Dites médites ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Dites médites ?

Méditations et médecine iraient-elles très ensembles ? La complémentarité augmenterait-elle les bénéfices communs ? Nombres de documents actuels semblent l’indiquer. Mais la méthode de ce blog ne se laisse impressionner par rien du tout – nous allons toujours vérifier, vous entraînant avec nous. Puisque « l’homme des foules » d’Edgar Allan Poe a prouvé, même si ceci pouvait froisser, qu’un seul peut avoir raison – et la foule tort. Par exemple…le mot « cognitif » semble parer qui le prononce d’une aura incroyable de savoirs : ce n’est souvent, malheureusement, pas le cas. Combien d’injustices sont déjà commises avec ce seul mot : d’un côté, qui brandit que vous seriez en déficit – eux-mêmes partageant très peu leur humanité et leur compassion, semblent se montrer encore plus gravement déficitaires ? Tout dépend donc de …quel côté du mot cognitif vous vous trouvez – de celui qui veut rabaisser et soumettre (au lieu d’aider et de soigner) ou du côté qui reçoit, sans défenses, les coups ? Puisque comment prouver que vous n’avez pas ces défauts cognitifs (laissés tellement dans le vague) que vous venez de voir accolés à votre personne ? Oui comment ? Alors que le savoir demeure une accumulation des siècles passés dans une gratuité de très bon aloi – et que, par exemple, l’enchanteur Alan Turing demeure toujours aussi « ignoré » par qui se prétendrait à la pointe du cognitif. Lui qui sut trouver les formes qui inForment derrière l’abondance des apparences. Et les mathématiser à la perfection. Donc il demeure la source enchantée des solutions à la taille de notre époque ? Non, pas pour les si miteux « médiocrates » ! Pour l’utilisation de la méditation en irait-il de même ? Dites médites : nous allons vérifier en direct…

Les-médecins-face-aux-sirènes-de-la-méditation

« Au début de la séance, il faut rajouter des chaises. On les agence en cercle afin que les participants puissent discuter de leurs expériences. Une bonne vingtaine en tout pour cette séance de thérapie cognitive fondée sur la méditation de pleine conscience, à l’hôpital Sainte-Anne, à Paris. Cette technique inspirée de la méditation boud­dhiste consiste à porter son attention, sans jugement, sur ses sensations, ses pensées et ses émotions de manière à en devenir pleinement conscient et à se libérer de leur emprise. L’intérêt en psychiatrie ? Il s’agit d’un complément de la psychothérapie que suivent ces patients pour traiter leur dépression, afin de prévenir les ruminations, un symptôme qui précède les rechutes.

« J’ai essayé “Le scanner du corps”, avec la voix de Christophe André. Cela m’a fait du bien », raconte Martin (les prénoms ont été changés), curieux d’explorer de nouvelles méthodes. « Moi, j’aimerais savoir comment lutter contre les insomnies. Je me réveille à 2 heures du matin et je médite. Je me sens parfaitement relâchée, mais je n’arrive toujours pas à me rendormir, et le lendemain ça me gâche la journée », s’inquiète Hélène, le visage labouré par la fatigue. Certains participants écoutent attentivement, d’autres, distraitement. Martin témoigne encore de l’expérience qu’il vient de faire d’une autre technique, inspirée du yoga : le bourdonnement de l’abeille. Florent Dulong, l’infirmier psychiatrique qui, en 2013, a succédé au psychiatre Christophe André pour l’animation de ces groupes, explique : « C’est un exercice de respiration très utile pour lutter contre la colère et pour se concentrer. Cela ne vous empêchera pas forcément de vous mettre en colère, mais cela peut vous offrir le début du calme intérieur… » Tellement mieux de s’abreuver aux immenses aventuriers de la vie intérieure que de se placer sous les manettes d’une technologie abusive d’insensibilités et de non écoutes. Ensembles, nous trouvons toujours les solutions à la taille de chacun-e selon l’ampleur de ses besoins et de ses attentes. A condition de savoir …patienter le temps que se forme la formule qui nous inForme sur ce qui demeure au niveau du vrai humain. Tous les ratages actuels viennent de ces impatiences de personnages qui prennent tous les autres pour ses employés instantanés et toute la Nature pour le hangar inerte de ses caprices loufoques… 

Méditation-quels-bénéfices-face-au-vieillissement

 

« Des études devraient permettre d’évaluer l’impact de la médiation sur l’évolution de la taille des aires cérébrales connues pour régresser au cours du vieillissement, les aptitudes cognitives ou encore la mémoire. La méditation de pleine conscience intéresse les spécialistes du vieillissement. Le stress, l’anxiété et la dépression sont en ­effet des facteurs favorisant la survenue et l’évolution de la maladie d’Alzheimer et les chercheurs entrevoient dans la méditation une des activités qui pourraient limiter impact sur la société. Ils cherchent aussi les moyens de favoriser le vieillissement en bonne santé. Le consortium international Silver Santé Study, ­rassemblant des équipes de recherche françaises, britanniques, belges, ­allemandes, suisses et espagnoles, et financé à hauteur de 7 millions d’euros par l’Union européenne, vise ainsi à étudier l’effet de la méditation ou de l’apprentissage d’une langue sur le vieillissement. » Rester infiniment jeune dans sa tête demeure l’élixir de Jouvence, lorsque le corps et ses douleurs suit mieux lorsqu’il y a cette inépuisable joie de vivre. Qui vient ? De se trouver tout empli-e du sentiment de la gratuité essentielle de la Nature…d’où ruissellements permanents de gratitudes. D’où curiosités qui nous font la cure la plus radicale qui soit. D’où, envers tout le monde, attentes plutôt bienveillantes (mais sans illusions – le stupide « trop bon, trop con », provient d’un-e égaré-e qui ne connaît Rien aux êtres humains. En croyant que la bonté ne soit pas bien plus lucide que le cynisme amer, par exemple…etc.). D’où enthousiasmes qui soulèvent, d’où goût d’admirer, d’où cerveau sensualisé, d’où…profusions à n’en plus finir. Oui qui AIME le gratuit reçoit tout cela (et bien plus) sans l’avoir même demandé. Ceci afin d’affirmer solennellement que le TERRAIN de la méditation doit être, plutôt, ce sol fertile et généreux. Et que l’argent fait trop évidemment obstacle aux massages intérieurs profonds qu’offre la méditation. Tout ce qui compte ne peut se compter – puisque l’essentiel et l’essentiel de cet essentiel ne se peuvent acheter…Surtout pas : méfions-nous donc, très lucidement, de qui « vend » du développement personnel.

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En effet, tout n’y sera que flatterie (vérité et argent ne vont guère ensemble), vous n’entendrez que ce que…vous vouliez entendre et aucune critique ne sera permise à qui paie. C’est bien, là, s’engager sur la voie hypocrite où les réussites ne sont que « pour » les vaines apparences. Dites médites, vous verrez que vous entendrez mieux…

Tous-plus-malheureux-qu'-avant-et-le-coupable-qui-vient-d'être-démasqué-est...-

« Atlantico : Une étude menée auprès d'un million de jeunes américains par notamment le professeur de psychologie à l'université de San Diego Jean Twenge pointe que les gens malheureux le sont pour les mêmes raisons. En dehors des critères sur lesquels ils ne peuvent peser (contexte économique difficile…), ce qu'ils font lors de leur temps libre influe sur leur sensation de bonheur. L'étude révèle que ceux qui pratiquent des activités durant leur temps libre n'étant pas liées à un écran se déclarent deux fois plus heureux que ceux qui passent plus de cinq heures par jour sur des écrans.

Comment pourrait-on expliquer ce phénomène? Catherine Berliet: Cette étude me semble cohérente. Nous pouvons expliquer les résultats de plusieurs façons. Une équation du bonheur a été conceptualisée par Todd Kashdan, professeur à la Mason University de Virginie qui stipule que le bonheur est à la portée de chacun mais sous certaines conditions. 1)- La première étant d'être dans le moment présent, d'être curieux, de faire au moins une chose par jour que l'on aime, 2) *** et d’entretenir ses relations en ayant des moments dans la journée dédiés aux autres, mais aussi d’être en capacité de faire 3 choses saines pour entretenir son corps et enfin d’être exposé à la lumière.

En observant cette équation, on se rend compte que la consultation fréquente des écrans freine pour beaucoup la réunion des facteurs énumérés ci-dessus. La notion de réponse immédiate induite par les outils numériques empêche d'aller vers les autres. Si nous avons le pouvoir magique de communiquer avec la planète entière, l’instantanéité provoquée par ces mêmes outils finit par être anxiogène car la réactivité se doit d’être permanente. La relation est initiée, la communication entamée, mais l’échange est-il vraiment au rendez-vous ? J’en doute. Les écrans nous projettent dans le temps d’après, occultant le temps présent puisque nous sommes en haleine du temps qui suit. Notre acuité attentionnelle est parasitée et perturbée car toujours sollicitée avec une obligation d’immédiateté stressante.

La curiosité est présente mais la curiosité suscitée par les écrans nous emporte toujours plus loin dans une quête incessante de nouveauté animée par une avidité pantagruélique, qui ouvre le champ des possibles jusqu’à la béance et laisse un goût amer de vacuité. Une étude a été faite par Adam Alter, professeur de psychologie et marketing à l'université de New-York. Cette étude résonne avec celle de Jean Twenge car elle pose le fait que les écrans prennent une part exponentielle dans notre vie. Cette étude sépare les bonnes applications des mauvaises. Les bonnes étant des applications de relaxation, de sport et de santé qui auraient une incidence et des effets beaucoup moins nocifs que les réseaux sociaux par exemple ou que les jeux qui nous rendent « gameaholic » donc accrocs comme à une drogue dure.

Autre résultat intéressant, l'étude montre que ceux qui passaient un peu de temps sur les réseaux sociaux étaient plus heureux que ceux qui n'en passaient pas du tout. Au final est-ce que tout est une question de juste mesure ? C'est une question de juste mesure, mais gardons aussi en tête que les réseaux sociaux sont conçus de manière à être addictifs. Ma crainte est celle de voir un jour ou l’autre chez ces utilisateurs modérés une dynamique en faveur d’une addiction progressive. Beaucoup de chercheurs tirent la sonnette d'alarme en appelant cela l'épidémie silencieuse et nous commençons même à entendre de hauts dirigeants d’entreprises comme Facebook se positionner en lanceurs d’alerte sur un phénomène qui risque de nous dépasser très vite. Les écrans et les réseaux sociaux ne sont pas sans effets, et provoqueraient un impact certain sur le développement cérébral comme sur l'acuité attentionnelle et sur notre santé psychique…

>>>>>>>> **** -  D'autres études démontrent que les smartphones sont des pompes à dopamine conçues pour créer de la dépendance forte. La dictature du « like » et des « followers » nous enferme dans une ambition héroïque de bien faire, ou de surpasser les autres à tout prix,[[ au lieu de…partager et de semer les gratuités, les spontanéités et les amours partout… !]] et ce désir de « fausse » exigence [[comparons plutôt avec les nôtres et l’ardeur de nos textes…oui ces fausses exigences « exigent » juste que les apparences restent…trompeuses- Permettez de ne pas admirer et encore moins d’aimer ce gâchis des égoïsmes ]] est terriblement anxiogène car l’idée n’est pas tant d’être aimé ou admiré, mais plutôt d’être le plus aimé et le plus admiré [[ erreur monumentale : toute qualité n’entre dans aucune…quantité (le plus ou le moins…)…elle demeure incommensurable. Et donc ? S’aimer soi-même, donc demeurer dans les gratuités et leurs trésors infinis, c’est déjà le très bon commencement…celui qui permet de…méditer proprement…]]. Ce qui est fatiguant, voire angoissant. Ce qui, in fine, elles nous renvoient à nos propres insuffisances et nous frustrent immanquablement [[alors que l’apprentissage par erreurs et échecs demeure le plus prolifique de tous…oui, face à nous si intime, dans la nudité du vrai, nos erreurs sont…adorables !]].

Une bonne idée serait de faire comme certaines personnes, une diète numérique. Se dire par exemple, qu'une fois par semaine, nous aurons la force de nous fixer un objectif de consultation limité de nos écrans. Obligeons nous à nous ouvrir à d'autres horizons pour nous décentrer. Cela passe par la pratique d’un sport ou par des activités créatives. Le mieux étant de réapprendre à conjuguer le verbe musarder et savourer au présent de l’indicatif en se disant toujours et encore : « Qu’est-ce qui est bon pour moi ? » …Oui ? Tout comme le « brûler ses calories » n’a aucun SENS – le corps n’étant pas un chaudière vouée à s’auto-brûler – dites médites ne suffit pas du tout …il ne faut pas y aller par 4 chemins : il s’agit de nous extraire vite fait de la grave aliénation bourgeoise (ou comment demeurer étranger à son corps « qu’ils » nous appris à considérer comme étranger ?), aux illusions de surpuissance générées par l’argent (avoir une tête bien faite ne dépend absolument pas de la fortune) comme aux irrationalités illogiques (ce n’est pas parce qu’un quidam a de l’argent, voire du pouvoir abstrait, qu’il…sait tout par essence). Et donc ? En, tout, c’est l’effort PERSONNEL qui compte (pas celui de son…personnel, ce qui n’est pas effort…personnel !). Oui, apprendre en vrai (savoir être élève lorsqu’il le faut et vivre sa maîtrise lorsque c’est possible sont bien les débuts de la sagesse. Et certainement pas les…flatteries de bas étage…), se soumettre aux hiérarchies naturelles (la réalité nous résistera toujours…elle n’a aucun de nos vains …préjugés. Et c’est très bon !). Et donc ? L’essentiel demeure de ne pas croire aux MARKETINGS en général : marketings (dont le politique) qui demeurent les pires des…fake news connues à ce jour. Ce qui rend ridiculement dérisoire ces compulsions loufoques de qui ose « cachez moi ce réel que je ne saurais voir ». Oui dites médites ? Un peu, mais alors vivez la méditation transcendantale sans chichis, celle qui nous permet de descendre jusqu’au plus profond du corps. Et de vivre « le mental de chacune des cellules » de nos corps…comme le disait si bien le si exigeant Satprem dans les 3 tomes de « Mère » publiés dès 1991.  Ce n’est pas un jeu, lorsque la première et essentielle règle de la vie intérieure demeure le : Ne jamais se mentir à soi-même…ce que n’arrêtent pas de faire les graves égaré-e-s de notre époque (saccagée par les sommets mêmes, si addictifs aux drogues dures des médias menteurs – qui, à l’évidence, n’ont jamais m’édité…sinon ils m’auraient édité, pour sûr). Oui ?

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L’aveu intégral de la complète folie bourgeoise ? « L’important n’est pas de vivre les choses ». Sic ? Mais c’est que ces inexcusables fuyards IMPOSENT leur style de vie d’irresponsabilités immatures, d’inconsciences complètes et de folies avérées à tout le…monde. Toujours très Minoritaires, ils bafouent, barbarement, toutes les règles de la sociabilité en se braillant « majorités »…. « L’important n’est pas de vivre les choses, c’est de savoir les débriefer », bafouillent ces complets détraqués, les dérégulés de la honte antisociale, les très clairs ennemi-e-s de la société…Faisons donc le debriefing de leurs droguées dangerosités ainsi…complètement avouées !

L'important-n'est-pas-de-vivre-mais-de-faire-semblant

« Vous vous êtes déjà retrouvée coincé dans un refuge de montagne avec un ancien acteur de série AB Productions et une famille de mormons? Nous non plus, mais franchement, à choisir, on préfère que quelqu’un le vive à notre place [[ nous pas du tout : toutes les formes d’aliénations qui veulent s’imposer aux…autres, nous révulsent eu plus haut point…nous voulons et vivons par nous-mêmes Tout ce que nous disons…]] et nous le raconte plutôt que de se taper les odeurs de sous-vêtements géants qui sèchent et les egos brisés des studios de la Plaine Saint-Denis.

Parce que souvent, le débrief est bien plus marrant [[ concept qui, en général, avoue la vulgarité du cœur qui énonce cette bassesse : non « marrant » c’est pas marrant ni marré d’ailleurs…juste narré !]] que l’événement qu’il décrit. Un peu comme l’aftershow de Stranger Things sur Netflix, qui nous a presque convaincu qu’on avait passé un bon moment à regarder la saison  2.

L’art de se mettre en scène [[ qui insiste sur la prolongation du…spectacle si anti-humain, a bien perdu son humanité, celle qui se partage ]] dans des situations rocambolesques est devenu tellement consubstantiel [[ faux et archi faux !]] de notre époque («Comment j’ai failli devenir mormon à cause du mal des montagnes, thread»), que la perspective de raconter une scène à nos potes nous permet de supporter les longs Noël en famille avec un léger sourire narquois[[ car quoi de plus cons que les carquois narquois ?]]. Le replay mieux que le direct [[ buuuurp – vraie nausée…]]? Peut-être, mais à condition d’être un as du débrief.

1. Jouez à mémo mime :

Votre plan d’attaque : faire un mix entre Michaël Gregorio, une drama queen et le Mime Marceau [[ ce qui représente une sordide imposture étant très clair que le Mime Marceau était, lui, un artiste complet]], et joindre le geste à la parole. Vous mimez et revivez les scènes, avec une emphase qui trahit une certaine exagération des faits. Vos émotions sont décuplées dans la phase d’«après coup». Vous êtes comme ces YouTubeurs qui arrivent à transformer un déballage de shopping, appelé «unboxing», en un suspense insoutenable.[[ aussi, personne ne va le soutenir…]] Vos cordes vocales font faire le grand huit émotionnel à votre public (vous êtes fait pour le stand-up), tandis que vos bras se déploient telles les ailes d’un albatros en détresse: y a pas à dire, vous êtes hyper-expressif, et donc [[ sic]] communicatif.

Surtout que vous maniez avec brio tous les finger tricks et face gimmicks qui font le beurre des internets: resting bitch face, robot dance, dab, etc. Bref, vous êtes un générateur de mèmes à vous toute seule.  Votre mic drop: le jour où vous vous êtes rendu compte que les impôts vous prélevaient à la source, vous avez enchaîné auprès de vos potes un face palm en chantant «La Moula» de MHD. L’erreur à éviter : prendre la voix monotone de Grand Corps Malade (chiant lorsque l’emballage de la falsification supplante les CONTENUS que ces fuyards de la vie réelle ne pourront jamais comprendre ni ressentir ).

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2. Partez en live

Votre plan d’attaque : Whatsapper en direct les moments forts de la journée que vous commentez auprès de vos potes avec le professionnalisme [[sic]] d’un journaliste de L’Équipe TV. Synthétiser en temps forts une journée, divisée entre dix heures de boulot et une heure de pause déj’, est d’ailleurs un challenge de taille [[ à la portée du premier imposteur venu…]].

Du coup, vous cherchez littéralement la merde: traverser sans regarder, donner votre numéro au mec avec sa pipe à crack dans le métro, rejouer la scène de Chute Libre au fast-food –oui, vous pétez les plombs. Le moindre « faux » pépin qui vous tombe sur le coin de la tronche est bon à prendre. Et si rien ne se passe, pas grave, vous avez depuis un moment intégré les rouages de la téléréalité: faire du contenu à partir de rien,[[ donc ne faire strictement aucun…contenu]] et surtout tirer sur la longueur. Du coup, gros cliffhanger en perspective sur l’épisode du taboulé Bonduelle dégusté à la cantine hier midi. Votre mic drop: lorsque vous avez textoté en live à votre pote le déroulé de votre entretien annuel; insoutenable moment, lorsqu’on a cru que vous alliez décrocher une augmentation. Pour repartir finalement avec walou. Aussi prévisible que Titanic de James Cameron, mais quelle tension!

L’erreur à éviter : oublier son portable [[ alors que c’est là justement….la seule idée de génie ! De voir, enfin, l’imposture si nue, sans les béquilles inacceptables du portable si insupPortable]]

3. Soyez blasé 

Votre plan d’attaque: l’air détaché [[ où est le détachant ?]], les yeux qui roulent vers le ciel, les joues gonflées à bloc, pour montrer que tout est too much [[ surtout de mentir sans cesse et d’oser, du même élan, créer une falsification nommée Décodex ?]]. Vous êtes fatigué de la non-vie, et ce fardeau-fardé que vous faites semblant de traîner sur le dos est prétexte à être souligné, même dans ses moments les plus anecdotiques et dispensables. Vos débriefs commencent inlassablement par «chui au bout de ma vie…» et vos textos sont toujours précédés d’un «JPP…» (très importants, les trois petits points qui sous-tendent une suite). C’est un peu comme le fameux «Précédemment…» au début d’un épisode qui prédit une session de binge-watching. Entre la plainte et la désolation, vous êtes un vétéran de la génération désenchantée, victime depuis votre naissance –pensez-vous– de la loi de Murphy. Avec vous, c’est un peu la faute à pas de chance, et vous êtes totalement résignéethat’s life») [[ ce qui a tout l’air d’être profondément répugnant que cette résignation…sans motif !]].

Vous faites tomber votre clope par terre? L’hallu’ totale, c’est dans une flaque d’eau. Vous prenez un Uber? Super, vous tombez sur un chauffeur qui écoute France Bleu. Vous avez perdu votre carte d’identité? C’est con, vous ne pouvez pas retirer votre commande Asos à La Poste. Votre mic drop : le jour où ils ont arrêté de faire des grandes frites chez Bioburger «parce que c’était trop compliqué». Vous avez levé les yeux au ciel et sorti cette phrase assassine: «De toute façon, ça fait longtemps que je ne crois plus en l’humanité…» [[ encore faudrait –il en être pourvu d’un milligramme pour savoir de quoi l’on parle !]]. L’erreur à éviter : voir le bon côté des choses. [[ tout au contraire, ne voir en priorité que le bon côté des choses…sinon comment pourrions-nous rite des graves infamies étalées dans ces paragraphes sans agrafes ?]].

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4. Devenez un pro de la com

Votre plan d’attaque : essayer de faire rêver [[ mission strictement impossible…la nausée c’est même le très contraire du rêve]] avec votre vie à 99F (pour ne pas dire à deux balles). À chaque jour sa reco bien ficelée que vous présentez à votre clientèle –en l’occurrence, vos potes–, avec le bon wording, soit une déferlante de mots que vous soulignez comme autant de liens hypertextes. Cela donne souvent des phrases hachées et brèves –comme des slogans pub [[ très mauvais exemple…les corruptions commencent à être très mal ressenties !]]– versant dans le name-dropping, comme l’atteste votre debrief d’une séance de shopping lors de votre pause déjeuner, transformé en un post sponso de blogueuse mode où même la marque de vos lentilles de contact est taguée. Idem lorsque vous avez eu la grippe. Une info majeure que vous vous êtes empressé de donner à votre mère et résumée en trois idées-clés, brèves et concises [[ ce qui se renâcle en complète CONTRADICTION avec le « et surtout tirer dans la longueur »…faudrait savoir à la fin : le tout-arbitraire c’est obsolèèèèèète !]]…AV: Arrêt maladie-Tamiflu®-PLS dans mon lit.

Le pro que vous êtes sait que même mauvais, un buzz reste un buzz. Et en cas de crise majeure, vous savez verrouiller votre com comme Lactalis. Votre mic drop: avoir proposé vos talents de management de crise façon Olivia Pope du pauvre à une certaine blogueuse mode sortant avec un certain facho bodybuildé (vous taisez les noms)… L’erreur à éviter : passer aux médicaments génériques. [[ bref, tout dans l’emballage hyper frelaté…]]. » En brièveté, nous est étalé et concentré ici tout ce qu’il ne faut surtout pas faire. Les choix vénéneux qu’il vaut mieux éviter. Les cerveaux superficiels qui renient, systématiquement, tous les génies du passé et du…présent – et qui poussent leurs suiveurs à s’enliser dramatiquement. Comme si la théorie ne précédait pas toujours les pratiques. Et l’intelligence sensible les savoirs bénéfiques. Ces entêté-e-s qui ne veulent « obéir à personne » et donc n’obtempèrent sans cesse qu’aux pires, étalent, désormais, partout leurs retentissants…échecs. Mêmes si masqués par de l’argent fraudé – ce n’en sont pas moins de limpides échecs qui retentissent haut et fort…Et ?

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Lorsque le trop d’argent fou reste hyper présent…

…….tout « développement personnel » demeure impossible.

…..Le seul «développement personnel» possible reste de Quitter le capitalisme !

 

……….....(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 600 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

le moyeu de l'univers est en nous...

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Dites médites ?
Comment une méditation peut-elle être…métaphysique ? Vraiment n’importe quoi…elle est carrément physique. Transphysique oui !

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ne plus voir la méditation de l'extérieur comme une icône....entrer dedans...

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Guerre économique – démoyenniser = la pauvreté comme une grande chance ?

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La méditation de pleine conscience

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Pas de calor de chaleur dans les calories…donc calorie alimentaire = zéro pertinence…idem pour la méditaion = rien à voir avec ce qu’en disent les occidentaux égarés…

Pas de calor de chaleur dans les calories…donc calorie alimentaire = zéro pertinence…idem pour la méditaion = rien à voir avec ce qu’en disent les occidentaux égarés…

soleil comme sol et aussi un peu de solitude ?

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Interview de Benjamin Bayart, Grand Sorcier de l’Internet option vie privée. Vidéo diffusée le 20 juin 2017 à 20h en direct.

Plus elle réalisait – matériellement – ses rêves, plus elle touchait le fond…ellke a tout abandonné pour penser à son…corps, ses sentiments et sdes émotions. Résultats ? Une vie enfin réussie. Pourquoi ? Une vie d’actrice française à Hollywood ne l’était surtout pas ?

Interview : Catherine Berliet : "Bien gérer son temps c'est retenir 3 choses »

Méditation de pleine conscience guidée par Christophe André - L'instant vraiment présent

Apprendre la technique du bourdonnement de l'abeille | Apprendre le Yoga

Todd Kashdan author of Curious? and co-author of the new book, The Upside of Your Dark Side: Why being your whole self - not just your “good” self - drives success

Radio : Satprem - L'aventurier de la vie intérieure. Avec Sri Aurobindo et Mère

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S
Je trouve votre site très beau.Merci beaucoup
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