L’orfèvrier ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

L’orfèvrier ?

La beauté se crée, se construit, s’offre à partir d’un écrin. Tout part d’émotions et de sensations rarement vécues. Ensuite, avec l’attention ferme des ouvreurs manuels point la mécanique des prodiges. Et c’est ici avec l’orfèvrier où il y a fève, ouvrier, forger, ouvrir, il y a cet or qui introduit la contrepartie d’un nouvel argument : mais où et ni car. Si agréable à articuler, à faire résonner dans la bouche : il y a bien plus de saveurs que d’habitude. L’orfèvrier. Le tout demeure beau à voir dans le même temps que si savoureux à prononcer or-fève-rier, orfèvre de sa vie et des transmissions qui renforcent toute la société. Nous sommes en plein dans la phase de Reconstruire les sociabilités et les humains dévastés par les barbares des gouvernements. Or - que sont les technologies sans CONTENU, sans contenus il n’y a aucun grain à moudre ? Et le levain ne se lève nulle part. Or des barbares technocrates (pas tous mais une partie) veulent écraser les contenus (qu’ils parent frauduleusement de tous les vices – alors que ce ne sont que des «projections» indues de leurs seuls préjugés…incultes !)…oui ils ne comprennent pas ce qu’ils font. Il faut les contenir dans du sensé sensuel : l’orfèvrier le peut… L’étymologie de Orfèvre, Or-fèvre c’est «forgeron de l’or» (tu rajoutes 2 voyelles et voy l’orfèvrier vient à la rescousse…Lui qui vit variment le mois de Février tout entier)…

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Neurosciences : la “réaction esthétique” est indispensable à notre survie ! (et d’être anéanti le préjugé des artistes sont dans la lune. Au contraire ils sont en plein dans la vraie vie, pieds sur terre. Le seuls «lunatiques» actuels sont les technocrates unilatéraux coupés de toutes les réalités communes comme ces politiciens ivres d’eux-mêmes à l’excès. Le problème devient qu’ils sont toujours plus dans la lune !) «Le cerveau ne produirait pas de réaction esthétique si cela n’avait aucune utilité pour la survie », note Dahlia W. Zaidel, chercheuse en neurosciences comportementales. Le fait que la sensibilité esthétique se retrouve dans toute l’histoire de notre espèce suggère en effet qu’il existe « une fonction biologique et adaptative de l’esthétique, qui va au-delà du plaisir ». La beauté comme boussole (clair, qu’avec elle, nous ne nous perdons jamais mais nous nous…retrouvons ô combien ! Sauf que la beauté n’est pas bourgeoise et affairiste mais bien universelle et donatrice sans conditions ! Ce qui l’immensifie forcément hors de leurs portées…).

La sensation d’être confronté à une forme de beauté serait une boussole servant à nous indiquer que nous sommes sur la bonne voie pour capter une vérité fondamentale au sujet de l’Univers – ou de nous-mêmes (l’orfèvrier nous montre ce que sont ces vérités fondamentales). C’est l’idée du neurobiologiste Semir Zeki, pionnier de la neuroesthétique. Son hypothèse part d’un constat étonnant : la région cérébrale corrélée à l’expérience de la beauté est toujours la même, quelle que soit la source de l’émotion esthétique (un peu comme les « neurones miroirs » qui recouvrent la même région cérébrale que ce soient nous qui tombions ou bien que nous voyons d’autres tomber ! Ce pourquoi nous pouvons entrer dans ces neurones miroirs et amplifier (mais…naturellement – sans technologie !) leurs bienfaits !). Une équation, un visage, un tableau, une musique sont beaux de la même façon pour notre cerveau – les trouver beaux nous signale qu’on perçoit quelque chose de… vrai (le beau, le bien et le bon demeurent le programme de la santé de l’Humanité (le but et les moyens d’y accéder à la fois)). Mais comment notre cerveau sait-il qu’il est en présence d’une vérité ? Peut-être parce que l’ordre structuré de l’Univers dans lequel nous évoluons est justement « reflété dans l’organisation du cerveau » (l’univers est voué à toujours plus d’intelligence ?). Dans l’expérience esthétique, le cerveau vivrait ainsi un effet miroir (très bonne image – d’après ce qui précède !) face à son propre fonctionnement et face à la ressemblance entre celui-ci et la mécanique de l’Univers. Une étonnante découverte sur le “transport esthétique” (c’est l’émotion d’être « ravis »…soit par un ravisseur (qui ravit émotionnellement mais aussi par déplacement corporel) qui nous fait voyager loin du point de départ : la beauté reconnait, alors, que c’est « ravissant » (acte de ravir et d’être ravi.e.s) !)

En se demandant quelles régions du cerveau s’activent lorsque nous faisons l’expérience de la beauté, une équipe interdisciplinaire de l’Université de New York (le neuroscientifique Edward A. Vessel, la professeure en lettres G. Gabrielle Starr et la spécialiste de la perception Nava Rubin) fait au début des années 2010 une curieuse découverte. Lorsque les sujets de leurs expériences, enfermés dans un scanner IRM et confrontés à des images, font état d’un ravissement esthétique maximal, l’appareil révèle une activation des zones cérébrales qui forment le « réseau du mode par défaut ». Étrange. Car ce réseau n’est censé se mettre en marche que dans les moments de… repos éveillé : lorsque le cerveau, en l’absence d’une tâche ou de stimuli extérieurs, n’est connecté qu’avec lui-même (son mode de réflexivité qui ajoute oui des…dimensions aux 4 habituelles. La beauté se multiple grâce aux géométrisations des représentations mentales. Ce pourquoi les rythmes sont reconnus comme nous…préexistant. Alan Turing (qui inventa les ordinateurs) nous informa aussi que « peu de formes, rythmées différemment, constituent la visibilité de toutes les formes de vie. Nous admirons à l’infini ses apports irremplaçables à la beauté du monde !). Or dans ce cas, un stimulus est bien là : l’image qui déclenche le transport esthétique…Que signifie cette anomalie (qui n’en est que pour les infertiles conformistes, soit ceux/celles qui refusent de…savoir, d’observer, de vérifier, d’écouter, qui compliquent donc tout à coups d’intenses…dénis du réel !)?

L’art, notent les auteurs dans un article paru en 2013 dans Frontiers in Neuroscience, « obtient un accès au substrat neural impliqué dans la perception de soi : un accès que normalement les autres stimuli extérieurs n’obtiennent pas (la réflexivité, pour nous, est un des si nombreux avantages existentiels à avoir abandonné…tout égoïsme. Le morne narcissisme est une image plate, compressée et sans sensualités de soi-même. Perdant.e.s qui en deviennent addictifs !!) ». La beauté, et elle seule, réussit cet exploit. Ceci « permet à l’œuvre d’art d’interagir avec les processus neuraux liés au soi, de les affecter, et peut-être même d’être incorporée en eux (qui ne pense pas à soi outre mesure reçoit toutes les récompenses gratuites de l’univers – ce que la boule fermée et dure d’égoïsme ne peut effectivement pas recevoir !) ». Cet unisson, ce « moment où le cerveau détecte une certaine harmonie entre le monde extérieur et notre représentation intérieure de nous-mêmes (pourquoi ne pas dire, plus simplement, que « nous sommes sur la même Longueur d’Onde » ?…L’univers, qui ne pense pas à lui-même, déroule des ondes…plus profondes et paisibles que les humains frénétiques. Se sentir en «accord» avec lui c’est rester dans ces ondes bienfaitrices, tout simplement !) » nous donne l’impression que la beauté « nous touche du dedans ». Ce mécanisme appartient à l’espèce, mais le résultat est individualisé : l’expérience esthétique me dit qu’un accord se réalise – et que c’est important pour moi (bref, vaut mieux être du côté de l’univers que si séparés de lui !).

Priver les êtres humains d’art, qui est une partie importante mais une partie seulement de “la culture”, serait donc les priver de quelque chose… d’essentiel »…Les diagnostics insensés des technocrates inhumains et des politiques égarés prouvent à quel point ils ne sont jamais dans la vraie vie. Vraie vie qui, ici, nous fait une démonstration Majeure de la supériorité des gratuités qui mènent toutes le…vrai monde. Et pas l’immondialisme si obsolète !

http://www.slate.fr/story/199326/medias-linguistique-langue-vulgarisation-reseaux-sociaux-youtube-podcasts

«Ce n'est pas parce que le sujet est plus traité qu'il est mieux traité» (ce que nous disons sans cesse : les conformismes foireux se privent d’au moins…80 % de la réalité. Le quantitatif, pour ces immatures obstinés à le rester, « prouve » tout, nombres de likes, nombre de …et de… ne permettent surtout pas d’accéder au réel CONTENU des textes…donc en croyant savoir on se prive stupidement de réellement…savoir. Comme ici…)  : « Bien sûr, les réseaux sociaux ne sont pas non plus la panacée. «La linguistique intéresse a priori les étudiants et des CSP++, mais il est difficile d'avoir du recul sur ceux qui nous lisent», jauge Mathieu Avanzi. Même si les mèmes linguistiques, relayés par Topito ou par la page Mèmes décentralisés, peuvent être une porte d'entrée efficace pour tout un tas d'internautes avides d'en savoir plus sur ce que recèle la langue (sauf que de ne pas l’expérimenter en direct dans tous les faisceaux de la vie quotidiennes c’est demeurer aussi… superficiels que les…superficies ! Croire savoir reste pire que de ne pas savoir du tout…).

 

In fine, les plus grands écueils sont les idées reçues colportées par les médias voulant bien faire (s’illusionnant surtout…mais ne vérifiant pas et ne débattant jamais…c’est une faute grave envers l’Information et leur propre déontologie ). «Par exemple, le traitement des langages des jeunes reste superficiel sur de nombreux points. Les médias se contentent de lister les mots exotiques (omettant de prendre conscience que ce sont eux (médias dominants)…les sources de fakes news (informations tronquées, non insérées dans un contexte rationnel, lancinants conflits d’intérêts, omissions répétées et jamais de synthèses de tout, etc….voici qui détermine une très mauvaise volonté globale : clair qu’ils ne veulent surtout pas…Informer). C'est à mille lieues des recherches sur les parlers jeunes (en clair, les médias mainstream désinforment, égarent, enlisent, aveuglent sur les contenus… essentiels, et, au final, empêchent furieusement de…savoir ensembles. Ils ne sont qu’une nuisance que « l’écologie mentale » doit remplacer et vite !). En réalité, leur inventivité lexicale n'est pas si grande (oui ils ne servent plus à Rien qu’à faire du mal à la société). La vraie spécificité se fait plutôt au niveau du débit», insiste Laélia Véron (omettant de dire que c’est par la diction corporelle ; émotionnelle, affective, existentielle et morale que le sens (dictionnaire) se fait. Ne se séparant jamais de l’essentialité du son…qui (selon toute probabilité ) rendit, d’un coup, si réel l’univers naissant….

La maîtresse de conférences en stylistique met en garde les médias qui voudraient capitaliser sur un buzz facile. «Ce n'est pas parce que le sujet est plus traité qu'il est mieux traité», conclut-elle. » Ce qui nous permet d’introduire toujours à la nouvelle civilisation que ces universitaires embourbés oublient tout simplement de…dire. De prononcer (nous allons même voir la différence entre prononcer et Se prononcer) !!

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>> ---- Tant l’affectant tant que l’effectuer c’est ceci : les criblés d’effects, d’effets effectués se domptent par qui l’affection inconditionnelle reçoit les bons effects (étymologie = impacts). Qui sont affectés du meilleur de tout. Contre tous les passions tristes, les nocives émotions négatives, les mensonges des sentiments inhumains et discriminatoires des pouvoirs trop débridés actuels. Mais c’est quoi ? Le lecteur ne peut être électeur contraint de ne pouvoir lire et élire dans des élections que truquées – lorsque lire reste ouvertures complètes surpassant tout lecteur électeur devenu impossible  - elle/il ne peut… même pas  lire le texte : il n’y en a que des salves d’ordres plus insensés les uns que les autres ? Or février ? C’est que lecteur et délecteur est toute la lecture, la gigantesque saveur du vrai savoir, la sapience du sapiens, l’homme actuel qui est né par le goût – se dé-lecter c’est devenir lecteur si expérimenté. Qui sait donc lire entre les lignes. Pour qui toute librairie doit devenir le libre intégral, la liberté qui est toute elle. Joindre tout le corps aux déchiffrements défrichements de l’inculte même. La vraie culture (que le si attardé et retardataire argent sale voudrait la supprimer) se maintient tel un joyeux effort quotidien. Et ?  à rechercher ceci : mais où sont les esprits libres ? La réponse est partout et toujours…il n’y pas d’illégaux régimes qui puissent te prendre ta liberté intérieure. Ni l’amoindrir ni la dévier Elle te reste intacte toujours : ce constat se retrouve dans toutes les mentalités et comportements – le « guerrier urbain » (spirituel – Dr Barefoot) qui ne s’occupe pas de politique mais affiche que la surconsommation abime sa liberté n’a pas de réponse politico-sociale mais va élargissant qu’il ne faille pas avoir peur il reste toujours et partout libre à l’intérieur. Et qu’apporte de savoir cela ?

Donc la liberté rencontre une multitude d’allié.es. La beauté en tant qu’une qualité inépuisable (puisque n’entrant dans aucune quantité) en est une très puissante. La plus indomptable puisque nul.le ne peut l’enfermer dans un combat particulier. Elle glisse entre tous les doigts pas très clairs. Reconstruire le monde saccagé par de faux dirigeants devenus pires que des délinquants obtient donc tous les meilleurs soutiens...Le vécu du futur est tout à nous ils n’en ont que de si vains fantasmes coupés de tout réalisable !

Ce-que-je-conçois-bien-m'énonce-clairement-!

Ce que je conçois bien m’énonce clairement : « L’histoire de l’humanité commence par un commencement qui jamais ne sera décrit avec des mots mais pas non plus sans eux (rappelons que le texte l’Origine existe et reste gratuit sur freethewords.org !). Tous les penseurs estiment que ce qui définit l’homme c’est le langage et qu’il n’a pu se poser la question de son origine qu’à partir du moment où il en a eu un (le langage alors l’engage…). Si bien que s’est alors posée la question de la question : comment faisait-il avant et comment l’a-t-il eu ? Cette recherche se fait évidemment à l’aide du langage, ce que je fais à l’instant, mais qui devrait aussi se faire sans, ou du moins qui devrait nous inviter à nous placer dans la situation où nous n’en avions pas (invitation remplie : ce que le texte l’Origine dit sensuellement (1ère parie du livre « L’ardeur sociale »)…). Comment faire (si c’est déjà… fait et qu’il est fait comme si ce n’était… pas fait ?) ? Comment nous, êtres de langage, nous mettre dans la situation où nous en étions privés ? Comment reconstituer ce processus où le langage, peu à peu, nous est venu ? (ibidem).

Le langage est le pont qui nous relie aux choses qui nous entourent et que nous rencontrons dans notre expérience. Le mot table correspond à un objet bien précis sur lequel tout le monde est d’accord. Pareil pour le mot masa (table en turc), et pareil pour ces centaines d’autres mots qui ne sont que l’image (sensations+ émotions + sentiments = ne soyons plus jamais…abstraits, trop stupidement extraits des réalités !) dans notre esprit des choses réelles autour de nous. Quand je dis un mot, aussitôt surgi en mon esprit l’image de ce à quoi il correspond et, réciproquement quand je vois un objet, se lève en mon esprit, sans même que j’en sois conscient, l’image-mot qui lui convient. Plus difficile est d’inventer des mots qui correspondent non à des objets mais à des…actes et plus encore à des…sentiments et des idées, niveau atteint il y a quelques trois mille ans. Des millions de gens ont pendant des milliers d’années, prononcé des mots …sans les écrire. Apprendre à parler a été l’activité première des enfants venant au monde sans pour autant qu’ils deviennent capables d’écrire ce qu’ils disaient ou entendaient. Des analphabètes, gens ne sachant que parler sans savoir lire et écrire ont été la… majorité des humains pendant des millénaires (ce pourquoi la morale est…orale ? Et que l’oral, à jamais, nous maintient à l’orée (orale) des mystères ! Mystères non…prononcés…). Le langage est ancien, l’écriture du langage est plus récente même si on peut faire l’hypothèse qu’ils sont nés en même temps ou presque en même temps. Comment les sons exprimant des perceptions ou des sensations sont-ils devenus peu à peu un langage de plus en plus complexe et subtil pour aboutir à ce qui nous sert aujourd’hui de moyen irremplaçable grâce auquel nous pouvons exprimer des idées si profondes que parfois elles sont… incomprises à beaucoup (étrange formulation qui s’évanouit dès que la parité le son est aussi le sens mais que le sens traverse le son et…le transporte ailleurs aussi !)

Mais ce n’est encore rien car surgit une énième difficulté qui est de savoir quelle est… la nature du lien qui unit cette intelligence du langage au monde et à moi dans le monde. Le penser vient-il du monde ? De l’homme en lui ? Le langage a-t-il suffit pour penser et me penser pensant le penser, ce Vide si plein de Moi ? (réponse proche)…Parler c’est être (non… avoir, avoir qui se perd dans le quantitatif muet qui ne sait pas…qualifier (offrir les…qualités !)). Être c’est avoir la conscience de soi et du monde. Et alors avant, il y avait quoi ? « A l’aube profonde du déploiement de son Etre, la pensée ne connaît pas le concept. Elle connaît le buisson, la montagne, la mer, la précipitation elle-même des choses visibles comme l’en.jambée de l’être ».

Le mot est lâché : concept. C’est quoi un "concept" (sinon ce que sa conception charnelle permet de ressentir (soit la co-naissance reste une…naissance à ce que nous n’étions pas avant ! De quoi nous rencontrer nous-mêmes sous un soleil neuf non ?)…Un concept répond, à la fois, aux exigences insubmersibles de la raison tout en les rendant charnellement éprouvables. Prouver et éprouver (é-prouver) participent du même effort de communiquer (de commun-iquer)…que les offrandes soit communes. Universellement partagées )? Mieux, le concept de "causalité" n’a pas non plus soi-disant de son charnel ( et pourtant immense et immédiat se prouvent ses milliards…d’impacts multipliés ! : pourquoi la cause nous fait vraiment…causer, tant parler, de ce quoi on cause encore ?) (… D’où la surprise de ce surgissement sans motifs - tant la gratitude c’est envers les gratuités…et que les comportements précédents, pourtant,…tant refoulaient !)-. Penser c’est remercier (si cela pouvait être vrai…et cela peut l’être). »…En effet (ce qui suit les causes), les formulations ne sont pas adéquates. SE prononcer (se dire soi-même, parvenir à faire remonter le fond de ses pensées – se hisser sur ses racines - faire advenir son authenticité - ne plus proférer que l’essentiel) vient…de prononcer. Tu ne prononces pas bien tu ne Te prononces pas bien...(prononcer = énoncer, exprimer, etc.). C’est donc tout corporel, bien charnel

…et inclut tout le corps, tendons, respirations, articulations (les plus puissantes afin de nous aider à articuler chaque mot), vues et auditions, immense etc. !)…oui tout notre être au monde unifié pour tout dire…d’une seule voix. La voie qui s’éclaircit alors d’être prononcée…et c’est le cheminement entier même qui Résonne. Humble mais d’un accueil démesuré (les mots sont faits pour les dire à… Haute voix, les …prononcer c’est les annoncer en quelque sorte)…Hors de la charnellité du langage pas de salut…Un exercice tout simple pour le vivre directement. Oui ?

Toujours-c'est-tous-jours.

« Le langage n’existe pas pour que des linguistes viennent nous expliquer ce qu’il… veut dire (lui il le dit direct…). L’échec d’un tel simplisme est complet et annule ces…spécialistes sans rien de spécial). Pourtant, les chercheurs désintéressés, passionnés par ce mystère, sont bien en train de réussir, eux. Comment dire tant de choses en… peu de mots ? Rousseau athée disait, en substance, «et pourtant je ne peux pas concevoir que le langage ait pu être inventé par des moyens humains». Est-ce si inaccessible à comprendre : pour chacun.e des êtres humain.e.s uniques il aura fallu pas moins de tout l’univers afin de nous concevoir (à tous les sens du terme). Oui 13,7 milliards d’années lumières pour toi, pour toiiiiiiii et pour chacun.e d’entre nous…Nous sommes irremplaçables dans le sens que jamais plus une singularité comme la nôtre n’apparaîtra. Ce sera toujours différent mais plus jamais nous (trop uniques) ne reviendrons.

Et pour le langage ? Le problème massif reste que si un homme préhistorique, même plusieurs, par des mimiques et des cris gutturaux parviennent à articuler des mots (ils le peuvent lorsque devenus homo sapiens sapiens) – cela ne résout pas un micron du mystère. Soit formulé de telle façon que tout le monde puisse, avec un peu d’effort, comprendre (ah pas comme dans les universités où le but resterait de tout compliquer à foisons ?) : comment se fait-il que, dès le départ, que le système langage ait pu intégrer TOUS… les développements futurs ? Toutes les transformations incluses d’emblée : un peu comme si le langage fonctionnait comme… une graine qui contient tout l’arbre dedans ! Ou bien possédait une forme de code ADN germinatif : bref, ce qui ressort est que le langage est… très connecté…avec le vivant ! Il ne montre ni ne démontre un fonctionnement abstrait…L’homme préhistorique invente une formulation qui se développe sans cesse, demeure cohérente avec elle–même et peut… accueillir toutes les découvertes, toutes les pensées non encore nées et autre surprise merveilleuse. Sauf, qu’afin d’y parvenir, cet humain préhistorique (femme ou homme) aurait eu la prescience de tout le futur…

…………………hé bé de quoi s’interroger longtemps encore. Surtout lorsque toujours c‘est tous jours

……………………….Tous les jours…

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L’orfèvrier aura donc si bien œuvré

 

………………que le mois de Février en devient plus court que les autres :

 

…  …(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

          Que la vaste offrande au monde entier nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits, https://www.freethewords.org/  onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 Nous sommes la santé de la société

 …les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 600 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Couverture Bernard Louédin (Breton méconnu...) et ici... Anna-ulman-dance-photography-

Couverture Bernard Louédin (Breton méconnu...) et ici... Anna-ulman-dance-photography-

L’orfèvrier ?
l’art de l’orfèvre…

l’art de l’orfèvre…

L’orfèvrier ?
Hugo Suissas / Instagram

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Crédit photo : @atlas_scottish_fold

Crédit photo : @atlas_scottish_fold

L’orfèvrier ?
Becca Saladin : royalty_now_ / Instagram

Becca Saladin : royalty_now_ / Instagram

L’orfèvrier ?
L’orfèvrier ?
de bing.com

de bing.com

Robert Lebarbier ....Prochainement, le texte périodique sur le Covid et sa crise mais pas assez sur …les moyens de s’en sortir – ici partie solution prépondérante……

Robert Lebarbier ....Prochainement, le texte périodique sur le Covid et sa crise mais pas assez sur …les moyens de s’en sortir – ici partie solution prépondérante……

  123rf.com

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Anna-ulman-dance-photography-

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  Serge Doceu

Serge Doceu

Bernard Louédin

Bernard Louédin

Clique x Kaoutar Harchi…Auteure et chercheure en sociologie, elle révèle les travers de notre société en questionnant le modèle social français par le prisme de la littérature. Une première…12 mn…

Maître orfèvre et savoir-faire

11 mn…Images preuves, images témoins (Ciné Poème n°55) de Léole Poubelle

orfèvre forgeant l’or

Rencontre avec Marion Zilio à propos du livre des larves : « Il n’y a rien de plus répugnant qu’une larve. Pourtant, leur grouillement anonyme, dénué de toute pensée, exprime un état fondamental du monde : celui de la transformation permanente de la vie. Plonger dans le monde des larves, c’est plonger dans le cœur mouvant, luisant, blafard, de la matière dont tout est fait, à commencer par nous. »

Hystérie collective – "Les dirigeants occidentaux s’efforcent de modifier la définition de la réalité »…Nous absolument pas puisque et la réalité et la Raison nous conviennent : chacun.e s’y retrouve en confiance par les raisonnements et par les faits…évidemment si l’on ment, toujours moins d’arguments rationnels moins de faits probants – au bout : des défaites… défaites par les faits…

You are the only one always thinking to all the others
Before thinking to you
We are so proud of you

You make the share you make the movement you build the respect
Without you the civilization yet had collapsed

Cool mammy cool we need so much you
Cool mammy cool we need so much you

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