel

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tortues à bout d’humanité – plus de forces pour supporter ces cancres en costards-cravates.

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L’apport majeur des sciences sociales et humaines à la construction d’une économie et de sociétés durables – donc adaptées au caractère fini des ressources naturelles et des écosystèmes dont nous dépendons – sont également indispensables à l’élaboration de modèles sociaux favorables à la sobriété dans la consommation de matières et d’énergie, rompant avec l’idéologie consumériste que le capitalisme  exacerbe depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Une sobriété aussi nécessaire pour écarter la menace climatique et l’épuisement des ressources que la mise au point de technologies décarbonées, dont les limites sont posées autant par les contraintes naturelles que par notre inventivité.

L’apport majeur des sciences sociales et humaines à la construction d’une économie et de sociétés durables – donc adaptées au caractère fini des ressources naturelles et des écosystèmes dont nous dépendons – sont également indispensables à l’élaboration de modèles sociaux favorables à la sobriété dans la consommation de matières et d’énergie, rompant avec l’idéologie consumériste que le capitalisme exacerbe depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Une sobriété aussi nécessaire pour écarter la menace climatique et l’épuisement des ressources que la mise au point de technologies décarbonées, dont les limites sont posées autant par les contraintes naturelles que par notre inventivité.

Si ces animaux n'existaient pas…Les humains ont tellement perdu de temps à se surévaluer, ce qui ne leur réussit pas (esclavage, exploitation, guerres absurdes, pollutions contreproductives, etc.) particulièrement…que nous ne savons plus A QUOI SERVENT les animaux, les végétaux et la vie. S’aliéner autant, en général pour des conneries, clair que nous sommes sutout pas dirigé.e.s. Et depuis combien d’années ?

Nathalie Machon : Les services rendus par la biodiversité urbaine. Ce n’est pas parce que les lunatiques citadin.e.s ont décrété de la Nature n’existe pas qu’elle les laisse tomber – les preuves ?

En très bref : What is the Circular Economy?

Fonctionnement des populations animales et végétales en ville : sans aucun anthropomorphisme (genre faire comme si tout n’existait que comme esclave admirant tant le dieu humain !).

L’Hypothèse Gaïa par Ghislain Nicaise le 1er décembre à Nice

Harceler le politique face aux catastrophes : plus aucun pouvoir politique qui ne ferait pas de l’écologie sa priorité n’est aujourd’hui crédible ! Il faut donc que leur blocus de déments craque d’une façon ou d’une autre…

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