Le véhicule au nom encore inconnu ?
Serait-ce qu'ondala une voitiare, votoure, véhicuile, véhitulle, etc ? Nul-le ne le sait. Mais nous sommes sur la découverte…La rue bue de regards jus de citron se polissait de toutes boules étincelantes, où s'agrafaient les reflets courbés, dès qu'aimantés, par le vernis tournis. Sur les trottoirs laqués défilait ce qui avait été dit comme “oui nous verrons le verre”, les façades dressées dans le lait coagulé de leurs brillances adoucies. De tous bords, tous les bords lisses te glissaient leurs savonnettes étamées où tu coulais en une lente caresse huileuse. Dés le réveil, oui dés le réveil, l'envie t'empoignait de t'inonder dans la baignoire de porcelaine de la ville.
L'eau de métal déroulait son croisement, en un bruit d'autant plus chuinté, qu'il était celui d'un étrange engin. Se découplant, désouplant dans le tamis lumineux de son air propre. L'engin bringuebalant, brimbalait; se balançait sur ses roues sphériques, comme coulées de nacre gelé et irisé. Glissant doucement sur le sol bémol mais dur et poli, laqué à peine effleuré, par le véhicule. La traînée de bulles vernissées, en suspension sur la vitesse, mollait tout derrière. Les roues, se rouant imperceptiblement du feutre de l'air, te flattaient la peau, tout juste, mais tout juste alors. T'abandonnant un goût d'empreinte lorsque ton oeil prit la courbe de fixer quoi que ce soit. Des tubes
de matière blanche et ferme, tels des zooms tout englués dans la pâte longue d'un flash liquide, se cambraient comme le galon qui aurait dû les façonner. S'ambraient-ils que la limaille de toute attention venait s'y attirer. Le fondu vraiment enchaîné enchaînant les quatre raccourcissables sphères irisant roses, violets, pourpres ou bleus étanchés à une boule centrale surhaussée, bâillonnant un jaune scintillant de pulsations aveuglantes ? Cet éblouissement semblant pourtant bien se rattacher, s'irradier tout l'entier véhicule. Le créer en expansion de tous ses rayons insoutenables. Trois autres sphères, sans doute, tournaient doucement, très doucement, lentement, autour de ces sphères, roulantes autant que centrale, rejoignant l'angle d'une, au retour d'une ellipse, touchant la symétrie de l'autre, le fait d'un clin d'œil, se retrouvant en surnombre d'un même côté, saupoudrant un aspect ondulatoire de telle sphère “écrasée” sur toute l'orbite ou l'autre, tout en s'accompagnant de la longueur rétractile de chaque chaque sphère des roues. Aucune ne se trouvant en même dimension ou comestible distance …
Le frangin d'engin se transformait, au fur et à mesure de son glissement léger, n'étant jamais même, jamais semblable, savourant à qui mieux mieux les orangés, verts d'eau, jaune indien, bruns d'embruns les plus savoureux. Le véhicule prouvant sa différence, sans arrêts, se modifiant de telle façon, qu'en sa progression, l'œil n'en était jamais franchement sûr … Ce qui l'était, par contre, sonnait, qu'en passant entre deux des miroitantes boules, trônant sur le trottoir à saliver, le déplacement d'air de la vitesse fut aspiré, gobé, gommé, empoigné en un long son roulé boulé. Tournant autour de lui-même, souple bourrasque bourrée d'elle-même. Le vent résonnait profondément, à grandes lampées, dans les deux boules à sifflements ourlés. Répercussions des percussions tinnitirantes. Engouffré sans gonds, dans la spirale, le souffle bien malaxé, pétri, rebondissait, le réfléchissait dans un bouquet de bruits liquides. Ceux là même en lesquels se transforme tout son qui se prolonge. Dans la bouche d'entonnoir, celle qui se lève du fond de ta gorge et s'arc-boute, malgré toi, pour te détendre la tête de ce bis de la bise, bis, bis, une autre. Le son étant, ensuite, RENDU, éclatant, retentissant, intensifié, amplifié d'un flot de cascades, autant que d'un bourdonnement grondant ras, mais d'une ronde de caresses aspergeant la verbération.
A chaque passage des véhicules, des souffles frissonnants la peau, sʼentonnaient modulés par les diverses rotations, ellipses, vitesses des voitiares, votoures, véhicuiles, véhitulles en tous genres. Dans la baignoire de porcelaine de la ville …
…vous pouvez, aussi, vous aider à trouver cet engin de merveilles à travers, les nombreux blogs, dont "Le soi le soin le besoin" du 4 juin 2011, "Cadrer cadriller quadriller" du 5 juin 2011, "Comment le repos repose vos questions ?" du 7 juin 2011, "Comment le développement personnel tourne au savoir- faire révolutionnaire ?" du 9 juin 2011; "Des sauts périlleux à l'intérieur de vous-mêmes ?" du 11 juin 2011, "Hans Diefenbacher, ce sont qui marginalisent qui sont le vrais marginaux" du 22 juin 2011, "On aime pas ceux qui pensent ?" du 23 juin 2011
La rubrique "méthodes de pensée" en particulier
Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
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(à suivre)
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Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
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Si ce blog a su retenir votre attention dans les 2 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu