Le monde a changé de face durant l’été

Oui,  fallait pas prendre de vacances du tout. Lorsque l’on se prétend ambitieux cela ne se fait pas…les tapis, tapis là, sont tirés sous les pieds de la rentrée qui ne rentre plus dans aucuns…clous ! C’est que l’ensemble des non-dits n’ont pas arrêté de… dire à qui restaient là pour…écouter. Et ? Clair que ce gouvernement (mais tant d’autres) sont foutus…Les règnes des bourgeois inhumains et complètement incultes (ne sachant surtout pas vivre – n’ayant aucun sens de la collectivité donc de l’intérêt général) s’est clos. Et autre chose d’infiniment plus attrayant prend sa place. Vous voulez savoir quoi ? Bien une esquisse d’abord ! Le gros du gros ne pourra pas être formulé en une seule fois…

Pour-la-création-d'un-club-des-amis-du-groupe-des-BRICS-!

 « Enfin, une coopération plus approfondie au sein du club élargi des amis des Brics pourrait accroître leur poids face aux organisations internationales telles que le Fonds monétaire international ou l’Organisation mondiale du commerce. Actuellement, la part consolidée des membres des Brics dans le vote au FMI est inférieure à 15 % [[ ce qui ne représente pas du tout son importance en tant que grandes puissances économiques face au G7 en complète perte de vitesse qui en arrive à… admirer ses propres discours vides…]]. Mais si le quintet était rejoint par de nouveaux participants, ce groupe pourrait avoir ensemble suffisamment de voix pour influencer les prises de décisions fondamentales par le FMI [[ en effet, l’impact serait d’importance.]].

Tous ces mécanismes d’intégration potentiels poursuivent principalement des fins purement économiques. Cependant, selon Viatcheslav Kholodkov, expert de l’Institut russe des études stratégiques, il ne faut pas non plus oublier l’aspect géopolitique [[la Chine est devenue maîtresse complète du Pacifique, gère les si stratégiques terres rares, et ne semble pas ne se contenter que de l’économie. La Russie est comme garante de la paix dans le monde. L’Inde assume un renouveau du numérique, ce qui est géostratégique. Et le trio accélère la si saine dédollarisation du monde…Le fait que les médias occidentaux, et surtout français, se montrent incapables d’en parler à la hauteur des transformations n’aident certainement pas les européens à conserver une vision réaliste du monde. Les USA sont vraiment coincés à cause de leurs atavismes si lourds d’arrogances mal placées et de très mauvais choix politiques. Ils ne s’en remettront plus. Leurs discours ne sont plus qu’illusoires !]].

«En tant que membre des BRICS la Russie doit aider la Chine moralement et politiquement pour cultiver de nouvelles graines du monde multipolaire. Sinon, nous seront confrontés à la résistance de l’ancien monde unipolaire, notamment [[ sic ]] des USA», estime l’expert [[ qui le semble si peu vu le ridicule la palicien de sa non-démonstration : le monde unipolaire ne pouvant être que les seuls USA. Qui n’a pas pris conscience de l’entente profonde de ces 2 pays qui peuvent parvenir, avec patience, à faire basculer le monde !]]. D’ailleurs, la résistance contre la mondialisation [[ vocable frauduleux pour…l’américanisation du monde, autre mot frauduleux pour… étasunification du monde, le désastreux si infantile modèle consumériste irresponsable que nous subissons depuis trop longtemps !]] commerciale est déjà active, et elle se traduit par le déclenchement de guerres de taxes par l’administration américaine, ainsi que par l’opposition de Washington à la plupart des initiatives avancées par Pékin [[ avec le taux d’échecs flagrant qui nous est déguisé en flamboyances d’un pays qui serait plutôt en train de rentrer dans sa …tiersmondialisation !]], comme la création d’une Banque asiatique d’investissement dans les infrastructures ou le mégaprojet chinois «La Ceinture et la Route». »…ce sont ces initiatives qui polarisent le monde et plus les braillements étasuniens…

« Au cours d’une interview exclusive de plus de deux heures réalisée dans une salle de prison de Curitiba, dans le sud du Brésil, l’ancien Président brésilien Luis Inacio Lula da Silva est réapparu pour la première fois, après plus de 500 jours en prison, et a envoyé un message clair au monde entier [[ qui face aux délires incohérents de Bolsonaro semble tellement plus à la hauteur de la situation mondiale !]]. Au milieu de la frénésie médiatique 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 des extraits sonores et des «fausses nouvelles», il est pratiquement impossible de trouver un chef d’État actuel ou ancien dans une conversation avec des journalistes, prêts à parler intelligemment, et à commenter tous les développements politiques actuels et à raconter des histoires sur les coulisses du pouvoir. Et tout ça en prison [[ en effet – les occidentaux et Bolsonaro déconsidèrent à la vitesse grand V le néolibéralisme (si conflictuel et infantil) tel une grande incompétence à diriger sainement les pays, tels ces feux suicidaires dans les forêts du futur et comme ne perdant plus que son temps (-et le nôtre) dans la si misérable com’. Dont ils n’ont toujours pas pris conscience à quel point cette com’ dérisoire les ridiculise et les affaiblit sur le fond. L’exemple du macronisme, soufflé monté frauduleusement (car uniquement pour tromper !) et tout aussi vite descendu, dégonflé, prouve que la com’ peut nuire énormément à une politique qui se déguise en ce qu’elle n’est évidemment pas. Le macronisme  a trop de tendances fascisantes pour se faire passer en une défense de la démocratie égalitaire…Rien de sympathique ne semble venir de lui : sa com’ le dénude chaque jour pire…]].

La première partie de cette mini-série portait sur l’Amazonie. Nous nous concentrerons ici sur les relations du Brésil avec le BRICS et Pékin. Le BRICS est le regroupement des principales économies émergentes – Brésil, Russie, Inde et Chine [[ et Afrique du Sud pour le S]] – qui se sont formées en 2006 et ont ensuite inclus l’Afrique du Sud dans leurs réunions annuelles à partir de 2010. Ma première question à Lula concernait le BRICS et l’échiquier géopolitique actuel, avec les États-Unis face à un partenariat stratégique [[ et historique ]] Russie-Chine. En tant que président, de 2003 à 2010, Lula a joué un rôle déterminant dans le formatage et l’expansion de l’influence du BRICS [[ c’est d’une grande évidence – contrairement à l’actuel Président du Brésil, Jair Bolsonaro, qui semble convaincu que la Chine est une menace [[ mais comme Bolsonaro présente toutes les apparences d’une incohérence de pensée telle qu’il ne faut plus que se méfier de ses décisions plutôt que de tentrer de trouver des vertus ou de l’intelligence cachée dans ces cahots insensés ! Lula c’est du bon Brésil pas le fascisme néolibéral !]]. Lula a souligné que le Brésil aurait dû se rapprocher de la Chine dans un processus miroir de ce qui s’est passé entre la Russie et la Chine :

« Quand il y a eu un sommet du BRICS ici dans l’État de Ceará au Brésil, j’ai dit à la camarade Dilma [Rousseff, l’ancienne Présidente] que nous devrions organiser un pacte comme le pacte Russie-Chine. Un énorme pacte donnant aux Chinois une partie de ce qu’ils voulaient, à savoir la capacité du Brésil à produire de la nourriture et de l’énergie ainsi que la capacité d’avoir accès au savoir technologique. Le Brésil avait besoin de beaucoup d’infrastructures. Nous avions besoin d’un train à grande vitesse, de beaucoup de choses. Mais à la fin, cela ne s’est pas produit »…[[ la minable politique politicienne et les dommages d’arriérations que causent les conflits d’intérêts de ceux qui ne comprennent rien à l’avenir du monde ont tendances à enliser tout ce qui va dans des sens positifs. Nul.le ne pouvant oser que trop d’avidités des capitalistes soient saines pour l’avenir commun mondial !]] ». Lula a défini ses principales priorités en soutenant la création du BRICS : l’autonomie économique et l’unification d’un groupe de nations capables d’aider ce que le consensus de Washington appelle les PMA – les pays les moins avancés. Il a souligné :

« Le BRICS n’a pas été créé pour être un instrument de défense, mais pour être un instrument d’attaque [[ très vrai et il l’a toujours démontré. Aujourd’hui, même les médias les plus menteurs ont du mal à masquer cette évidence !]]. Nous pourrions donc créer notre propre monnaie pour devenir indépendants du dollar américain dans nos relations commerciales ; créer une banque de développement, ce que nous avons fait – mais c’est encore trop timide – pour créer quelque chose de fort capable d’aider au développement des régions les plus pauvres du monde [[ il peut être dit que l’Inde, la Russie et surtout la Chine installent fermement un monde sans Dollar et une Terre sans la démence agressive des USA sans cesse en guerres (et toujours sans motif valable autre que son inexcusable avidité) depuis ses quasi 225 ans d’existence !]] » . Lula a fait explicitement référence aux craintes des États-Unis au sujet d’une nouvelle monnaie [[ à chaque avancée affermie de la dédollarisation nous avons joint les preuves ici – le phénomène est donc bien plus ancré que les dénieurs du réel occidentaux (toujours plus rabougris dans leurs préjugés si inefficaces !) peuvent s’en rendre compte !]] : « C’était la logique derrière le BRICS, faire quelque chose de différent et ne copier personne. Les États-Unis ont eu très peur lorsque j’ai discuté d’une nouvelle monnaie et Obama m’a appelé pour me dire : « Essayez-vous de créer une nouvelle monnaie, un nouvel euro ? J’ai répondu : « Non, j’essaie juste de me débarrasser du dollar américain. J’essaie juste de ne pas être dépendant » [[anecdotes qui permettent de comprendre toutes les malversations accusatoires qui ont conduit illégalement Lula en prison ! Lula paraissant alors comme l’élément nettement le plus offensif des BRICS]] ». On peut imaginer comment cela s’est passé à Washington.

Obama a peut-être essayé d’avertir Lula que « l’État Profond » américain ne permettrait jamais au BRICS d’investir dans une devise ou un panier de devises pour contourner le dollar américain [[ argument tellement infantile que l’histoire rira de ces absurdes rodomontades !]]. Plus tard, Vladimir Poutine et Erdogan ont averti la Présidente Dilma – avant sa destitution – que le Brésil serait pris pour cible sans merci [[ vérifié donc…]]. En fin de compte, la direction du Parti Travailliste a été prise au dépourvu par une conjonction de techniques sophistiquées de guerre hybride. L’une des plus grandes économies du monde a été prise en main [[ très mal…]] par des néolibéraux purs et durs, pratiquement sans aucune lutte. Lula l’a confirmé dans l’interview en disant : « On devrait regarder où on s’est trompé ». Lula a également été personnellement déçu. Il attendait beaucoup plus du BRICS [[ à tort déçu, ses actions auront été décisives et le développement actuel des Brics est vraiment devenu…irrésistible. Il a déjà signé la fin de la nocivité mondiale des USA (enfin de ses si nocifs dirigeants pas de sa population, c’est évident !]]. « J’imaginais un BRICS plus agressif, plus proactif et plus créatif. Je pense que nous avons fait quelques progrès, mais nous avons progressé lentement. Le BRICS devrait être beaucoup plus fort maintenant [[ on peut dire que, en 10 ans, avec tous les obstacles sournois et déloyaux semés par l’occident et par les campagnes diffamatoires de ses médias déchus, la percée a été…rapide !]] » .

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Il est facile d’imaginer ce qui s’est passé à Pékin. Cela explique en grande partie l’immense respect dont jouit Lula parmi les dirigeants chinois [[ c’est ce qui compte le plus, Bolsonaro n’a aucun avenir politique mondial !]]. Et c’est aussi pertinent pour le débat mondial actuel sur ce qui se passe en Amazonie. Laissez Lula raconter l’histoire à sa façon, inimitable, avec une teinte de Garcia Marquez : « Une chose dont les Chinois doivent se souvenir, c’est que beaucoup de gens étaient en colère au Brésil lorsque j’ai reconnu la Chine comme une économie de marché [[ on ne change pas les dommages des propagandes massives en un jour !]]. Beaucoup de mes amis étaient contre. Mais j’ai répondu : « Non, je veux que les Chinois soient à la table des négociations, pas dehors. Y a-t-il une discorde ? Mettez-les à l’intérieur de l’OMC, légalisons tout [[ d’où le rôle crucial de Lula à ce moment et comme les USA (faux garants du « monde libre », soit le monde emprisonné et eux comme matons !) sont les pires des mauvais perdants connus à ce jour - leurs injustices qui rehaussent d’autant la lucidité de Lula dans une époque contraire !]]. Je sais que Hu Jintao était très content. Une autre chose que nous avons faite avec la Chine a été la COP-15 [Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques] à Copenhague en 2009. Permettez-moi de vous dire une chose : je suis arrivé à la COP-15 et il y avait une liste de personnes qui demandaient à s’entretenir avec moi – Angela Merkel, Sarkozy, Gordon Brown ; Obama avait déjà appelé deux fois – et je ne savais pas pourquoi j’étais important. Que voulaient-ils tous ? Ils voulaient tous [[ dont surtout Lula ]] que nous convenions, à la COP-15, que la Chine était le principal pollueur sur terre [[ manipulations grossières, vu le recul du temps …]]. Sarkozy est venu me parler avec une chaîne de montage cinématographique, il y avait 30 caméras, un vrai spectacle [[ que ça de l’esbroufe spectaculaire et rien derrière !]] : Puis j’ai eu une série de réunions et je leur ai dit à tous : « Écoutez, je sais que la Chine est polluante. Mais qui va payer pour la pollution historique que vous avez perpétrée avant que la Chine ne pollue [[ tant de cinglante lucidité ne passe pas chez les corrompus rompus !]] ? Où est la commission d’histoire pour analyser l’industrialisation anglaise ?

Puis quelque chose de fantastique s’est produit. Il n’y avait pas d’accord en vue, je voulais que Sarkozy parle à Ahmadinejad – plus tard je vous dirai cette chose sur l’Iran [il l’a fait, plus tard dans l’interview]. Ahmadinejad n’est pas allé à notre dîner, il n’y a donc pas eu de réunion. Mais alors, nous discutions, discutions, et j’ai dit à Celso [Amorim, le Ministre brésilien des Affaires Étrangères], « Écoute, Celso, il y a un problème, cette réunion va se terminer sans accord, et ils vont blâmer le Brésil, la Chine, l’Inde, la Russie. Nous devons trouver une solution. Puis j’ai proposé que Celso appelle les Chinois et organise une réunion parallèle. C’était entre le Brésil, la Chine, l’Inde et peut-être l’Afrique du Sud. La Russie, je crois, n’était pas là. Et dans cette réunion, imaginez notre surprise quand Hillary Clinton l’a appris et a essayé d’entrer dans la réunion [[ c’est là que la prise de conscience que les premiers frémissements du basculement du monde a eu mlieu ce jour prend de l’ampleur ]]. Les Chinois ne l’ont pas laissée faire. Tous ces Chinois, si nerveux derrière la porte, et puis est arrivé Obama. Obama [[ ce sont donc les étasuniens, les demandeurs, les quémandeurs,  les mendiants d’une présence qui commence déjà à…s’amenuiser. Cette posture est devenue la « réalité profonde » comme il y a (soi-disant) un état profond (pour déguiser des magouilles de surface tout en …égarant les …regards !]] voulait entrer et les Chinois ne l’ont pas laissé entrer. La Chine était représentée par Jiabao [Wen Jiabao, le Premier Ministre]

Puis on a laissé entrer Obama, Obama a dit : « Je vais m’asseoir à côté de mon ami [[ lorsqu’un dirigeant étasunien dit « ami » faut surtout se méfier…pas de pires arnaqueurs que ces…perdants :!]] Lula pour ne pas être attaqué ici [[ la naïveté de cette trouille laisse rêveurs !]]. Il s’est donc assis à mes côtés et a commencé à parler de l’accord, et nous avons dit qu’il n’y avait pas d’accord. Et puis il y avait ce Chinois, un négociateur, il était tellement en colère contre Obama, il s’est levé, il parlait en mandarin, personne ne comprenait rien, nous avons demandé une traduction, Jiabao ne l’a pas permis, mais l’impression, par son geste, était que les Chinois lançaient toutes sortes de noms contre Obama, il a parlé de façon agressive, en montrant son doigt et Obama a dit : «Il est en colère» [[ quel don d’observation ! ]]. L’ambassadrice du Brésil, qui comprenait un peu le mandarin a dit qu’il avait utilisé des mots assez lourds. Le fait concret est qu’au cours de cette réunion, nous avons acquis beaucoup de crédibilité [[ et bénéfiquement les étasuniens en ont perdu beaucoup !]], parce que nous avons refusé de blâmer les Chinois. Je me souviens d’une séance plénière où Sarkozy, Obama et moi-même devions prendre la parole. J’étais le dernier orateur. Quand je suis arrivé en plénière, il n’y avait rien, rien d’écrit sur un bout de papier. J’ai dit à l’un de mes assistants, s’il vous plaît, sortez, préparez quelques points de discussion pour moi, et quand il a quitté la salle, ils m’ont appelé pour parler ; ils avaient inversé l’horaire [[ toujours les…déloyautés ! ]]. J’étais très nerveux. Mais ce jour-là, j’ai fait un bon discours. Il a reçu une standing ovation. Je ne sais pas ce que j’ai dit comme bêtises (rires). Puis Obama a commencé à parler. Il n’avait rien à dire. Il y a donc eu cette rumeur grandissante en plénière : il a fini par faire un discours que personne n’a remarqué. Et puis avec Sarkozy, la même chose [[ lorsque l’on ment sans arrêts, il suffit que la parole tranquille de la vérité s’installe pour le que vide des mensonges apparaisse enfin…]].

Ce dont j’avais parlé, c’est du rôle du Brésil dans la question environnementale. Je vais demander à quelqu’un du Parti Travailliste de trouver ce discours pour vous. La nouvelle tendance au Brésil est d’essayer de comparer les politiques entre moi et Bolsonaro [[ facile et très en la défaveur de la haine anti-écologique du néolibéralisme, là, très fascisante chez Bolsonaro !]]. Vous ne pouvez pas accepter sa position selon laquelle les ONG mettent le feu à l’Amazonie. Ceux qui brûlent l’Amazonie sont ses électeurs, des hommes d’affaires, des gens de très mauvais sang, des gens qui veulent tuer les tribus indigènes, des gens qui veulent tuer les pauvres [[ la clarté ne peut qu’apparaître à un moment ]] »...Soit les ennemis de plus de 80% de l’Humanité qui – comme les Chinois en 2009 – sont vraiment toujours plus en Colère contre eux…

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Ce qui s’est passé est que : en 2009, c’était surtout Lula qui se dressait en fervent attaquant des BRICS, Mais que son comportement exemplaire face aux occidentaux, et surtout les étasuniens (prix Nobel de la Paix, le grand n’importe quoi !) qui firent si piteuse figure, a eu un effet d’entraînement incroyable sur les Chinois. On peut dire que, à sa façon, ces jours-là c’est Lula qui a changé la face du monde (la corruption n’a pu passer !!)…

…seulement il fallait un bout de temps pour s’en rendre…

………………………………………..vraiment compte !

..…..……..……………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

         Que l’immense compréhension collective nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

       tous ces textes quotidiens sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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