En quoi vont encore se déguiser les bourgeois ?

Depuis leur début, ils n’auront fait que se déguiser en ce qu’ils ne sont pas ! La découverte fondamentale est qu’ils ne paraissent jamais en NOM PROPRE. Ils ne sont jamais eux-mêmes. Simples comme des bonjours. Mais toujours fardés en autre chose. Or, le stupide costard-cravate a reçu les banderilles du final. Le déguisement clergé-séculier-sérieux-comme-de-pitoyables-truqueurs n’est plus tenable…l’épître bourgeoise est close. Cela fini en pitres, de piteux pitres. Bon, l’essentiel reste, comme souvent, la méthode afin de le dire très universel. Le plus court mais sans ne rien omettre : ce qui pousse à toujours inventer sur la brèche (tellement mieux que de croupir dans le marigot des faux talents !). Nous avons donc trouvé 2 biais historiques :

*** // - Tout commença par un petit texte du 17 octobre 2012 « Qu’avoue-t-on en portant un costard-cravate ? » qui apportait des arguments jamais ressentis ni formulés. Comme issus d’un regard qui voit pour la première fois cet harnachement… inadapté à tout. Bon, le texte circule va savoir comment et où. Et nous savons que c’est celui-là puisque nous n’avons jamais rien rencontré de semblable, tout simplement.  Et ? Oui et…, sur les photos des politiciens perdent la cravate. Des médiatiques aussi…le raz fait sa marée et ceci demeure vérifiable. Et donc ? Une véridique sincérité, un regard complètement neuf, un corps écrivant qui donne tout et des arguments bien vécus voici qui renverse…uniquement toutes les escroqueries, les faux semblants, les non-dits, les retours de refoulés, le grain de sable qui fait tomber la dune, etc. – enfin tout ce qui est connaissable à qui sait aller sous la ligne de flottaison des foules ! Il faut, surtout, que cela surgisse d’une nécessité…les bourgeois déstabilisés par leurs frivoles cravates ? Clair et ferme. Aux suivant-e-s, c’est net qu’il faille dénicher l’autre angle imprévu qui va subvertir par la vraie force tranquille (la nôtre – fallait pas se gourer !). Et ? Les transversalités scandaleuses, celles seules qui attaquent le système dans ses piliers, ne sont, en général, pas spectaculaires (l’esbroufe aura dû faire perdre 20 ans à tout le monde !), pas portées particulièrement  par des belles gueules quoique (pourquoi la vraie insolence qui ne baisse pas les yeux devrait « se voir » comme un nez au milieu de la figure ? Alors que l’anonyme est unanime ?  – merde quoi, l’époque n’a quasiment AUCUN des commentateurs dont elle a urgemment besoin !). Et ? Alors que tout mais tout aura été contre nous, nous avons réussi à percer et durer jusqu’à contraindre les tordus et tortueux à changer (dominos contre faux dominants). C’est ainsi…afin de faire pareil, faudrait utiliser les mêmes gammes de méthodes.

Qu'-avoue-t-on-en-portant-un-costard-cravate-?      …un texte de référence sur la ridicule cravate si malencontreusement choisie pour « se faire croire dominant »…et qui amoindrit tant l’autorité « naturelle » des faux-jetons !

>>> -- Mais d’où viendraient ces méthodes qui, comme les mots le chantent si limpidement…ouvrent. Un ouvrage ouvre c’est écrit dedans. Une œuvre ouvre et ce qui désœuvre ferme les portes à la gueule. Seuls les barbares qui voudraient se faire croire des élites ou des classes supérieures (en agissant toujours bassement ?) peuvent ainsi se le permettre (respectueux de rien ni de personne !). mais, en filigrane, se permettre aussi de chuter encore plus… Leur délires de se croire oint de dieu (in god we trust parce que god trust us…comme hallucinations, dur de trouver plus dangereusement graves, non ?)… Bref, méthodes ? Qu’est-ce que qu’est-ce ? Et comment que cela se trouverait ? A l’envoi de « L’ardeur sociale » - ouvrage ouvrant court mais de fond afin de prouver les « Techniques pour s’extraire de l’individualisme » (piège à cons qui ne piège que qui s’empêtre dans le dualisme de l’individualisme – si tu te permets juste de n’être que toi, sans image particulière, sans nom (au comment tu t’appelles ? Judicieux de répondre un « Je ne m’appelle pas moi-même, allons donc, il vous manque une case ? Allez voir, à la place, avec les autres comment…eux m’appellent » pour pulvériser toute la FAUSSE description du monde de la bouffonnerie bourgeoise !), etc.…Oui ? Ce bref historique (où nous poursuivons la méthode de L’histoire secrète du XXème siècle (de Greil Marcus dans Lipstick Traces ou les traces historiques ne sont pas du tout celles qu’on voulait nous faire gober l ) simplement parce qu’il a signalé ceci : face à des évènements qui, ensuite, sont devenus historiques, quasiment aucun des participants (ou participantes) n’avaient conscience de l’importance de ce qui « se » passait (oui carrément anti médias faux jetons qui « passent » mais où rien ne « se » passe ! Ne « se » produit…seulement est produit donc dans l’insensibilité mécanique – sans réellement penser conscient ni ressentir présent !). Bingo !

Bingo, nous avions le jackpot – à la lecture ** 1) – nous nous sommes rendus compte d’avoir été à certains de ces évènements dits clés…**2) divers entourages nous pressuraient que nous étions con.nes d’aller là, que c’était nul, que nous perdions notre temps (donc eux surtout n’ont rien pigé !)...***3) aussi n’avons-nous pas perdu notre temps à leur expliquer, qu’au contraire, ce sont eux/elles qui se sont égarés (puisque vivre une expérience en direct marque à vie !)…*** 4) – nous avons développé ces instincts radicaux afin de « sentir ce qui se passe vraiment derrière toutes les trompeuses apparences» - la gigantesque aventure de tous les gratuits…hors des prix ! -…De rester au ras des pâquerettes mais sans exagération non plus avec la tête comme des étoiles. Bref, la simplicité même. Celle que ne peuvent « aborder » les tordus et tortueux, détraqué.e.s par les perversions bourgeoises.

D’où l’ardeur sociale – lorsque qui perd toute passion perd tellement plus que qui se perdrait dans ses passions. En fin de compte, assez rares ceux/celles qui se perdent dans leurs passions… Pourquoi ? T’avais qu’à être là lorsque nous passions avec nos passions. Passions à travers les murs. Les obstacles. Trains fait de vif argent, les danseurs infatigués du sens, la radio star, le diamant de toutes les visions, etc.….tous les faux murs passés à travers, les sinuosités maniérées de faire croire à des obstacles qui n’existent guère dans la réalité…seulement dans des mentalités vraiment pas au point  (le défaut ? C’est que ce sont ces genres de mentalités …sans issue, carrément anti cool, qui dominent actuellement !)– oui tout cela transpercé net avec le feu ardent (le vrai cool c’est cette fraîcheur non assoiffée dans le désert – comme le vrai yoga à la fois plus que détendu et très tendu d’attention vigilante !). Et…le regard qui te rejoint à travers la nuit. Qui te voit dans le noir. Et les visions somptueuses qui te sont entrées simplement parce que tu écoutais la radio, etc. Oui tout ceci qui ne s’est…plus reproduit. L’argent ne produit jamais d’évènement d’humains : il n’appartient surtout pas à l’histoire essentielle et secrète (comment cela « s’est » passé ? Qui influence le plus ? Qui fait passer du passé au futur (la phrase précise contenait « NOR future » et pas « no future » – bifurcation qui aurait dû ne pas avoir lieu…d’où les mal entendus qui n’affectent que qui se droguent aux médias où tout…reste faux !)…oui au futur…Cette ardeur sociale que si peu vivent fait passer d’un point x à un point y. vraiment. Tu es dit déplacé parce que le déplacement a eu lieu. Tu auras été transporté en commun. Avec qui ? C’est là que l’émasculation illégale des médias (ils n’avaient pas à foutre le nez trop cupide dans ce qui…ne les regardait pas) aura parasité, foutu des parasites, des bruits égarants, des messages incompris, des transmissions déficientes « entre » les héros de l’aventure véridique. Et pour RIEN ? Le but ( plus parasite qu’informatif !) des médias reste infiniment non prioritaire par rapport à celles et ceux qui tissent l’histoire secrète (ou  forgent les changements de mentalités où le fond se fonde en fondant justement (ensuite nous nous fondons sur cet ex-fondu !)…où les certitudes se fondent sur rien n’est stable durant cette période de…fusion-effusion-confusion-transfusion-infusion-diffusion-profusion ! Clair ?

Ce livre aura obtenu surtout cet étrange point de vue, ici résumé : « Livre très documenté et bien argumenté. Mais dans un  monde de marchands il ne peut être publié ». Etrange appréciation…1) – le monde « n’est pas » marchand, c’est le détraquement de ces individus qui veut se faire passer pour le monde. Où être marchand n’est ni universel, ni global, ni éternel – juste un segment historique qui n’a pas toujours existé et n’existera pas toujours !...***2) il n’y a aucune « nécessité » (au contraire) à se soumettre à l’inculture exagérée des marchands de… marchandises (du suffixe de l’action collective des marchands – pas de quoi en chier une civilisation. Il n’y a aucune essentialité, rien de nouveau de produit, pas d’évènement (la marchandise ce que fait le marchand – archi plat !), oui aucune métaphysique, même ontologique, de possible)…Juste une « description » locale de la réalité globale qui continue à les dépasser tant. Refuser cette description c’est rester dans cette réalité tellement plus vaste ! Donc demeurer réalistes et à fond ! Conclusion : les marchands « uniques » ne sont pas…réalistes !…***3) et lui (le commentateur !) qui a traversé d’autres aventures peut se permettre de transmettre le point de départ de nouvelles méthodes d’approches. Pourquoi ne l’a-t-il pas fait ? Et vous, à sa place, qu’auriez-vous fait ? Il s’agit de Maurice Nadeau ! Le livre vous l’avez. Et une de ses thèses issues des sciences humaines et sociales (savoir transversal donc)  est : que le bourgeois jamais ne précède mais suit toujours. Suit qui ? Le producteur, le défricheur l’innovateur, l’artiste, l’inventeur, le vrai écrivain, l’aventurier intègre, etc. Et ? Il suit afin de…se déguiser en chacune de ses figures fortes mais…trop bêtement juste pour « s’approprier » trop minablement (minablement puisque ce n’est qu’un simulacre, une acquisition de fantômes, de reflets, de folies dingues – jamais de l’évènement vécu ni de l’expérience qui laboure tout le corps)  la «matérialité» des récoltes de ce qu’il n’a jamais semé, vécu, ressenti, aimé. C’est un imposteur : ses permanents faux et usages de faux devrait valoir à la bourgeoisie quelques milliers d’années de prison. Mettons-là direct en prison alors !

Comment-fut-inventé-oui-"inventée"-la-hiérarchie

Son avis ou rien c’est pareil : elle n’y connait rien, ne peut rien diriger puisqu’il ne précède jamais et n’utilise ces fonctions essentielle que pour doper, droguer, gonfler, enfler, mégalomaniaquer, abuser de son faux rôle (Fernand Braudel, et nous sommes pleinement d’accord avec, lui estimait : que le commerce est un bienfait collectif à condition que son domaine ne dépasse pas le 1/3 (tiers) d’emprise sur la société. Sinon c’est un poison antisocial. Dangereux, mortel même – c’est ce que nous vivons actuellement et qui échoue lamentablement dans la « médiocratie » (l’injonction à devenir toujours plus médiocre, à nier et renier tout ce qui fait l’être humain, comme toute la réalité etc.).

Bon chaleur dans les concepts ? D’où l’épisode (dans la saga de toujours imiter les autres, toujours s’approprier (ses larbins n’ont trouvé que le mot fond de poubelle « récupérer, le bourgeois-chiffonnier récupère tout…pour « glorifier » ces actes si cradingues, donc dingues !). Ce qui vient d’eux, toujours se faire passer pour ce qu’ils ne sont pas, etc.). Le bourgeois clergé séculier …sa bure (qui humoristiquement aura donné bureau (un coin de bure au départ) aura été le si grotesque costard-cravate. Mais cela NE PASSE PLUS. Nous avons imagiter l’image jusqu’à ce plus personne ne la supporte. Comme ils ne peuvent jamais se présenter…franchement. Directement, sincèrement, droitement. Mais toujours tordus, tortueux, travestis, pervers : la question devient en quoi vont-ils se déguiser ? Maintenant : après le « costume » de la piteuse bande : le monastique costard-cravate ?

Gageons que nous serons dans les préCurseurs qui font avancer les curseurs ! Puisque les bourgeois ne font que suivre, ils ne précèderont pas, non plus, dans les futures découvertes. Ils ne feront que les rabaisser, tenter déloyalement de tout prendre, mettre en danger le futur commun, le vivre-ensemble…(ce que nous dirons demain dans le texte « On a gagné » – Gagné ? A se demander quoi…chut, chuuuut chute, nous vous l’offrirons !)..

Puisque, partout et encore, le bourgeois ne laisse que mécontentements ; partout on se plaint à son sujet, il/elle ne savent vraiment pas vivre (et ne veulent même pas apprendre), ne se sont jamais frotté au social, à l’humus de l’humain…en plein dedans, qu’ils demeurent anti-universels…

Font gravement honte à l’Humanité car ils ne COMMENCENT jamais à vivre…

…………..………Soit à avoir le cœur le plus à l’extérieur de soi !

...……………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuitshttp://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est bien pire

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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