La soif est ouverte (1)

Oui la soif est vraiment ouverte. Nous l’abordons, d’abord, sous l’angle des… virtuoses des virtualités - et il y en aura bien d’autres…Virtualité c’est voir le futur danser dès aujourd’hui. Tenir des arabesques non encore finalisées dans la main. Même mettre du charnel dans du latent, du sensuel dans du non survenu. Ce qui appartient à ces qualités, dont la conscience surpasse absolument toutes les valeurs boursières. Trop peu d’êtres se sentent autorisés (ne pas mésestimer l’auto-censure – grâce à…l’univers, nous, nous ne autocensurons jamais !)…oui autorisés à voir en face « l’esprit balistique » - non celui de la Kabbale, dit « cabalistique », d’une autre balistique – mais bien celui qui sait voir danser le futur dès ce jour ; qui ressent de tout le corps tout le trajet de vécu nécessaire pour parvenir à dire telle phrase maintenant. Puis jusqu’où portera cette même phrase. Sa distance. Sa trajectoire complète. Ou bien qui possède dans des replis de sa mémoire incarnée,  l’immense carte des savoirs entremêlés et des carrefours (le nouveau véritable) quelle engendre. Ce qui (donc) permet de savoir ce que chaque concept nouveau va nous apporter. S’il va faire bouger les lignes (même si tous les minables de l’argent sale censurent – la réalité, elle continue, puisque de rien n’était...et une pensée nécessaire aux humains vainc toujours…). Oui, même ressentir le destin d’une destination – à moins que ce ne soit que la destination d’un destin. Bref – tout ceci (et plus encore) offre la virtualité comme un (des) instrument(s) à faire gonfler sa (ses) virtuosités …

Pourquoi le dire dès lors ? Les virtuosités (de virtù, ce provient qui de la qualité ou de l’art), ces vertus qui sculptent une vie comme une élégance que rien ne souille…oui ces «virtùs» qui, lorsque l’honnêteté est là, se trouvent un peu dans le virtuel actuel (l’extériorisation de la virtù !). Il faut de la vertu pour la rendre virtuose, ose.  Puisque le latin « virtus » de virtualité désigne la Force. Or, nous vivons la réalité comme des forces qui donnent formes et inForment tout de formes formulées…ou bien des formes qui se font forces afin de mieux se former, devenir des formations durables, etc. Et donc ? Parvenir à vivre les virtualités c’est se faire une vision à 360 °, aussi magique que cela…un petit exemple ? Prenons « perspective »…la peinture Renaissance alliée à l’architecture nous a décrypté le bout de nos regards. Mais ceci va plus loin, puisque perspectivus, perspicere,  c’est « pénétrer par le regard ». Oui comme…perspicace, du même perspicere. Regard qui garde tout le butin…regard laser qui transperce…ou bien regard fin qui subtil subtilise sans que nous ne le percevions, etc. Là où nous rejoignons (ce qui n’est plus virtuel mais archi présent) la prise en…considération, soit l’égard, le penchant attentionné donc attentif (avoir des attentions)  qui appartient au respect. Ce si grandiose respect qui fait  - respectivement – de la respective et du respectif…ces propriétés (que la matière a épousé comme ses caractéristiques), qui demeurent des qualités qui ne se trouvent surtout pas dans l’extrême vulgarité bourgeoise (qui, elle, ne respecte jamais rien – la pire voyou de l’humanité !) de se barbariser en ces …quantités qui détruisent et que jamais nous ne pouvons posséder, vu qu’elles nous dépossèdent de nos meilleurs. Tandis que les qualités (cette supériorité inépuisable et durable (sans effets secondaires)) se vivent s’incarnent, devenir et être, s’épousent au plus près comme ce que nous…possédons véridiquement. Le lourdaud bourgeois est donc toujours le confus magnifique, le cocu catastrophique…c’est ainsi que les humains vont vivre !  

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Le-langage-est-les-transformations-de-le-société

« Parce que les mots évoluent en même temps que les sujets qu'ils décrivent , ils reflètent la transformation des idées qui traversent la société [[ mieux – ils formulent les formes, transportent le virtuel, non encore formé, vers le présent …formidable (rugissant de formes nées) . Et d’un murmure à peine audible il nous offre la clameur d’une foule unie. Tant de virtualités dans ce qui n’est toujours pas assez admiré…allons…allons]]… : On change [[ même dans une triste époque, côté pouvoirs qui sont, tous, au-dessous de tout,…nous avons et gardons toute l’initiative et nous forçons ces vraiment grands déchus à changer. D’une manière ou des autres…Plus une idée qui ne vient d’eux – toutes viennent de nous, ils en sont contraints à nous suivre…]]. L’une des grandes révélations de ces dernières années, c’est la vitesse parfois vertigineuse à laquelle on a changé d’avis sur un certain nombre de sujets [[ah bon ! Toujours ces affirmations de mauvais aloi et qui ne tiennent pas le raisonnement…Approfondir, enrichir, étoffer nous semblent bien plus jouissifs – changer pour changer c’est souvent aussi superficiel que les superficies. C’est afin de rester le moins possible avec soi-même. Et de se soûler de faux changements alors que tout le monde peut devenir l’ami.e de soi-même…cette permanence amérindienne qui nous enchante de nous-mêmes ! Ne voulant rien posséder…à part, ne désirant pas nous planquer comme ces sournois bourgeois pour croupir avec nos magots antisociaux, nous sommes unis, indivisibles, entiers et de plein pied avec tout…le langage nous reste une nourriture qui nous rend neufs, à chaque fois, et jamais ne nous déçoit !]]  C’est un fourmillement d’idées, de concepts nouveaux, de déconstructions tous azimuts qui n’est pas sans me rappeler mes plus riches années de fac. Étant particulièrement sensible aux langages, voici quelques trucs qui ne me dérangeaient pas et qui désormais me filent l’envie de frotter mes dents sur une lime à ongle [[toujours ça de fourgué, n’est-ce pas ?]].

On n'euphémise pas une couleur de peau : 1°) Je ne supporte plus les gens qui disent «la semaine dernière, j’étais au supermarché quand il y a un grand black qui a» etc. Dire «black» à la place de «noir», ça me hérisse le duvet [[ c’est, pourtant, d’un duvet qu’on vêt !]] alors qu’à une époque j’ai sans doute dû l’employer également. Maintenant, cela me paraît marqué de l’hypocrisie de refuser de dire noir, mais en voulant malgré tout insister sur la couleur de peau de la personne. Une manière de vouloir dire noir sans dire noir. Or on n’euphémise pas une couleur de peau. D’autant que le terme «noir» ne renvoie pas seulement à une couleur de peau mais à une situation précise dans la société française, une situation qui inclut des discriminations qu’il est nocif de nier [[ t’arrête d’être bourgeois, c’est plus simple…vu que l’espèce humaine est une, qu’il n’y pas de races distinctes telle la différence entre oiseau et cheval, que nos parents d’origine restent les…mêmes pour tout le monde (que tu te crois riche ou pauvre, ducon !)…Laiquement nous sommes toutes et tous sœurs, cousines et même cousins, nos frères…C’est ainsi – c’est les mathématiques qui avec le bourgeois (le plus grand Inadapté du monde), ferait du « chacun des ancêtres séparés » donc des …milliers de milliards et nous de 2019… très peu nombreux…Or, la réalité nous fout sa douche très froide…Qui est ? Très peu d’ancêtres et nous bien plus nombreux qu’eux…Et ? Le bourgeois a TOUT FAUX – son récit du monde reflète juste une grave maladie mentale «et» affective…il faudra bien qu’il apprenne l’amour – ce sinistre haineux qui tire dans la foule (son coming out !)…Les mots sont là pour ça !]] . Je comprends bien que les gens qui emploient «black» ont pour certaines et certains la volonté de ne pas discriminer. Dire noir ça leur semble raciste [[ le racisme, puisqu’il n’y a pas de races possibles (tous des mêmes parents !) est juste une rémanence rétinienne, oui mon pote…une superstition, un vain obscurantisme. Tout dans le bourgeois…ridicule arriéré, est superstitieux, d’un autre âge. Au point qu’il faudrait prendre une brosse à chiendent et frotter sa connerie…Bon, il faudrait s’y reprendre à plusieurs fois, tellement il monopolise des couches et des couches…mais le but est bien de retrouver le Progrès Social…celui qui va abattre la mascarade avortée du lamentable macronisme !]]. Mais d’abord, on peut dire «noir» sans adhérer au code Noir. Ensuite, soit dans ce que vous dites, le fait de préciser que la personne en question est noire a son importance et donc autant le dire clairement, soit cela n’apporte rien et alors inutile d’aborder le sujet de sa couleur de peau [[ quel apport sublime à nos petits cœurs, non ? Nous n’étions pas capables de deviner que tant de…circonvolutions arides et de tortueux torts chemins résidaient en nous…Faudrait voir à changer de locataires…]]. Ce qui m’a fait prendre conscience de l’hypocrisie du terme «black» ce sont les premières et les premiers concernés qui ont expliqué que «black» leur écorchait les oreilles. Or ce sont elles et eux que l’on doit écouter en priorité sur ce sujet [[ qui ça « on », qui ça « doit » ? C’est le cœur qui écoute, allons, allons, et les conneries n’attirent plus les cœurs ardents. Ardents qui en « ardent » (donc ont le feu au cœur)…Ils ont, aussi, le feu « igné » oui vous savez celui qui se trouve dans ind-Igné (indignés comme enflammés par la flamme qu’allume les sordides injustices bourgeoises…et, avec ce gouvernement des corrompus nets,  cela pullule les injustices…heureusement, les mots, tous les mots, sont de notre côté. Et ils parviendront avant nous à faire imploser ces cœurs déjà morts !]]...

L'univers hétérocentré de Titeuf : 2°) L’autre jour, mes enfants regardaient le dessin animé «Titeuf». J’en avais plutôt un bon souvenir, du temps de ma jeunesse où j’étais baby-sitter. Mais là, j’ai été horrifiée par la récurrence de l’expression «momosexuel». Pourtant, Zep a été salué pour son engagement contre l’homophobie. (Et Jair Bolsonaro avait accusé Titeuf de promouvoir l’homosexualité. Purée, que de sinistres conneries semblent occuper ces graves insultes à l’humain que sont ces non-dirigeants ? Servent-ils à quelque chose au moins ?) Mais l’emploi par son personnage du terme momosexuel me paraît incroyablement discriminant [[ah bon ! nous n’eûmes point remarquette…remarquette c’est joli, non ?]]. Titeuf vit dans un univers hétérosexuel et même franchement hétérocentré. En parlant des «momosexuels» il en fait l’altérité absolue, les autres, les différents, les pas comme nous [[et nous c’est qui ? Un nous qui n’accueille pas, qui n’ouvre pas les bras, qui ne sert pas à se blottir dedans – pour nous – ne peut pas exister…un nous si piteusement raciste et inhospitalier n’est pas un nous…juste un mou !]]. Alors même si la morale énonce «mais on doit accepter les gens différents» ça ne me va pas du tout, dans la mesure où cela promeut une norme hétérosexuelle [[et une seule…tout comme le macronisme mono-obsédé ou le bourgeois monodéraille !]] ]] et rejette les autres à la marge. On ne doit pas les inclure malgré leur différence ou pour leur différence. Ils font partie intégrante de la société, au même titre que les autres, point barre [[ elle en met du temps pour arriver à la barre …avec de tel matelots, nous serions déjà échoués dans l’échec collectif depuis longtemps, non ?]]. Ce n’est pas la première fois que je décrypte ce genre de présupposés à mes enfants, mais le cas de Titeuf me pose un problème particulier pour une question de proximité temporelle. Quand je lis à mes enfants les contes des frères Grimm, qui reflètent le sexisme de leur époque, ils font d’eux-mêmes une mise à distance. Le vocabulaire, l’action, le décor, les codes sociaux, tout leur dit qu’on ne parle pas de notre société actuelle. Je leur précise qu’à l’époque les femmes et les filles n’avaient pas de liberté, et ils comprennent le contexte sexiste de l’histoire. Dans le cas de Titeuf, il n’y a pas ce recul historique [[ la gluance néolibérale se glisse sournoisement, toujours masquée, se posant comme évidence déjà là depuis toujours afin de s’imposer toujours terroristement comme…ce que l’on ne discute pas…ces délires nombrilistes comme la soi-disant fin de l’histoire (comment un processus aussi immense pourrait s’arrêter parce que des médiocres osent que « l’argent sait tout »… alors que, chaque jour, nous vérifions qu’il ne sait Rien - sans l’histoire comment donc y pouvoir seulement commencer le tri ?]]. C’est grosso modo leur mode de vie qui y est décrit [[et jamais un seul des autres – ne serait-ce qu’effleuré…cette impossibilité psychorigide à se mettre à la…place des autres interroge sacrément : pourquoi sont-ils toutes et tous atteints de cette « même » maladie ?]]. Donc cela rend le recul critique plus difficile pour eux. »…[[Effectivement, le bourgeois reste un échec massif et retentissant de l’évolution…faut dire que cet hurluberlu s’est toujours crispé dans ses refus maladifs, s’est toujours affublé des vêtures les plus inappropriées (enfin, si t’es un vrai vivant extraverti est-ce que tu vas te foutre la chasuble monastique introvertie d’un costard-cravate ? Enfin, un peu de sérieux : Le sérieux ? Justement ce que n’aura jamais le bourgeois ce pitre de l’Histoire, oui la vraie et qui existe encore !

...de-la-traîtrise-...

« Tout le monde s’accorde à reconnaître, que c’est bien des lexicologues qui planchent pour donner les significations des mots. Il est question dans ce présent article de la Traîtrise, ses adjectifs et substantifs, un mot qui nous interpelle au plus haut degré, surtout en ce temps de discorde sociale [[ de discordial…par le haut ! Ce n’est pas grave c’est de dérangements affectifs d’une caste parasitaire qui veut Tout et qui transforme tout en une chasse aux hérétiques (oui à leur divine pensée, vous vous rendez compte) ce qui est du rationnel , du bon sens et un comportement juste…Il n’y a pas fondamentalement de déchirure sociétale…juste des bourgeois fous d’avidités…inadmissibles et qui se comportent comme des barbares ! Se tromper de groupe perturbateur fait délirer sur ce qui se passe …réellement !]], tellement usé et fatigué qu'on en est réduit à de vaines conjectures, et ou l’incompréhension de notre environnement socio-économique reste dans le flou le plus total [[ que de petits bourgeois…égarés !]].

Essayant de connaître la signification de ce dernier a travers son radical, le mot ''Traître'' et ses quelques définitions, tirées des dictionnaires le Larousse et le Trésor.

- Dans le Larousse (Adjectif) : Qui fait du mal à l’improviste, sournois, les chats sont traîtres. Les synonymes de sournois : Dissimulé, hypocrite, perfide, fourbe. Plus que les gens ordinaires, les hommes politiques sont de la frange ou la traîtrise[[ ce pourquoi il faut abolir d’urgence les politiciens professionnels – ils ont fait assez de mal…le pays à le Droit de mettre sur la touche ses membres les …plus Dangereux…privatiser n’importe comment surtout ce qui est le plus rentable et touche à la sécurité nationale c’est se montrer tel des…Dangers publics]] est une manière de compléter son répertoire de flagornerie dans la pratique diplomatique, des romanichels qui tournent au quart de tour, en suivant le sens du vent, se voulant toujours avec les gagnants [[ mot trop infantile pour que la société l’admette encore : la santé publique c’est qu’il n’y ait pas de perdants…Cela suffit pour faire un vrai monde !]]. On les trouvera constamment aux premiers rangs à dire ‘’Le roi est mort, vive le roi ’’ Il nous vient à l’esprit, en suivant le cours de l’actualité nationale et internationale, l’exemple de deux personnalités politiques, encore aux postes, l’un français, Macron en l’occurrence, et l’autre à la rive sud de la méditerranée, l’algérien Bouteflika.

Pour le premier, après quelques années au pouvoir, très peu en vérité, on en est arrivé à se demander comment ce jeune président, inconnu des français il y a peu, a su se jouer de la grande majorité du peuple [[ enfin il y a « l’armée d’occupation » de l’oligarchie, cette grave illégalité qui, depuis Vichy et bien avant, a toujours terriblement NUI au pays…Le macronisme c’est l’élément ennemi, l’occupation étrangère qui s’est glissée sournoisement dans la nation…Sauf que – maintenant démasquée – cette « invasion » doit quitter discrètement l’espace public !]]. De tout beau et tout gentille au début, d’avant son investiture, il finit par montrer sa réelle nature de prédateur, sans pitié ni remords, en donnant des ordres pour blesser, certaines blessures ont donné la mort (on en est à 12 morts des gilets jaunes jusque-là), et ce, le plus moins naturellement du monde, sans aucun scrupule [[ sauf que le monde entier a…condamné cette barbarie dénoncée…il n’a jamais été question de la violence des Gilets jaunes…mais bien de la sauvagerie de ce pouvoir…discrédité pour toujours. Et l’oligarchie de traîtres encore plus …]]. N’est-ce pas là l’exemple parfait du… délit de confiance, que le peuple français lui avait octroyé, dans l’espoir de se voir sortir d’un marasme économique. Il n’en fut rien, ce fut plutôt une terrible traîtrise [[ excellent descriptif…puisque c’est de…prendre en traître dont il s’agit…la macronisme est une trahison aggravée, puisque Deux fois traîtres !]]  fort pénalisante, puisqu' elle a résulté sur la mort de nombre de personnes, et autant de blessés, des éborgnés dans beaucoup de cas. Le ‘’En marche’’ s’est révélé un bulldozer de superstitions écrasant le peuple qui, ne réclamait réclame (usage traître des mots ?]] qu’une justice sociale équitable. L’expérience nous l’a donc bien assez prouvé, les hommes politiques, encore davantage, sont potentiellement des traîtres en puissance [[cette virtualité ne doit jamais devenir concrète…et pour cela plus de caste à part, plus de vers dans le fruit, plus de nid à trahisons…bref, plus de politiciens professionnels du tout !]]. En abusant de la confiance de leurs peuples, certains présidents deviennent de facto des traîtres à leurs nations, d'autant plus s'ils composent avec des puissances et des forces occultes parmi les états, lobbys, sectes et banquiers. [[ donc c‘est Trois fois traître en ce qui concerne le macronisme ?]]. Par leur traîtrise, ils risquent de faire basculer leurs nations, et c'est toujours les peuples qui subissent les conséquences. »…Et qui n’a plus à les subir. Comment ? Les conséquences c’est par séquences et le prodigieux langage nous dit (juridiquement aussi il est de… notre côté) comment fermer chacune de ces séquences !

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Salon-du-livre-de-la-gauche-bobo-...le-désastre-!

Comment le putsch des médias et des présentateurs millionnaires (fin des années 1980) ont asséché la circulation des idées ? Comment le pays entier a été…sacrifié juste pour que des…indignes bobos parisiens aient…leur si « petit monde » de pacotille ? Et comment, enfin, leurs enfantillages, en 2019, sont en train  de disparaître ?... « ‘Pour conclure, si vous avez douze euros à claquer, placez-les ailleurs que dans une visite de ce salon destiné à un clan de militants libéraux. Préférez le marché aux livres d'occasion de la Porte de Vanves (les week-ends), où tous les courants d'idées sont représentés ainsi que toutes les catégories socio-professionnelles. Fréquentez les petits libraires indépendants. Inutile de perdre votre temps chez des "marchands de nouvelles", comme dirait Ingrid Riocreux ! »…et nous aussi…et depuis si longtemps, la vraie vie est ailleurs…paris ne mérite plus une messe !

Lire-c'est-inventer-les-liens-sociaux

Parce qu'elle active les zones cérébrales impliquées dans la théorie de l'esprit, la lecture nous aide à… comprendre les autres [[ ce qui nous est soigneusement caché : puisque la télévision putschiste, vous savez tous ces visages haineux des présentateurs…millionnaires qui diffament et n’informent plus jamais…oui cette dictature de pots de chambre est vaincue nette…par la lecture et les débats qui s’ensuivent !]]. Une chose est sûre: si l’on en croit la troisième édition du baromètre Les Français et la lecture, publié le 13 mars par le Centre national du livre, la France aime lire : 88% de ses habitantes et habitants se déclarent lecteurs [[ ce qui nous est aussi très…dissimulé ! Tant d’esprits critiques virtuellement aptes à se soulever ?]].  Pourtant, si de nombreuses études scientifiques se sont penchées sur les effets, à plus ou moins long terme, de la pratique de la méditation ou de la musique sur le cerveau, on connaît mal ceux de la lecture [[ et pour cause…c’est la lecture qui a mis fin aux religions et va mettre fin à tous les obscurantismes dont le macronisme, cette malsaine superstition !]]. Étonnamment, ils n’ont pas fait l’objet de beaucoup de recherches [[ idem…rechercher c’est souvent trouver…et donc ?]]. La plupart des travaux existants se sont en effet attachés à décrire ce qui se passe dans le cerveau au moment où on lit, ou à identifier les structures cérébrales nécessaires à la lecture. Il a toutefois été clairement démontré que la lecture procure des bienfaits considérables, en particulier sur la pensée même si, à ce titre, toutes les catégories d’ouvrages ne se valent pas. Retour sur quelques enseignements marquants des rares études existantes. Lire, c'est aussi lire les autres [[ tout en sortant du dé-lire nous savons nous…mettre à la place des autres puisque leurs intimités justement ont pu pénétrer en nous…. voir le sens exact de perspective plus haut !]].

Le résultat le plus stupéfiant est celui obtenu par David Comer Kidd et Emanuele Castano, publié dans la prestigieuse revue Science en 2013, puis reproduit par une autre équipe en 2018.  La théorie de l’esprit se définit comme la capacité à attribuer à autrui des pensées, des intentions, des émotions [[ le bourgeois ne le peut pas…en effet, le monde n’existe que pour lui seul…et tout l’univers n’a été créé que pour qu’il fasse des…profits…mais pas les autres…ces tables de la loi sont bien connues…sauf que ce fou ambulant semble avoir contaminé la planète…C’est lui l’intrus, ne cherchez plus …d’autant plus que, pour ces faux profits, qu’importe de Détruire la vie, le futur, la nature et les…humains…c’est bien lui le terrifiant Casseur, ne cherchez plus]], et être ainsi à même de comprendre et de prédire le comportement des autres. [[ fait : les gilets jaunes ont raison et le chemin du pouvoir n’est plus que l’obscurantisme et la régression collective…]]. Durant leurs travaux, Kidd et Castano ont évalué cette aptitude grâce au test d’interprétation du regard qui consiste à sélectionner le mot qui correspond à la pensée, à l’intention ou à l’émotion exprimée par le regard d’un individu. La littérature modifie les connexions cérébrales [[ et les ouvre ouvertement sur les autres…Ce pourquoi l’argent fou la …censure autant ? Actuellement tous les génies ( le même nombre en gros qu’en… 1975 !) sont empêchés de diffuser…naturellement !]].

Diverses études ont exploré les bases cérébrales de la théorie de l’esprit. Ces travaux consistaient à faire lire aux participantes et participants des textes visant à mobiliser cette capacité, tout en observant l’activité de leur cerveau par neuroimagerie fonctionnelle. Les scientifiques ont ainsi mis en évidence l’implication de deux régions cérébrales spécifiques: le cortex préfrontal médian et la jonction temporo-pariétale. Toutes deux jouent notamment un rôle dans la compréhension des intentions d’autrui. La littérature pour renforcer le lien social [[ ce que ne veut pas l’oligarchie qui ne survit qu’en créant de faux problèmes, tout en empêchant avec une brutalité anormale des solutions (les gilets jeunes sont les solutions aux détraquements des faux dirigeants et donc sont très illégalement…réprimés)…oui en fabriquant des conflits, faux conflits et des divisions erronées…là, tant d’évènements majeurs dont…la diction du dictionnaire nous prouve à quel point les mots guérissent, réparent, transcendent, surpassent, englobent, résolvent et créent un monde…sans oligarchie ! etc.]]

La lecture semble donc capable d’améliorer certaines capacités cognitives importantes pour la vie en société. [[ les pervers détraqués de l’oligarchie ne veulent pas d’une vie…en société…séparatistes fanatiques, sécessionnistes du sociable, ils ne veulent que détruire les populations…tous les jours, nous les voyons commettre leurs inexcusables délits dont des …privatisations plus…qu’irrationnelles !]]. Ces résultats très intéressants restent toutefois encore parcellaires, et appellent des recherches complémentaires. La littérature a déjà été intégrée dans des programmes destinés à renforcer le lien social, comme ceux visant à promouvoir l’empathie chez les médecins, ou à développer les aptitudes des détenus. »…Et il n’y a pire détenu qu’un bourgeois enfermé dans l’enfer de son idéologie d’inhumanité et de son enfer de monstre égoïste ! La diction du dictionnaire est là (aussi) pour guérir ce…complet inadapté !

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Immersion-sonore-en-3d-de-l'électro-à-la-thérapie-psychédélique

« Il s'agit d’associer ce que lui évoquent les sonorités à leur mode de déplacement : « Si un son me fait penser au bruit d’un moustique, je vais le faire bouger de manière à lui attribuer la sensation agaçante qui lui correspond » [[ cinétique allié à cinématique ]]… de la « thérapie psychédélique [[ très proche du pléonasme sauf si nous entendons psyché comme âme…]] ». Dans un espace clos où se marient harmonieusement sons et lumières, les visiteurs suivent des sessions individuelles pour se relaxer, mais aussi, explique Julie Blore-Bizot de chez L-Acoustics, pour alimenter un projet de recherche mené par Wavepaths sur le bien-être [[ par l’être bien !]]. « On travaille sur la sensibilité à l’écoute [[ donc l’écoute de la sensiblité vraie…la rencontre de son moi véridique sans les masques sociaux et qui revient à la logique sans fioriture des vrais …besoins du corps que la société dirigée par des fous furieux n’arrête pas de massacrer, de piétiner d’endommager !]] : il s’agit de remettre en ordre les sens, de les réaligner, pour apaiser un sentiment de désordre [[ qui n’est pas qu’un sentiment, vu comment les faux sommets foutent leurs désordres partout et nous abondent de leurs inhumaines conneries !]] ».

La musique électronique s’y prête particulièrement bien. « Elle n’est pas rattachée à des objets cognitifs précis [[ nous n’avons pas à gâcher du temps et de l’énergie pour faire semblant…de savoir !]] », justifie-t-elle – contrairement aux airs classiques, qui nous font inévitablement penser à des instruments. Elle autorise donc une plus grande liberté d’imagination. Surtout, dans l’expérience proposée par Wavepaths, la musique s’adapte aux états émotionnels et physiologiques des visiteurs/patients. Leurs données biométriques (température du corps, pouls, moiteur des mains) sont « transformées en données mesurables, qui modifient le positionnement des objets sonores », détaille Frédéric Blanc-Garin, ingénieur du son de L-Acoustics. Des usages à 360 degrés [[ dont nous avons déjà plusieurs parlé dans ce blog…et qui proviennent de notre très fort instinct envers nos racines…préhistoriques, du chamanisme véridique sans aucun spectacle mais uniquement vécu intérieurement, et de tout ce que recouvraient les religions malsainement, alors que l’humain possède des dons prodigieux (mais si peu utilisés) qui ne sont pas …surnaturels mais…qui nous soulèvent tellement ils sont beaux…naturellement ! « Il y en a même qui l’ont vu voler » oui s’envoler, s’arracher des faux savoirs, appartient à l’être en train de s’agrandir à la taille de l’univers entier… ]].

À l’ère du son compressé basse définition et du streaming [[ toujours des mots sans sucs au lieu de bouffer et de boire la vie intense…]], la restitution hyperréaliste et immersive de la musique apparaît comme une mini-révolution. En réalité, le son spatialisé ne date pas d’hier [[ peu de le dire…]]: popularisé dans les années 1970 par la saga Star Wars, le son multicanal ou surround (qui permet une spatialisation horizontale du son, et non verticale comme le son binaural), est devenu monnaie courante au cinéma. « L’image, le son, la vidéo : aujourd’hui, tout converge vers l’immersif »

…sauf que le grand immersif nous l’avons déjà…c’est la gratuité radicale…

….donc le trésor inentamé (juste Sali par les souillons du fric fou)…

…………….oui le trésor inépuisable de notre vie intérieure où il suffit…

De rester (ou de devenir) anti-conformistes…

………………………………………………….. pour s’ébattre en toutes… libertés !

……………………….…..……………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

      ………Que la pensée unitaire nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu