Avec ses 4 000 coopératives, cette région italienne ne connaît pas la crise

Publié le par imagiter.over-blog.com

Avec ses 4 000 coopératives, cette région italienne ne connaît pas la crise

Fin du salariat et vite ? Oui mais alors comment ? Ne suffit pas de le dire pour que tout naisse en immaculée conception. C’est que nous entrons dans l’associété de la réciprocité généralisée. Aussi ? Nombres d’expériences réussies se voient gommées par un dogme complet rigide qui ne…sert à rien sans la praxis. Que mettre à la place du salariat ? Par chance, ici c’est du lourd. Et le capitalisme libéral ne sera plus « aidé » par ses contestataires mêmes…

« De cette région septentrionale de l’Italie, on connaît surtout le jambon de Parme, le vinaigre balsamique et le parmesan. Moins les 4 000 coopératives qui contribuent à sa prospérité… Un écosystème [[sociosystème plutôt ]] pourtant étudié avec attention par de nombreux responsables politiques et activistes en quête d’alternatives économiques.

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En juin 2017, pour ses cinquante ans, Cotabo, la plus importante coopérative de taxis d’Émilie-Romagne, s’est offerte une nouvelle jeunesse. Elle s’est équipée d’une appli qui permet à ses clients d’appeler une voiture en quelques clics.  "Après la crise de 2007, nous avons constaté que notre profession était en train de changer très rapidement avec l’arrivée d’Uber et de Mytaxi. Nous avons alors lancé notre appli pour tablettes et smartphones", explique Marco Benni, le directeur général de la structure. Moyennant une cotisation de 2 000 euros, les 540 chauffeurs de taxi de Cotabo ont accès à des services d’assurance, de consultations juridiques, de lavage de voiture et d’approvisionnement en essence. "Nous sommes plus forts ensemble que chacun dans notre coin. Cotabo a permis aux artisans taxis de rester compétitifs tout en leur donnant accès à un mode de gestion plus démocratique. Tous les membres peuvent voter et prendre part aux orientations de notre coopérative."

 

"Nous avons adopté la forme coopérative car elle correspondait le mieux à nos objectifs de cohésion et de durabilité sociale et environnementale", explique Samanta Musaro, une des gérantes de cette boîte de communication et de consulting qui intervient aussi dans le secteur éducatif.

 

Le bastion des coopératives rouges : Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l’Émilie-Romagne était une des régions les plus pauvres d’Italie. Elle en est aujourd’hui l’une des plus prospères. Elle s’est hissée, en quelques décennies, au deuxième rang national, sur vingt régions, en termes de revenu par habitant. Ici, le taux de chômage est près de deux fois plus faible (6,6 % en 2016) que la moyenne nationale (11,1 %). Pour comprendre les raisons de cette bonne santé économique, il faut examiner les rouages d’un tissu économique local unique. En Émilie-Romagne, près de 3 millions de personnes (sur 4,5 millions d’habitants) sont membres d’une coopérative. Et les 4 000 coopératives de la région – un dixième du total italien  – représenteraient, selon les estimations, 25 % à 30 % du PIB de la région pour 15 % de l’emploi.

Née dans la deuxième moitié du XIXe siècle, porté par les idéaux socialistes, mais aussi par ceux du catholicisme social, cette économie a été encouragée et soutenue de manière très volontariste par la loi italienne, dans les années 1970 à 1990. Ce dynamisme s’est traduit par la création d’un sociosystème de 300 000 PME (tous statuts confondus, avec en moyenne cinq salariés), souvent familiales, liées entre elles par des réseaux étroits, verticaux ou horizontaux, construits au fil des décennies. Ces sociétés, à l’image de Sacmi, mondialement réputée pour ses carreaux de céramique, sont souvent spécialisées dans des marchés de niche dont nombre d’entre elles sont devenues des leaders mondiaux.

Ces PME, capables de réagir très rapidement aux demandes du marché, œuvrent en priorité dans le secteur des machines-outils, de la distribution, de l’agroalimentaire, et du service aux personnes. "Sept des dix plus importantes entreprises de Bologne sont des coopératives ", insiste Daniele Passini, dans son bureau au dixième étage d’un imposant bâtiment du quartier des foires et congrès.

Des co-Opératives qui créent de l’activité : Ce sexagénaire est le président de la Conf­cooperative de Bologne. Créée en 1945 par des syndicats catholiques, la Confcoop est, au niveau national, la principale organisation de représentation, d’assistance et de protection des coopératives. En Émilie-Romagne, elle arrive au second rang, derrière la Legacoop, la fédération « rouge » appuyée par les partis communiste et socialiste italiens, aux affaires au niveau régional, dans les années 1970 à 1990.  En pleine période de crise, quand les grandes entreprises "classiques" réduisaient la voilure et licenciaient, les coopératives continuaient d’embaucher, poursuit Daniele Passini. Une exception, de taille : le secteur des coopératives immobilières de la région. Laminé par la crise, il a laissé 5 000 employés et ouvriers (80 % de la profession) sur le carreau.

     

"La plupart des autres coopératives ont continué à recruter, tempère Pierlorenzo Rossi, directeur de la Confcooperative d’Émilie-Romagne. De 2006 à 2016, nous avons créé plus de 3 000 emplois dans la région. Le système coopératif poursuit une logique différente de celle des entreprises classiques car notre finalité n’est pas le profit. Nous cherchons avant tout à créer de l’activité et à offrir de la participation à ces activités à nos membres." L’échelle réduite des revenus, qui ne dépasse jamais un à dix dans les coopératives, a "contaminé" l’ensemble de l’économie locale. Le coefficient de Gini, qui mesure les inégalités de revenus (0 signifiant une égalité parfaite et 1 une inégalité parfaite), montre que la région "bolonaise" est l’une des plus égalitaires et des plus équitables d’Italie : 0,242 en Émilie-Romagne contre 0,370 en Italie… et 0,408 aux États-Unis.
 
Le politologue américain Robert Putnam a été l’un des premiers à démontrer que le capital social (l’ensemble des connexions sociales qui régissent une société : réseaux familiaux, amicaux, associatifs, syndicaux, militants, etc.), très fort en Émilie­Romagne, avait des répercussions indéniables sur la vie économique et sociale de la région. "Lorsque la confiance et les réseaux sociaux sont florissants, les individus, les entreprises, les quartiers prospèrent. La sociabilité a aussi des effets physiologiques prouvés. Les individus connectés résistent mieux aux microbes et au stress. Ils sont plus heureux", écrivait Putnam, en 1993, dans un ouvrage non traduit (Making Democracy Work : Civic Traditions in Modern Italy). »

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Ne suivre aucune des règles désorganisatrices de l’antisocialité capitaliste (où les immenses majorités sont perçues et traitées comme ennemies des profits « si immérités » du petit nombre) est donc un bien, dans tous les domaines, pour quasiment tout le monde. Une personne, un vote : "La cohésion sociale de l’Émilie-Romagne tient aussi à son réseau très dense de coopératives sociales. C’est le meilleur de toute l’Italie", insiste fièrement Stefano Zamagni, professeur émérite d’économie à l’université de Bologne. En Émilie-Romagne, 60 % des services sociaux sont assurés par des coopératives. " Les municipalités ont compris que la gestion d’un service aux personnes était de meilleure qualité quand il était exécuté par des coopératives, formées de personnes compétentes et motivées, qui n’ont pas les profits pour but", explique Alberto Alberani [[ le capitalisme est structuré bien trop antisocial pour s’occuper humainement du social…son incompétence inhumaine doit rester soulignée…]].

     
Le président des coopératives sociales de Legacoop, installé dans un petit bureau, au neuvième étage d’une tour en béton, martèle les principes et valeurs phares qui sont ceux des coopératives : mutualité, attention aux autres, démocratie (une personne, un vote), réciprocité (implication dans l’entreprise contre interdiction des licenciements), attention portée au temps long, absence de répartition des bénéfices qui doivent être placés dans des réserves à l’intention des générations futures." La qualité de nos services de santé et de sécurité sociale, parmi les meilleurs au monde, explique en grande partie la cohésion sociale et la qualité de vie que nous connaissons ici", assure-t-il. Un exemple de ce volontarisme mutualiste ? Tous les foyers émiliens, explique-t-il, payent, au mois de janvier, une petite taxe allant de 20 à 80 euros, qui permet de financer des services supplémentaires en faveur des personnes âgées et handicapées : aides à domicile, financement de maisons de retraite et de centres pour handicapés.

 

Autre exemple de maturité et de responsabilité politiques ( complètement absentes du brouillon bâclé capitaliste libéral) : Prévenir plutôt que guérir : Fondée en 1983 et spécialisée dans l’archivage de données et la mise sous pli de documents, Giovani Rilegatori est l’une des plus anciennes coopératives sociales d’Imola. Située à 30 km de Bologne, cette ville de 70 000 habitants est l’une des plus dynamiques en la matière. L’entreprise emploie aujourd’hui 25 salariés, dont 12 sont en situation de handicap.


"La forme capitaliste des entreprises détruit le tissu social et la culture démocratique. Ma mission est avant tout de donner de l’activité aux travailleurs handicapés, mais aussi de sensibiliser notre environnement immédiat à l’urgence de changer les règles du jeu et à créer un modèle économique inclusif, plus juste et moins inégalitaire. Avant de travailler chez nous, explique-t-il en désignant un ouvrier en train de manipuler un chariot élévateur, Domenico devait se rendre deux fois par semaine dans un hôpital psychiatrique. Depuis qu’il a intégré notre entreprise, ses séjours en milieu hospitalier ont cessé."

 

Vingt-cinq chercheurs, soutenus par une communauté de 25 000 membres, travaillent dans cette entreprise de pointe. "Participer à une coopérative, c’est être conscient que votre action à des implications sur d’autres hommes [[ le capitalisme régressif demeure au niveau de l’inconscience barbare…]]. Que vous êtes responsable des membres de votre structure et de votre communauté mais aussi, indirectement, des millions de personnes dont la vie peut être impactée par vos travaux", glisse Daniele Mandrioli, le jeune coordinateur des recherches de l’Institut Ramazzini [[le capitalisme pervers narcissique, lui, se braille irresponsable des conséquences de ses si nombreuses prédations. Cette désorganisation collective ne supporte pas la comparaison…]].

     
Explosion des inégalités sociales, crises écologiques, aggravation du changement climatique… "Nous le savons, le modèle capitaliste n’est plus soutenable. Le problème est de savoir comment en sortir et quelles alternatives proposer", tonne Stefano Zamagni. L’économiste est convaincu que la formule coopérative, plus démocratique et redistributive, conduira à "une nouvelle renaissance."  "Quelque chose d’important devrait changer d’ici une quinzaine d’années", glisse-t-il, l’air soudain mystérieux. » (Par Éric Tariant, le 30 Avril 2018). Disons, qu’au grand soulagement général, le capitalisme libéral aura rassemblé toutes les intelligences contre lui. A part les « médiocrates » abusifs, plus grand monde de valable qui le soutienne…

 

Subsidiarités-des-territoires.pdf

 

PRATIQUES ET FORMES DE CO-CONSTRUCTION DES POLITIQUES PUBLIQUES en Italie - La citoyenneté active entre l’approche des communs et le principe de subsidiarité horizontale dans les territoires.

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Lorsque les médias d’argent reprennent quelque chose c’est que sa formulation pas assez radicale lui…« convient ». Ainsi de la « convergence des luttes » qui redore son blason, au capitalisme, en démontrant qu’il reste digne que soit lutté contre lui et que tant de luttes existent. Alors que ce que nous devons lire c’est la «convergence des solutions» puisque le capitalisme ne survit qu’en provoquant des problèmes sans solutions. Il restera donc toujours en dehors de toutes les solutions : le grotesque de ses comportements lourdauds, comme la farce du capitalisme vert, en demeure une preuve flagrante. Ce ne sont donc pas les luttes qui prédominent mais bien d’arracher de nos têtes et de nos cœurs la moindre trace de ces cruautés antisociales et de l’immaturité collective, que restera l’incorrigible capitalisme (le gang des cancres !). Il disparait parce que plus rien de lui ne survit en nous. N’étant sérieux sur rien, il est tellement facile de l’éradiquer entièrement…

Afin de compenser la tare de ne plus savoir penser d’un grand nombre la «convergence des solutions» devient d’une grande aide. Elle fait cohésion forte. En effet, une grande partie des humains ne connait plus son imagination, l’ardeur de son cœur, le désir puissant de revivre une socialité forte et – à partir de toutes les informations accessibles mais aussi de l’écoute des autres – ils ne parviennent pas à la conscience claire que le système qui parait dominant ne l’est pas du tout. Il a déjà quitté tant de têtes et de cœurs. Et, sans les abusives répétitions harcelantes et martelées (très peu « amicales » non ?) de ses grigris superstitieux médiatiques, tout le monde prendrait conscience de son inadaptation complète à diriger la société. Le manque de force intérieure qui permet de s’apercevoir que le « que mettre à sa place » est déjà sacrément bien avancé : tout est en place pour l’éjecter et le remplacer par une nouvelle civilisation à lui tellement supérieure. Pour nous N.R.V. (Noir Rouge Vert) trace la route !

Et, dans le détail, c’est quoi, alors, la «convergence des solutions» ? Afin de le comprendre, il faut déjà s’imprégner de ceci ; la permaculture, à succès fulgurant, n’est pas une lutte mais une évidence face au désastre de l’agriculture intensive, intensivement destructrice. La permaculture s’impose partout et seule l’agriculture stupidement intensive « lutte » contre cette évidence. Ceci compris, il est possible de ressentir la « discrétion » intégrale des « solutions » qui surgissent si loin des malhonnêtetés intellectuelles massives de la honte capitaliste libérale. Son souvenir sera un « il aura toujours menti sur tout ». C’est dire. Et donc l’économie circulaire devant la symétrisation de la stupidité abyssale de l’obsolescence programmée, a vraiment…réponse à tout. Le zéro déchet (comme la Nature) démontre la supériorité procédurale de cette économie symbiotique. Vivant le biomimétisme (afin d’aider la nature à sortir de la mort capitaliste, il faut imiter ses ressources et méthodes) comme la Nature sait tout mieux que nous : la preuve ? Elle recycle absolument tout…naturellement. Pour elle le mot déchet n’existe pas. Alors que l’idiotie capitaliste fait scandale : il ne sait que gaspiller (donc piller) en masse. Pas douée du tout cette arriération. Fin des gaspillages = fin d’une grande partie des insupportables injustices sociales. Oui c’est se conduire en « déchet déchu » que de favoriser les inégalités collectives reconnues comme de très fortes nuisances. Etc.

La «convergence des solutions» est, en fait, accomplie. L’anti-progrès libéral est…encerclé de solutions. il ne pourra pas y échapper. Et, ainsi, la bêtise d’inertie de nos contemporains est contournée. Pour ces conformistes effondrés à qui il faut un système complet avant qu’ils l’admettent – comme si une maison se dressait, finie d’un coup, sans fondations préalables. Comme si un bébé naissait instantanément en appuyant sur un bouton. Alors que toutes les preuves …convergent afin de voir clairement… 1) - que les faux dominants, piteux et miteux, ne dominent plus rien...et 2) - que tout est en place pour ne plus leur permettre de détruire quoi que ce soit…et l’exigence Folle d’un conformiste immature de trop de preuves antérieures (au point que seule la concrétisation, donc sans fondations donc sans genèses ni  prénaissances, parvient à leur esprits si lents et à leurs cœurs morts !) est même réunie…des miracles ont eu lieu grâce à des précurseurs intraitables et indomptables. Et qui a la chance incroyable de continuer à penser ET à ressentir vit, actuellement, une gratitude sans limites…la Nature avait commencé à nous aider avant que nous nous foutions à l’aider. Les réparateurs/ trices ont tous été expulsés par le système de la plus haute concentration de bêtises et de mensonges…celle qui préside toujours aux fins de règnes indignes !

Co-Opératives, coOpération, co-Évolution = concourir, converger ensembles,  ouvrage qui ouvre, produire des effets…non des marchandises ; opérer la bonne cure, guérir par la chirurgie adéquate, alors imaginons les gigantesques Bienfaits de co-opérer, etc. Si incroyable que les solutions soient des…solutions. Que les problèmes finissent donc ! Oui, solutions aussi dans le retour des services publics à but non lucratif, des biens communs qui expulsent toute notion abjecte de profits dans de nombreux domaines sociaux et culturels. Fonctionnent à plein les structures matérielles et logistiques de l’ex-état devenu de l’autogestion fédéralisée – état détruit par les anarchistes néolibéraux qui osaient plus d’état mais qui le veulent (sans aucun motif défendable) hyper autoritaire, intrusif, abusif, curé des opinions des autres, abusivement répressif donc désorganisateur jusqu’au bout, émeutier perpétuel, les voyous libéraux auront été la pire des publicités contre l’État bottom up, impossible de faire pire qu’eux…Tout converge afin de se montrer comme gigantesque point d’appui. Levier et point d’appui qui soulèvent l’absurde obstacle du capitalisme…et le fait rejoindre ce néant qu’il n’aurait jamais dû quitter.

L’Évolution naturelle reprend son cours et cela va être magnifique…

 ………………………………..magnifié de magnifique !

 

….……….……(à suivre)

 

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que la vaste gratitude nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Bologne

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Avec ses 4 000 coopératives, cette région italienne ne connaît pas la crise
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le système peut vraiment être changé à 100 %

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Le concept du doughnut © Kate Raworth / Oxfam (voir le rapport d’Oxfam sur le sujet)… le lien intrinsèque entre inégalités sociales et limites environnementales.  Où, évidemment, l’explosion des inégalités est le pire des déséquilibres catastrophiques….

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l’économie est sociale ou elle devient…trop antisociale.

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Union des coopératives

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Unité des coopératives

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Un coléoptère explique l'économie circulaire aux humains

Tout en se référant à Coleman, Robert Putnam redéfinit les dimensions individuelle et collective, privée et publique de la notion de capital social. Les relations sociales soutiennent les règles de la vie sociale en produisant du capital social, qui profite aux individus, mais aussi à la communauté. Selon Putnam, "une société caractérisée par la réciprocité généralisée est plus efficiente qu'une société méfiante, de la même façon que la monnaie est plus efficiente que le troc".

Combien de capital pour démarrer ? comment financer l'activité avec un compte-courant d'associés ?

Tout un fromage... le parmesan

Les outils financiers dans le Mouvement coopératif

L’économie circulaire : objectif "zéro déchet"...le consumérisme est une si toxique fumisterie !

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