Les mots du pouvoir prouvent bien le pouvoir des mots.

Publié le par imagiter.over-blog.com

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D'où trop graves manquements au respect des autres de qui piétine "ce ne sont que des mots". Infos ? C'est le signe qu'il ne peut convaincre par des faits et que donc il use d'un écran de fumée pour éviter qu'il/ elle soit vu tel qu'elle/il est. Cette rigidité ne peut que provoquer les "bévues linguistiques" si ouvrantes. Un seul exemple : oser le "meilleur" pour un premier sportif ou autre devient trop explicité. Le meilleur n'est JAMAIS celui qui "gagne" en écrasant les autres. Jamais de jamais. Mais bien celui qui REFUSE de gagner puisque c'est le plus empli de bonté. Le comble de la bêtise se laisse entrevoir comme d'user de grilles de sens inappropriées, vu qu'elles précipitent l'avalanche d'infos sur eux. Et nous venons à peine d'entrevoir les prémisses : imaginez le filon. La récollection gigantesque ne peut être faite que par tous…Le futur SOCIAL tourne, déjà, à l'immense…

 

Les mots du pouvoir prouvent bien le pouvoir des mots ? A y regarder de très près, c’est le seul domaine où le capitalisme dépense sans compter, sans jamais regarder, calculer, chipoter, etc…A flux tendus- il fonce et déverse sa vénéneuse propagande irrationnelle et si irréaliste, sans cesse, sur nous – ses otages captifs (croit-il ce système sans grandeur et sans honneur !)… ce n’est donc pas en dévalorisant les mots que nous nous en sortirons – mais bien en reprenant tous les mots de leurs mains indignes…(merci, pour nous c’est déjà fiat !!!)…oui oui, ce système est vraiment à la merci des mots….quel mot va l’abolir ?

 

Et toutes les descriptions objectives d’offrir ?

Tous les dirigeants de toutes activités, mais, plus particulièrement, les financiers, les politiques et les médiatiques, contiennent, désormais, pour nous, une réserve énorme d'occasions de rires, en tête de gondole. Des êtres devenus aussi dérisoires, alors que la réalité tentait de les prévenir – c'est vraiment impayable. Tout s'inverse pour eux : leurs "cerveaux privatisés" les montrent traîtres à la chose publique (la République, res-publica), semant partout les délires du privé et de sa "dérépublique" en dérépublication. Des exemples vous en voulez ? Transformer l'administration en entreprise avec obligation de résultats – pas de plus grande pitrerie ! Les services publics n'ont pour "résultat" que de bien servir les publics et de bien gérer l'argent public. Or qu'avons-nous observé ? Nous les avons pris les mains dans le sac, les divers gouvernements semeurs de chaos absolus ont, depuis 35 ans, transféré (sic) 15 % des avoirs publics (pactole plus qu'énorme!) dans le privé. En pleine illégalité. Des politiques comme "représentants de commerce" du Privé, quelle bouffonnerie ! Plus de possible dignité.

 

Les financiers pris dans "le choc en retour", le retour hilare du refoulé de leurs délires (dont le plus comique reste (l'introuvable) profit et le pire – considéré vraiment comme crime contre l'Humanité – le « pas de solvabilité, pas de besoins »). Vous en avez pour des décennies à rire de bon cœur.

 

Quant aux "arriérés médiatiques" – les plus en retard sur le collectif alors qu'ils se pérorent comme "très tendance", ils se sont, barbarement, déjà, punis eux-mêmes (tout le monde connaît leurs visages) : ça risque de devenir dur "d'être traités comme ils ont traité les autres"…

 

Le pouvoir des mots aura bien annulé les mots du pouvoir !!!

 

(à suivre)

 

trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet freethewords.org,  onglet 4  " Où trouver encore du sérieux ?, onglet 2  " Le roman de l'économie", onglet 3 "L'intelligence indestructible du capitalisme ?", onglet 2 "Légalité de l'égalité "  ou onglet 3  "Why we left the left ?" et " Rien de plus solide que le solidaire".

 

Publié dans corps des langages

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