Vent souvent ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Vent souvent ?

Chacun-e a la possibilité de sa résistance. Elle devient l’usage libre du temps et de la parole. Même si ceci peut paraître dérisoire dans sa formulation – n’empêche que c’est un choix éminemment subversif. Puisque, de se montrer autant heureux et épanoui à chaque fois que nous ne sommes plus connectés au système de toutes les perversités – représente la pire des critiques…tranquilles. Même en un flash de seconde, il reste possible de voir que nous sommes la PREUVE que c’est tellement mieux de vivresans ce système, qu’il est facile de le quitter et de s’en passer pour de bon. Genres graines qui ne manquent pas de proliférer !

 

 « Il est évidemment utile d'analyser les failles de l'économie mondiale et de proposer des mesures réparatrices. Les travaux d'Emmanuel Todd, de Frédéric Lordon, des économistes atterrés, sont précieux, ne serait-ce que pour répliquer aux boniments prodigués, avec la complicité des principaux médias, par les représentants de l'oligarchie. C'est la moindre des choses, si j'ose dire, mais je ne crois pas qu'il y ait une alternative au ravage étant donné la nature de celui-ci. La crise ne se limite pas à l'économie. A l'âge cybernétique, il devient illusoire d'agir sur la dévastation comme si nous lui étions extérieurs. Comment imaginer une alternative fondée sur une prise de conscience de la planète entière ? Il n'existe pas d'opinion publique planétaire sur laquelle asseoir une décision politique. Nous sommes, avec cette crise, sortis du champ de la politique au sens classique du terme. C'est cela qu'il faut admettre. Mais cela ne veut pas dire que nous soyons impuissants.

Le-capitalisme-intégré-est-une-économie-dont-le-lieu-n'est-pas-sur-terre

Que voulez-vous dire ? Tout ce qui dans le monde, auparavant, était extraordinairement consistant, les rapports de forces, l'industrie, la production, tout ce que les marxistes, par exemple, ou les tenants du capitalisme, tenaient pour la réalité, est devenu chimérique, immatériel. Le monde que je viens de décrire, celui de la soumission de toute vie réelle au règne du virtuel, c'est celui de la mort vivante. Un contre-monde qui a horreur de la parole, où le chiffre prend la place de la parole, où le calcul cybernétique devient l'instance de souveraineté, qui met en charpie l'espace et le temps. A ce moment, chacun a la possibilité de la résistance. Elle prend la forme d'un libre usage du temps et de la parole [[ ce qui nous fait échapper de partout aux possibilités si limitées de ce système pour…petites têtes et absences de cœur. Et ? Plus nous sommes heureux de simplicités ( à savoir cette exultation est celle du gratuit, elle ne participe qu’à 10 %, ou moins, à la société de consommation) et d’authenticités, plus il tombe : son orbe de compréhension est bien trop mince !]] .

Il y a une dimension existentielle dans cette démarche...Oui, je ne crains pas de le dire. Poétique, intellectuelle, sensuelle, à chacun de voir, cette forme de résistance peut paraître dérisoire en termes de rapports de forces. Elle me semble au contraire éminemment subversive. »…Puisqu’elle demeurera à jamais sous estimée. Donc sa virulence restera à jamais…inattendue ! Nos créativités, hors cadre de ces loufoques mécanisés, ne peuvent que provoquer de nouveaux rapports sociaux (actuellement il y en a si peu de rapports authentiques entre humains) et commencer de nouvelles possibilités pleines de ruptures (le mot « disruptif » sauf dans un cas, à notre connaissance, n’a aucune valeur, sinon de s’avouer «appartenir à l’armée intruse d’occupation » - rupture c’est tellement mieux !). Bref nous sommes à un moment historique, où la créativité désintéressée (qui ne roule pas pour elle, pour ses minables avidités de fric « que » pour soi) a le maximum d’impact. Fonçons !

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L’avantage de la supposée victoire des riches (qui est une immense défaite existentielle, en fait !) est, qu’actuellement, quasiment chaque jour, nous est confirmé que nous avions toujours choisi la bonne route intérieure, qu’avant toute preuve scientifique factuelle nous savions déjà, que nous avons bien accumulé les vrais trésors de futur. Que nous nous sommes super bien débrouillés. Toujours dans la simplicité, l’authenticité et le maximum de…gratuité (la vraie valeur sur Terre). Comment aura-ce été possible ? Les enfants, du très bas âge au préadolescent, nous offrent toutes les informations qui agréent tant nos directions existentielles, depuis notre plus tendre…enfance. Oui, aujourd’hui, il aura été affiné à quel âge les mesures sont les plus pertinentes, quel protocole sera choisi et comment la lecture des résultats  se montre plus efficace. Ainsi, un seul exemple, les enfants, dès 4 mois, nous prouvent (les mesures sont là !) qu’ils aiment la bonté et n’aiment pas la non-bonté. Que les injustices, qui se passent devant eux, obtiennent leur désapprobation. Nous avons choisi la bonté parce que trop bon n’est jamais con. Mais archi salaud, oui quelle vaste connerie ! Une anecdote ? Longtemps, en déambulant ou faisant des courses, je recevais des regards fascinés de tout petits qui ne me quittaient pas des yeux. Et montraient une vie intérieure intense. Je comprends mieux pourquoi, dans le flot des passant(e)s, ils me scrutaient ainsi…Et donc ? Notre instinct ne nous a jamais trompé (dans cette société où tout le haut, très aliéné, ment et triche sans arrêt - nous ne sommes quasiment jamais tombé dans les pièges des corruptions). Tout laisse croire que les bébés et jeunes enfants font « naturellement » et spontanément les mêmes choix, que nous avions fait sans preuves scientifiques. Par le savoir des ressentis (et il nous est présenté comme un futur à concrétiser ce qui est tout…notre passé…très scientifique passé ! Notre futur, lui, précède donc la science…)…De quoi nous envoler comme les aigles et avoir une si vaste vision de la splendeur du monde. Qu’à l’évidence nous méritons. A l’examen « d’être humain » nous avons des notes à tomber à la renverse avec mentions en plus. Ceci surpasse tous les hôtels de luxe, la luxuriance permanente est bien en nous. Et notre créativité nous sourit chaque jour, nous envole et nous offre tant de nectars oui supra terrestres, qu’il semble tellement préférable de ne pas être…de l’autre côté. Prétendu le bon – alors qu’il possède des senteurs pestilentielles, un toucher sordide, des lumières tristes et des sons sans frissons. Bref, de l’infréquentable en masse !

 

De ceci, apprenons à multiplier, surmultiplier nos changements de regards sur toutes choses. Demeurons flexibles mais sûrement pas pour les bassesses des corruptions de l’argent devenu sale. Non, juste afin de saisir le meilleur lorsqu’il passe à notre portée, de lui bondir dessus et de joindre ce réflexe à la réflexion qui le suit, lorsqu’il demeure non escamoté, ce bon réflexe ! Le mieux serait des exemples ? Le miel du mieux, mi eux  mi raisin…

 

** -  >> Les propriétés des plantes et des racines sont un million de fois plus riches que nous car plus elles offrent à tous toujours et plus toutes et tous en profitent, s’en épanouissent et sourient de gratitudes. Comme une effusion de profusions. C’est une qualité donc renouvelable à l’infini. L’inversée propriété humaine, elle, se pingre, se malingre. Elle ne se partage jamais, elle se racornit, se rétrécit, meurt sur pied, se rabougrit à un seul. Ce n’est qu’une quantité donc non renouvelable…Rendant (en général) les autres plus pauvres qu’avant vous. Des vices pitoyables que ces propriétés inversées…Aucune faculté de guérison, de bien être, de bonheur donnés aux autres. Bienheureuses propriétés des plantes ! C’est cela même « avoir l’esprit collectif », ne jamais voir le seul mais bien le tous le nombre dénombré. Autant dire qu’aucun média d’argent ne l’a : et donc ne démontre aucune compétence pour parler…à tous.

 

** -  >>  Une meilleure expression ? La bonne expérience « exprime » tout le précieux nectar des fruits de la vie – le cercle vertueux des choses : oui il fait venir à  nous, il rend présent, permet, ouvre tout le trésor de chaque être vivant sur terre. Ce pourquoi toute expression réussie demeurera toujours supérieure au piteux enrichissement…à part. Savoir « exprimer » (ce qui a si merveilleuse odeur) le meilleur en tout reste le sommet de la vie sociale. Sûrement pas la stupide vulgarité d’être trop riche.

 

*** - >> Combien vivent ceci : nous réussissons à aimer moins. Ils interprètent « nous les comprenons mieux » ! Il y aurait eu une révolution sexuelle, paraît-il, nous n’en sommes pas vraiment convaincu-e-s (s’il y avait eu une vraie révolution, l’économie aurait été abolie !). Mais l’amour…a disparu. Enseveli sous les si inutiles objets et les gadgets qui dégradent tout le monde. Qui a vécu l’authenticité aura reçu de nombreux compliments (à déchirer et soulever le cœur) qui ne se retrouvent jamais dans les médias sans…qualités, où tout sent le frelaté. L’étrangeté est que ces personnages qui vous disent, discrètement le meilleur d’eux/elles-mêmes, ne veulent pas, mais dur comme fer, le dire en public. Comme si tout s’y éventait avant même d’être débouché. Ceci se nomme marcher sur le toit du monde et l’argent n’y aura jamais accès.

*** - >> La nouvelle civilisation ? Comment l’expliquer le plus simplement ? Facile. Il serait dit d’un homme : « il fait beau ». Comme le temps. Magnifique, oui il fait beau magnifique, puisque ce n’est pas un rôle mais un être. Un été permanent en vous. Mais si cela existe mais…en dehors du système. Si peu enviable donc ! Système ou le royaume des ratés ? Il y a vraiment de cela…

***- >> C’est que…« Un mot sans signification est une abomination, car quand ce mot échappe à la compréhension, la chose même qu’il désigne disparaît et ne peut être rappelée (p. 476 – Stephen Lawhead – Arthur (cycle de Pendragon III, avril 2003). »…ce système, qui se démontre chaque jour, plus piteux et miteux, ne connaît Rien aux merveilles de la vie. Le langage (qu’il se permet de violer et souiller) est bien la carte incroyable de tous les trésors existants. De seulement respectueusement l’écouter vous offre une abondance de richesses inépuisables. Alors de faire plus que l’écouter ? Oui, de – sans quitter le meilleur des sciences – le ré-raccorder à sa splendeur poétique (étymologie de poésie ? Ce qui permet la création du reste) c’est faire renaître à la vie toute la société.

** - >>> Comme elle sait rester splendide et tranquille la nature ! Pourquoi donc les humains ne tentent jamais de l’imiter ? Le vrai est insurpassable modèle c’est la Nature, aucun humain ne peut prendre sa place, juste parler pour elle. Autant dire que le libéral –capitalisme a tout faux, il s’est entièrement trompé de route, il n’a donc pas à nous diriger. Et tous les dirigeants du monde, avec plus ou moins d’intensité, ne sont que des égarés. Qui ne doivent plus persister dans la mégalomanie grotesque de prétendre nous diriger sans suivre de vraies règles. Ils n’ont plus rien (trop nihilistes pour cela) à nous DIRE. Etc.

 

Oui – quelques sculptures intenses de vérité, et tout reprend forme autour de nous. Bref, mais fulgurant. Nous avons la vision (donc la prévision) et aucun dirigeant ne l’a avec une aussi puissante clarté. Ils ont écarté, si bestialement, les sincères, les penseurs objectifs, le grands artistes et les vrais écrivains – ils semblent donc avoir tout perdu ! Vent souvent devant vent  levant vent  suivant vent connivent…

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Se méfier des meneurs de jeu qui ne pensent qu’au jeu des meneurs (ou le 22 mars n’aura pas été un mouvement à cause des…supposés leaders). Jean Rouch, le « griot gaulois » ? “Pour être au plus près de ceux qu’il choisissait de filmer, Jean Rouch (1917-2004) se donna les moyens de tourner en toute liberté. Il bricola son matériel, se passa de fonds privés, refusa de s’en tenir à la séparation entre documentaire et fiction, et inventa ainsi le cinéma direct et les ethno-fictions. Intrépide et joyeux, il abattit des frontières [[ alors que d’autres n’arrêtent pas d’en foutre et d’inutiles, de couper les ponts, de saboter la communication, de tout parasiter, de se croire plus important que la créativité pour tous, etc.]]

Le-griot-gaulois

« Faire de l’école buissonnière une règle de vie, mais en la faisant très sérieusement. » Tel est le conseil que donnait Jean Rouch aux jeunes cinéastes et qu’il a lui-même suivi. S’il commence à filmer en autodidacte, il a pour lui d’être un fervent cinéphile, grand connaisseur des films de Dziga Vertov, le créateur virtuose, à partir des années 1920, du kino-pravda (le « cinéma-vérité » soviétique), et de ceux de Robert Flaherty, le réalisateur de Nanouk l’Esquimau (1922). Avec ce double acquis, il va construire une œuvre d’une liberté absolue, principalement tournée en Afrique, et qui n’a aucun équivalent [[ trop d’égaré-e-s se veulent frénétiquement des équivalents – or les véridiques originaux (les seuls proches des origines) ne ressemblent vraiment à personne !]]. Car le « système Rouch » repose sur l’idée qu’il faut être au plus près des sujets étudiés, ce qui implique d’être seul, avec seulement un ingénieur du son. Caméra le plus légère possible en main, le voilà donc au cœur des cérémonies, sachant se faire oublier de ceux qu’il souhaite filmer, et cela dans un état qu’il appellera la « ciné-transe ».

Tributaire de son matériel, au départ rudimentaire, l’ingénieur se fait bricoleur, expérimentateur défiant les règles du cinéma classique, faisant fi des aléas techniques et les tournant à son avantage. Qu’importe si l’image tremble parfois ou si le cadre n’est pas toujours parfait : Rouch filme. Et ce que son œil a saisi reste d’une force et d’une beauté stupéfiantes. »…L’authenticité demeure la méthode la plus…rapide afin d’extraire tous les filons et les mener jusqu’à notre vue…Ce qui veut bien dire que ce n’est pas parce que nous les voyons pas qu’ils n’existent pas – mais bien que c’est parce que nous sommes devenus, en général, des sales gosses, bouffis de mauvaises volontés, et qu’il faut tout amener à la portéesi restreinte de ses sales majestés ! Nous n’aborderions donc plus rien ? Nous repliant toujours plus dans notre île…désertée ?

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Quelques des débats jamais abordés ? A force que les fausses « élites » (qui sont, bien plutôt, des anti-élites, tant leur inculture et leur dogmatisme dépassent les bornes) habiTuent la société (les médias mercenaires sont immensément nuisibles) – à vivre dans les illusions, l’irréel, les irrationalités, le non intelligent, les mensonges assassins. Les débats de fond ne sont plus affrontés, sauf en ultra confidentialité, et ne servent donc pas à modifier les mentalités qui vont droit dans le mur. Ici, en illustration, 2 de ces manques criants de débats (dont l’absence crée des milliards de souffrances si…évitables !) : sur l’utilisation désastreuses du langage par les pouvoirs toujours plus irresponsables. Et la destruction de la société par l’oligarchie au sommet qui entre, chaque jour, un peu plus dans la grande délinquance et la nuisance sociale maximale : -

Proclamation-sur-la-vraie-crise-mondiale

** 1) - Selon vous, « la parole ne nomme plus »…Nous avons un rapport instrumental avec la parole, qui fait qu’elle se détourne de nous. On a décidé de fabriquer ce monde qui, au bout d’un moment, est lié à une espèce de processus, et nous échappe. Avec « les temps modernes », nous partions de l’idée que l’Homme allait se créer lui-même, être autonome, se donner sa propre loi… Et cette logique est la même jusqu’à l’auto-fabrication. Mais quand l’Homme arrive à réaliser le programme, une étrange courbure fait qu’il devient un produit [[ toujours plus irresponsable. Il quitte les devoirs du pouvoir, ne contrôle plus rien. En fait, c’est exactement comme si il n’y avait plus de véritables dirigeants, plus de direction commune. La société dérive n’importe comment – et le gouvernail-gouverneur des mots n’est plus de quasi aucune utilité]]. On parle de manipulation génétique, l’alliage entre la biologie et la cybernétique devient possible. Évidemment, tout ça part du principe que la parole n’est rien qu’un équipement à notre service. Et le reste s’ensuit. Si on envisage la parole uniquement comme un instrument, ça veut dire qu’il n’y a plus aucune poésie possible. La contrepartie, ça veut dire que les être parlants sont des déchets. Un déchet ça s’évacue. C’est une conception extraordinairement misérable de ce qu’est un être humain…[[dont nous payons tous les prix forts. Puisque à part les si sains anti-conformistes, tout le monde participe un peu (et quel que soit le déguisement) à la destruction de la civilisation. L’ennemi est à l’intérieur et c’est nous !]]. »

François-Meyronnis-les-classes-moyennes-savent-qu'elles-sont-condamnées

 ***2 - Vous évoquez une époque que vous jugez « vouée à la décomposition »…Le ravage suit son cours, et je ne vois plus quelque volonté humaine que ce soit qui puisse interrompre ce processus. Ça a lieu, ça se déploie, on appelle ça « économie ». C’est un faux système qui aboutit à la destruction et à la dévastation. Et on comprend qu’aucun soi-disant « décideur » n’est en mesure de faire quoi que ce soit. Il n’y pas de frontalité possible. On peut s’opposer à un pouvoir qui aurait une assise déterminée, or la domination présente est essaimée, elle est en quelque sorte évanescente. Être dissident, c’est prendre la mesure de ça. Être capable de comprendre que, dans la dialectique du maître et de l’esclave, le maître a joué le coup le plus extraordinaire qu’il pouvait jouer : disparaître. L’esclave n’a plus personne devant lui. Du coup il n’y a plus que des esclaves. Un dissident, c’est donc celui qui est capable de jouer avec le « tout autre ». Quand tout se ferme, curieusement, quelque chose s’ouvre comme jamais, et ce qui aurait été de l’ordre de l’ésotérique apparaît sous nos yeux [[enfin ceux des vrais anti conformistes qui ne supportent pas les hideuses corruptions affectives et mentales du dire n’importe quoi et d’imposer son égarement aux autres …]]. À condition qu’on se donne les moyens de le voir, bien sûr. On peut dire que c’est un âge apocalyptique, au sens où c’est un âge de révélation.

La question de la « mort-vivante » est très présente dans votre livre…Effectivement, si on décide que tout est profane, les vivants se croient seuls. Les morts, dont on ne sait plus quoi faire, ont disparu. Et celui qui croit vivre dans une vie complètement profane, séparé de tout ce qui l’a précédé, a toutes les chances d’être un mort-vivant.[[ un non incarné, un non sensuel « et » inSensé à la fois !]] lI est coupé de son ombre. Or ceux qui n’ont plus d’ombre, ce sont les morts. Dans toutes les traditions spirituelles, on nourrit son ombre, les êtres parlants ont un rapport avec les défunts. N’avoir aucun rapport avec eux aboutit à des choses terribles. C’est ce qu’on appelle un déficit de symbolique »… qui ne peut conduire qu’aux violents « retours des refoulés » que…

 …quasiment aucun humain actuel n’a la carrure d’affronter bien en face

………………..faute de vécus réels et de densité d’expériences directes ….

 

….………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

danser le pollen suspendu des mots…

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Vent souvent ?
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Le meilleur chemin est souvent à gauche...

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« S’il vous plaît, soyez patient. Notre sélection sur la tendance à tout remettre au lendemain sera bientôt disponible. »

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art we heart

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Vent souvent ?
régularités des formes...

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formes encodées et...

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codes formalisés !

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Vent souvent ?
ne pas rester une voix dans le maquis

ne pas rester une voix dans le maquis

Trois questions à... François Meyronnis - #1 "Proclamation sur la vraie crise mondiale"

Jean Rouch - Portrait de Raymond Depardon (1983)

L'Homme à la caméra (Dziga Vertov)

Francopholie assumée...

des obéissances civiles, très civiles - Manuel Cervera-Marzal, sociologue et philosophe, est un spécialiste de la désobéissance civile..

Robert Flaherty - Nanouk l’Esquimau

A éviter les mots et concepts utilisés – puisque la réalité qu’il y a derrière s’en passe aisément… Gilles Delieuze : Changer de regard. Puisque ceci se passe oui même si le commentaire semble vouloir…prédominer. Changer de regard vraiment.

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