Des aliments présentés pour les vendre pas pour les manger ?
L’aspect des aliments c’est donc juste pour vendre pas réellement pour…manger ? Pourtant, nous ne mangeons pas avec les yeux. Aspect extérieur et qualité intérieure : les deux vont rarement ensembles ? Toute la documentation réunie ici ne ressasse que ceci : un aliment = un prix. Et il n’est jamais parlé de le manger juste de le payer…Et donc ? Pour vendre, il va suffire de déguiser l’apparence de la qualité pas de rechercher, honnêtement, la réalité de la qualité. Ces dérives (précalibrages, aspects trop dopés à la chimie, diktats irrationnels envers les producteurs) sont en train d’atteindre une détérioration collective enfin…devenu très visible…Oui, il faut une grande perversion de la conscience pour oser imposer à tout le monde une APPARENCE extérieure de nourriture qui nuit très fortement à sa qualité interne. Du temps où « toute » l’agriculture était bio (années 1960 et encore largement 1970), seuls le goût, la qualité du fruit et du légume, sa nutritivité, etc. comptaient. La frivolité de l’aspect tellement moins. Ou pas du tout. La véritable sagesse quoi. Désormais, nous nageons dans la folie intégrale…C’est que le « dogme dictatorial » (qui soi-disant ne doit pas changer tellement il représenterait le sommet de la sagesse !) se paie au prix très fort : perte quasi complète des GOÛTS, des touchers en bouche, dizaines de traitements chimiques afin de parvenir à ces semblants …factices (la nature n’a absolument pas prévu ces détraquements par l’image…tels de tromper sur les aliments par leur mine falsifiée !). Et alors ? La goutte qui fait déborder le vase est arrivée : stop, oui stop à toutes ces conneries au sommet ! Qui n’étalent qu’une chose : ce sont les esprits les plus enfantins qui prétendent diriger le monde. Et aucun, mais aucun, de leurs monologues (présentés comme des arguments) ne tient la route d’un seul vrai débat de fond. Ces prétendus dirigeants ne peuvent…répondre de rien ! La société doit, en conséquence, s’arrêter net et nous devons parler de tout partout. Et tout le temps. Jusqu’à ce que la Raison soit revenue à la tête de la société. Et pas avant !
Nous-mangeons-de-la-nature ...(retour au réel, nous ne mangeons pas des produits sous emballages mais de la nature en direct. Souiller la nature c'est souiller nos aliments)
« Il serait grand temps de sortir du monde de la [[fausse ]] perfection ! Les tomates sans défaut n’ont aucun goût, les pommes parfaites ont des dizaines de traitements, et la liste est longue. L’aspect n’a aucune incidence sur le goût. C’est un dogme [[ plus qu’irrationnel : oui complètement…fou !]] qui ne touche pas que les légumes, puisque les individus y sont soumis aussi, par la mode « haricot vert » des mannequins. Ne soyez pas moutons de Panurge, refusez le diktat du joli mais insipide ou chimiquement saturé, pour que la [[prétendue ]] perfection soit au rendez-vous.
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Elles sont jaunes, elles sont un peu moches… mais elles sont aussi bonnes [[pas « aussi bonnes », non, mais…bien meilleures !]] que les top modèles [[les déstop ?]] qui ont réussi le casting de l’année. On parle bien de courgettes et pas de mannequins. Et pourtant, comme des jeunes filles qui n’auraient pas les bonnes mensurations, les légumes bio de Caroline et Cyril Rous ont été recalées.
De quoi énerver ce couple de maraîchers bio du Tarn-et-Garonne qui a posté dimanche 9 Juillet un coup de gueule sur sa page Facebook expliquant que les fournisseurs n’avaient pas retenu leurs courgettes « parce que les consommateurs veulent [[où sont les PREUVES de ces assertions ?]] des courgettes toutes jaunes, pas une petite tache de couleur verte, pas le moindre défaut. » [[sauf que de parler ainsi est un très grave…défaut, un défaut qui conduit à l’antisocialité en actes (on n’écoute personne et on matraque, violemment, tout le monde avec des vieilleries du passé jamais…démontrées !). C’est bien l’ère du c’est comme ça stalinien.]].
Leurs-courgettes-bio-tâchées-sont-recalées-chez-le-fournisseur-:-des-maraîchers-en-colère !
Résultats ? Des messages de soutien de toute la France : Un post devenu viral d’Au Bio Temps, partagé par de nombreux consommateurs révoltés contre le diktat du légume parfait. Des soutiens de toute la France, certains se proposant d’acheter depuis Paris ces courgettes en dehors des standards.
« Nous sommes installés depuis quatre ans et c’est la première fois que cela nous arrive. Sur la photo, il y a une tonne de courgettes mais il nous en reste cinq tonnes, refusées par les plateformes de fournisseurs des magasins bio. Ce qui nous énerve c’est que ça n’a rien à voir avec leurs qualités gustatives. Or ces légumes on les ramasse, on les trie et on perd de l’argent », relève Cyril Rous. Pour éviter qu’elles soient jetées, le couple en a donné à la Croix Rouge. Des personnes sont aussi venues en acheter directement à l’exploitation et des restaurateurs toulousains vont se réunir pour en prendre plusieurs kilos. « Ils sont indignés, car une fois transformées, elles ont le même goût », plaide le maraîcher.
On a beau être dans le secteur de l’agriculture bio, censé porter des valeurs, pour Cyril Rous certains grossistes « sont des gens largués vis-à-vis du bio ». Il espère que leur coup de sang ne restera pas au stade du simple buzz et que les consommateurs prendront conscience que ce n’est pas l’apparence qui compte. [[ en politique c’est encore plus vrai ;: qui « oblige » ses concitoyens à subir les apparences d’un personnage leur nuit très fortement. Et pas qu’une fois ! Cet olibrius va, ensuite, se plaindre, sans cesse, de s’être autant trompé sur son vote. Cette rengaine se reproduit à chaque fois ; et lorsque les gouvernements règnent, l’écrasante majorité de la vraie population est contre eux. L’apparence est donc l’ennemie la plus importante de la démocratie véridique ! Et les conformistes les pires des dealers vraiment immoraux (qui refourguent cette came) qui devraient, au moins, payer pour leurs délits si antirépublicains… ]].
En 2013, dans le cadre du Pacte national de lutte contre le gaspillage alimentaire, des pubs mettant en scène des légumes moches avaient été réalisées par le ministère de l’agriculture. Depuis quelques années, les « disco soupes », qui donnent une seconde chance à ces légumes mal aimés, se sont multipliés. Mais il reste encore du job pour faire évoluer les mentalités. »… Surtout lorsque pas grand monde s’y met. Concrètement. Et sur le terrain. Toujours la même rengaine de la contestation : parfaits sur la photo, mais…déplorables dans la vraie vie. Tels serait une majorité des contestataires sans…suivi de leurs prétentions trop blessantes à la longue ? Bon, on s’y met tous à transformer en vrai les mentalités ?
Présentation-officielle-du-pacte-national-de-lutte-contre-le-gaspillage-alimentaire
Utiliser ce pacte afin de contraindre les plateformes alimentaires (les as du…gaspillage alimentaire !) à justifier leurs rejets arbitraires par des notions de goûts et de qualités alimentaires. Pas par le seuls aspect trop extérieur…puisque nous ne mangeons pas avec les yeux.
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http://www.imagiter.fr/2015/11/le-goût-de-la-vie-préfère-quelle-alimentation.html
Et nous, nous chargeons de déplanter le paradigme malade si socialement dangereux ! Et d’en semer un tout autre très sain à la place…
Tout à l’identique : la Nature n’est plus utilisée que comme des tailles à calibrer, des normes toujours plus monomaniaques (afin d’éviter de l’emploi humain). Dans les pommes, la merveille des goûts se voit entièrement sacrifiée JUSTE pour un calibrage. La « bonne « taille ; le bon aspect mais plus aucun attrait sensuel. L’avis des consommateurs sans cesse oui jeté à la poubelle. « Il y a une pression incroyable des industriels pour tuer toutes les alternatives. L’objectif, c’est qu’il n’y ait pas d’autres systèmes qui fonctionnent. Si vous reconnaissez de la qualité ailleurs que dans le système industriel, vous faites l’aveu que ce système productiviste c’est tout sauf de la qualité » (p . 229 – Isabelle Saporta - Le livre noir de l’agriculture, 2011). Ainsi, le but affiché par la société vers du « progrès » s’inverse en ce qu’il n’y ait …pas de progrès .Aucun choix autre que ceux imposés par les lubies des grandes surfaces, si bardées de préJugés, qui juge sans jamais examiner à l’avance.
Oui, des mensurations de rêve ont contraint les producteurs à s’endetter jusqu’à la démence « d’onéreuses machines, capables de calculer la coloration du fruit ou du légume, de précalibrer les pêches ou les oranges » (…) afin de… « faire le tri entre les différentes tailles de fruits et d’en fixer les prix. Le système de précalibrage est décidémment bien pratique. A chaque calibre son prix » (p 185 – ibidem.). Le bébé attardé grande distribution, bourrée de tics et de compulsions insensées, se prouve chaque jour. Tout ce qui n’est pas HOMOGÈNE n’a pas le droit de cité dans la maison de poupée irréaliste de leur vie hors sol, hors réel et hors conséquence assumées de leurs prédations. Leur effarante fainéantise mentale les rend indignes (et nous indigne !) de toute prise de décision collective ! La nourriture est trop sacrée pour la laisser entre les mains d’une telle industrie de la stupidité. La subsistance c’est pour manger pas pour faire des profits immérités !
Cadrer, calibrer, quadriller à la folie va, peut-être, détruire la planète. Puisque ces cerveaux qui imposent A SENS UNIQUE ces caprices fantaisistes refusent, compulsivement, d’être eux- mêmes soumis au « cadrer, calibrer, quadriller ». Ignorant et voulant ignorer toute la réalité. « Aujourd’hui il y a tellement de cadavres dans les élevages que le camion passe toutes les semaines » (p 69 – ibid.). Ou bien, encore, les conséquences monumentales des idioties de « non-conformité » unilatérales (alors que la grande distribution n’est pas « conforme » sur tant de points essentiels !) « Les raisons de non conformités sont multiples et souvent insignifiantes, mais ça représente des volumes énormes [[donc d’illégaux…gaspillages alimentaires !]] » (p. 83 –ibid). Et nombre de yaourts parfaitement mangeables partent à la poubelle…Les conditions d’élevage sont devenues telles « qu’on doive gaver ces bêtes d’enzymes pour qu’elles puissent digérer des céréales qu’elles ne devraient pas manger » (p 116 – ibidem.) ! Au final, les élevages ne gagnent plus, uniquement les vendeurs d’additifs…Partout, de telles indéfendables absurdités. Alors que le circuit de production supporte seul ces aléas, les conséquences des caprices tyranniques des grandes surfaces – elle ne partage absolument pas la valeur ajoutée de toute la filière. Elle met, ainsi, en péril tout le futur. L’antisocialité de l’industrie agroalimentaire est allée bien trop loin !
http://www.imagiter.fr/article-agriculture-intensive-que-de-fausses-rentabilités-75833901.html
« L’agriculture intensive répond aux besoins de l’industrie et se contrefiche de l’environnement comme des éleveurs « (p 228 – Isabelle Saporta - Le livre noir de l’agriculture, 2011). Mais c’est que la tonne de préJugés qui encombrent ces têtes devient dangereux pour le futur de l’Humanité. « Résumons. Les industriels et les grandes surfaces préfèrent sacrifier la pomme de terre primeur, riche e vitamines C, en emplois et peu traitée, pour privilégier la patate de conservation, calibrée, stockée avec des anti-germinatifs ou dans des frigos énergétivores » (p. 161 – ibid). Toujours les pires solutions et les plus coûteuses socialement pour ces cerveaux…visiblement détraqués !
Puisque « les donneurs d’ordre des agriculteurs sont les industriels» -(eux- mêmes tyrannisés par la grande distribution). Comme le très fécond livre d’Isabelle Saporta - Le livre noir de l’agriculture, le dessine sans cesse. Pourquoi prétendre que les consommateurs ont VRAIMENT le choix si tout est si limité à quatre petites variétés standard (tailles et dates) ? Ces insoutenables conneries n’existent que pour un tapis roulant acéphale ? Oui oui autant d’incompétences béates d’elles-mêmes juste pour un non sens des affaires « durables » ? « On a demandé aux agriculteurs de s’adapter à la technique plutôt que la technique s’adapterait à eux », clarifie Isabelle Saporta. Un peu comme si c’était les enfants de l’école maternelle qui imposaient aux universités ce qu’elles doivent étudier et comment.
La saveur est intimement liée à la terre. On s’en fout. Alors que notre texte Agriculture-intensive-que-de-fausses-rentabilités... prouve le gaspillage si scandaleusement stupide de l’agriculture intensive – de nombres de cultures se feront hors sol (les plus fort coûts ET le maximum de nuisances réunies). La folie de cerveaux quadrillés, calibrés et cadrés par des valeurs à but avoué de fuir la réalité de la production comme de vivre, honteusement, sur son dos – sévit en pleine clarté. On crée, avec toutes les violences anti naturelles possibles, des variétés capables de supporter la commercialisation en grandes surfaces. Pas de la nourriture bénéfique aux êtres humains…Ce but de farfelus conduit à des résultats toujours plus désastreux..: L’uniformité des variétés va dans le sens des maladies, des épidémies ravageuses. Et surtout pas celui de la qualité ni de la « durabilité » .
"Allez savoir pourquoi (on y va!) jusqu'à présent on a mis beaucoup plus d'argent dans l'élaboration de produits phytosanitaires que dans la recherche pour faire plus bio" (p. 237 – ibidem.). La preuve flagrante d’un monde vraiment à l’envers. Celui où l’irrationalité veut dicter sa déraison à la Raison.
"Pois, féveroles et lupin sont des protéines écolos par excellence. Elles fixent l'azote de l'air et n'ont pas besoin d'engrais azoté (…) Bref, elles enrichissent les sols sans avoir besoin de les fertiliser et, cerise sur le gâteau, elles ne sont pas très gourmandes en eau. Eurêka, Bruxelles commencerait à verser des subventions…" (p. 121- ibid). Reste à contourner …les techniciens des coopératives. Ce qui inverse le capitalisme en la vision d’une pandémie très nuisible, c'est justement la mono-maniaquerie de l'argent unique. Le profit qui détruit toute raison, toute rationalité, tout sens des mesures comme toute solution…économe. Et donc sensée. Et qui nous est ramenée, sans cesse, avec la gueule pitoyable d'une excuse…pour fous furieux ! Ah bon! A ce point malades…oui oui, mon pov' monsieur, faut les laisser faire !!! Solution : reterritorialiser les aides.
Oui oui "planter des pois avant le mais, ça permet de réduire l'apport azoté de 30 à 40 kilos par hectare. Non seulement le pois n'a pas besoin d'engrais, mais il servira d'engrais pour les cultures qui lui succéderont" (p. 227 – ibid).. Est- ce si difficile à comprendre ? Ne pas faire le léger effort de le faire s'appelle, clairement, un crime contre l'humanité. Quelques gestes simples et les pollutions diminuent très visiblement. Trop inexcusable de ne pas le faire à la seconde !!! Des garanties pour les citoyens ? Oui comment le contrôler ? Simple aussi. Tous les champs de toutes les couleurs représentent l'équivalent de "la nourriture comme médicament c'est de mettre toutes les couleurs dans votre assiette". Et Isabelle Saporta de rappeler : "il n'y a plus de couleurs dans les champs, il n'y a plus de diversité dans les auges, le système s'est très appauvri et l'on est obligé de compenser ces carences à grands coups d'additifs chimiques. Un aliment pour poulet, c'est 4 denrées végétales et 30 additifs" (p. 116 – ibid). Et là où il n'y plus de diversité ils ont le culot de sales gosses de clamer que "nous avons encore le choix". Choix de quoi ? De mettre fin à cette anti-agriculture ! Claire insulte à toutes les traditions.
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Depuis le temps que ceci est énergiquement dit…il faut carrément faire évoluer bien plus vite les mentalités. Et ne plus céder aucun pouce de terrain à tous ceux/celles qui ont à l’évidence tort. Et qui (s’ils/elles avaient le moindre honneur), devraient en rembourser tous les dégâts trop injustes infligés à la société !
il-faut-redonner-de-la-valeur-à-l'alimentation:- mais -sans-rien-en-échange ?
« Les transformations du système alimentaire français depuis la seconde guerre mondiale ont permis d’assurer la sécurité alimentaire du pays et une contribution significative du secteur à la balance commerciale [[voir la vidéo qui dit exactement l’inverse !]]. Elles ont également bénéficié aux consommateurs via la baisse de la part des dépenses des ménages consacrées à l’alimentation et le développement d’une offre variée de produits transformés, souvent prêts à consommer, qui a répondu à l’évolution des modes de vie [[mais aura fortement augmenté les dépenses pour les maladies dites…alimentaires : donc les consommateurs sont plutôt…bien perdants !]].
La dégradation des performances économiques du secteur, observée ces dernières années, fragilise cependant de nombreuses filières. En outre, l’évolution des pratiques de consommation et des modes de production soulève de nouveaux enjeux : le système alimentaire contribue de façon significative à certains dommages environnementaux ; le rôle de l’alimentation dans le déclenchement de certaines maladies chroniques est bien établi [[en résumé, impossible de cacher les dégâts causés par une alimentation très mal…conçue (ce n’est pas l’apparence qui importe mais la qualité intérieure).]] »
(…) L’argumentaire devient : des progrès techniques peuvent concourir à une meilleure maîtrise des impacts de santé et environnementaux. Mais ceci va entraîner des surcoûts et des risques commerciaux pour les entreprises qui s’y engagent. Dans des filières fragilisées sur le plan économique (par qui, au fait ?), les investissements requis doivent se traduire par des prix plus élevés impliquant, en contrepartie des efforts de montée en gamme, une augmentation de la disposition à payer des ménages pour leur alimentation. (…) « Ceci implique de dépasser la contradiction entre des surcoûts de production, conduisant à des prix plus élevés, et les réticences des consommateurs à payer plus »...Un fois de pire, seuls les consommateurs sont culpabilisés. Et la corruption est dans les arguments. C’est « parce que » le consommateur « refuse » de payer plus cher que la nourriture nuit à l’environnement et à la santé. Mais s’il « donne » plus d’argent, l’enrichissement des filières, par magie, va produire une « autre » agriculture sans quitter d’un millimètre…celle-ci. Aliénation intégrale d’un tel article perverti par la folie par « l’alimentation c’est pas pour manger mais pour faire des profits…jamais partagés ».
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Toutes les prudences auront été prises : impossible de soigner des cerveaux aussi détraqués…nous devons donc leur retirer les responsabilités des mains. Puisque… l’ampleur de la catastrophe collective provoquée par la dictature du « l’apparence est toujours trompeuse mais il faut exiger d’être trompés par cette apparence toujours trompeuse » touche tous les secteurs de la vie sociale. La société demeure polluée par le haut : aucune solution ne peut donc venir de ces égarés…Vérifions sur tous les terrains ! Résultats…culturels de l’agriculture unique (une seule présentation et un seul aspect partout) : plus du tout de diversité - qui « est la vie », le disait si bien l’opposant connu au capitalisme fou : Charles Darwin, cet ennemi déterminé du…darwinisme social. Insipide culture qui tue l’enfance ? Et dont les accusés sont ces soi-disant dirigeants « hors sol » qui ne connaissent rien à la vie réelle. Rien mais rien. Ils vivent sous plastique ! Toxiques personnages…
Diversite-complètement-absente-de-la-littérature-jeunesse
Résultats politiques tout aussi délirants : tout dans les apparences. Société en très grand danger !
Avec-Macron-payer-moins-les-fonctionnaires-pour-payer-plus-les-traders ?
…Jusqu’aux comportements intimes qui ne peuvent plus être spontanés. Mais trafiqués pour qui PAIE l’image. Devant chaque image juste se dire « elle est gratuite ? Ou quelqu’un l’a payée ? » Au second cas, ne même pas la regarder ! Dans ce cas, l’apparence c’est que POUR TROMPER !
On-a-retrouvé-l'étude-citée-par-despentes-sur-les-filles-les-garcons-et-les-yaourts-salés
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Cet enfilement des perles d’un dossier vraiment à charge aboutit à une conclusion qui flamboie : l’alimentation doit devenir un service public, sans aucun but lucratif.
Dans ce domaine, comme dans bien d’autres, le privé sera parvenu à démontrer 1) - son incompétence radicale à être au service de…- 2) – et son travers catastrophique à semer un nombre impressionnant de catastrophe et de dégâts…collectifs car il ne comprend rien aux PRIORITES. Ainsi, la priorité est bien une nourriture saine et surtout pas chaque aliment (et on s’en fout de qui va le…manger) c’est que pour faire des profits…aux dépens de la nature et de la santé. Donc de la VIE.
Devant ces faits si flagrants où le privé met en danger le futur de la civilisation…
……………….l’alimentation doit surtout rester à jamais UN BIEN COMMUN.
………..……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Le début de la si grave aliénation collective et le début, aussi de l’atroce instrumentalisation de chacun-e
dommage que ce ne soit pas une décentralisation complète de tels enjeux...
La vidéo qui montre que les apparences ne sont utilisées…que pour TROMPER ! Et... Comment une mauvaise décision peut empester toute la société ?
Pourquoi devons-nous changer notre système alimentaire ?
l’aspect c’est juste pour vendre pas pour…manger...ici, le précalibrage qui impose, si déraisonnablement, la commercialisation à la production !
Goût des aliments sacrifiés pour des profits antisociaux...
L’opérateur de fabrication de produits alimentaires exerce les fonctions les plus variées de tous les opérateurs de fabrication.
un aliment = un prix. Il n’est jamais de jamais parlé de le manger juste de le payer…
Des donneurs d'ordres aux sous-traitants, comment, dans un univers de produits à durée de vie plus ou moins longue, à partir de produits agricoles plus ou moins stables en quantité et qualité, l'industrie alimentaire a-t-elle relevé les défis de fournir des produits sûrs, variés, rapidement et aux meilleurs prix ? Structurés en fournisseurs de composants (produits alimentaires intermédiaires) et assembleurs, quels sont les choix stratégiques opérés par les différents intervenants de la chaîne alimentaire ? Toujours les plus...insensés !
L'agroalimentaire est le premier secteur industriel français, aussi bien en termes de chiffre d'affaires que d'emplois. Dans ces conditions, il serait bienséant que la Qualité suive…Elle ne le fait absolument pas !
Les industries agroalimentaires, les IAA, sont un bastion d’excellence de notre commerce extérieur. Structurellement excédentaires, elles ramènent en moyenne chaque année près de 8 milliards d’euros de recettes à la France depuis près de 20 ans.
Et pour le reste du monde ? Les systèmes alimentaires sont les processus qui concourent à apporter la nourriture de la ferme jusqu’à votre assiette. Les étapes de ces processus – de la récolte au transport et à la commercialisation – peuvent affecter la qualité de la nourriture. Pour mettre fin à la malnutrition, il est essentiel de corriger nos systèmes alimentaires. Dans cette courte vidéo, des experts de la FAO et de l'OMS vous en disent plus sur les systèmes alimentaires.
La filière agroalimentaire française fait face à de nombreux enjeux durables et doit plus que jamais se réinventer pour contribuer à une alimentation de qualité, saine, respectueuse de l’environnement et des hommes. Une alimentation attendue par les consommateurs, comme le montre notre étude « Les Français et la consommation responsable »
Généralement, les produits que nous consommons viennent de loin et sont passés par une multitude d'intermédiaires qui s'occupent chacun d'une ou de plusieurs étapes de production ou de commercialisation. Les circuits courts permettent de réduire le nombre d'intermédiaires et la distance qui séparent le producteur du consommateur. Ils diminuent donc la pollution liée au transport des produits et donnent aux consommateurs plus de visibilité sur les modes de production utilisés, ce qui incite les producteurs à adopter des pratiques respectueuses de l'environnement et de la santé, en limitant l'usage de produits polluants par exemple.
ce que nous devons complètement TRANSFORMER !