Clameurs, clameurs exclameuses >>

Publié le par imagiter.over-blog.com

Clameurs, clameurs exclameuses >>

Après ou à côté des rumeurs – les clameurs ! La chambre d’écho semble bien plus vaste puisqu’il y a du réclamer dans clamer. Cependant la géométrie des deux mots ne se correspond pas. Le pratique de l’évènement qui nous intéresse c’est comment de nouvelles voix et voies peuvent se faufiler à travers ces clameurs. Et tout le contenu de l’aventure. Autant dire qu’un nouveau concept peut s’y trouver. Voyons.

 

Afin d’ouvrir son aube, les « clameurs » ne peuvent qu’éviter toute répétition. Ce sont des phrases qui ne se répètent pas. Toujours du nouveau. Chaque phrase des clameurs se voit issue de tous les registres humains possibles. Sur le mode artisanal très individualisé. Ce concept fut introduit dans un livre de science fiction**, et placé dans le mobilier urbain : pour chaque passant-e le message unique se déroule. Il y a même des rues de clameurs où plusieurs pastilles enregistrées accompagnent les déambulations ? Le sens de l’ensemble ? Nous le reverrons, mais il y a un éloignement par rapport aux slogans qui ne peuvent être que des points très sommaires de départ. Afin d’impulser les mouvements qui mouvementent. Et non, comme pour beaucoup, demeurer des points d’arrivée (avant que de partir donc). Où ils/elles vont se figer et, du même coup, immobiliser toute vie sociale. Le concept c’est, alors, « pas de slogans, des clameurs ». Pas du répétitif qui rend vieillot mais de la créativité et de l’inventivité en très commun. Soit clamons et exclamons !

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« Dans **La Zone du dehors, les personnages principaux veulent « insuffler de l’air dans les interstices » d’une société contrôlée et cherchent des moyens de le faire. Il y a par exemple cette idée des « clameurs », appareils cachés qui déclament automatiquement un message unique à ceux qui passent à proximité…

Revue-ballast.fr/Alain-Damasio-1/ 

 

« Les clameurs, c’est un excellent point. Dans ce livre, je voulais vraiment créer un chapitre de réflexion sur la publicité. Quelle est la différence entre un groupe d’extrême gauche qui balance des slogans et une pub qui va te demander d’acheter tel ou tel parfum ? Ma réponse a été très claire : si je crée des clameurs (il y en a qui ont déjà été créées, et j’espère un jour avoir suffisamment de financements pour en générer un maximum), le point fondamental serait qu’aucune ne se répète, ne dise le même slogan, que chaque clameur soit artisanalement créée, propre à une personne. La clameur, pour moi, ne doit pas fermer le sens mais garder une certaine polysémie poétique [[ ce en quoi la diction du dictionnaire semble bien la plus immense de toutes les clameurs !]]. Si tu es sur ce mode-là, alors, oui, tu peux prétendre amener les gens vers une forme de liberté. Dans le groupe Zanzibar, on a le projet de faire de l’affichage avec des blocs de nouvelles assez courtes. Elles se situeront dans le registre émotionnel et non argumentatif [[ telles l’entièreté des Mamelles du repos ]]. La diversité est extrêmement importante [[ les écrits trop formatés, danger – les spectateurs qui « exigent » des créatifs qu’ils/elles répondent, comme à l’armée, à leurs caprices si lunatiques, encore plus dangers ! C’est même ainsi que les pouvoirs malsains se faufilent partout…]] ; pour moi, tu ne peux pas porter un mouvement d’extrême gauche si tu ne fais que répéter des slogans redondants. Je suis toujours gêné par les slogans, car ne dire en boucle est-ce que cela peut amener personnes vers plus de liberté ? [[si elle n’est pas « déjà » dans les mots et leurs formulations ?]]. Ce n’est jamais suffisant.

Téléchargement-de-Laclau

Ernesto Laclau :  « L'articulation du sens et les limites de la métaphore »

Les théoriciens Ernesto Laclau et Chantal Mouffe assurent que le langage est un terrain permettant à la fois de résister et de fédérer, en utilisant parfois les mots comme des « signifiants vides » derrière lesquels chacun peut mettre ce qu’il veut y trouver [[ la théorie c’est déjà cela, mais ce blog, dès le départ il y a 8 ans, a mis en grande pratique toutes ces judicieuses observations !]]. Comment entendez-vous cette bataille politique des mots ?

C’est complexe. Les mots sont des vecteurs de catalyse et de convergence. Mais il est difficile de créer des mots qui soient denses, habités, et qui permettent en même temps à des gens de se réunir. Je me méfie donc beaucoup du côté « mot-sac » dans lequel on met ce que l’on veut. Il est également facile de faire croire à un concept nouveau en mettant un mot nouveau dessus. Je vous donne un exemple : j’ai commencé à en avoir marre d’entendre le mot « transhumain », j’ai cherché une façon d’y réagir, je me suis dit que « très-humain » était intéressant. Ça me permettait d’éviter « surhumain », « surhomme », qui restent encore connotés, associés au nazisme. Quand tu crées un néologisme comme celui-ci, tu permets à des gens d’acter leurs positions sans être piégés par la réaction des transhumanistes, qui ont un discours du genre : « Vous êtes des réacs, vous allez vous éclairer à la bougie, vous êtes dans le bioconservatisme… » « Très-humain » est un mot qui permet de s’opposer en disant : « Si ! On a une vitalité, on a un mouvement : on va au bout des capacités humaines, de ce que l’humain peut. » [[ aussi, nous expérimentons tout ce que nous disons. Si nous parlons, notre corps parle en chœur avec nous…]]. Malgré tout, il ne faut pas être dupe : « Très-humain », c’est surtout Spinoza, Nietzsche, Deleuze, Jacques Ellul, Ivan Illich — j’ai simplement créé un nouveau syncrétisme. Et on en a parfois besoin : souvent, les gens ne connaissent pas Ellul, n’ont jamais lu Spinoza ni Nietzsche… On a une fonction essentielle en tant qu’écrivains : essayer d’amener un peu de nouveauté dans les logiciels, de trouver de nouvelles façons de s’opposer, qui permettent de dire : « Enfin quelque chose de nouveau se passe ! » [[…et non…passe…nous ne sommes pas des vaches qui regardent passer les trains. Enfin, pas encore !]]. C’est en cela que je trouve le travail sur les mots très intéressant.

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>> L’enclume clame dans l’enclos      -     >>   L’éclat clamé et puis calmé…

Oui comment donc sortir de ses gonds tels des gongs  :

« Le moi-île est une invention occidentale. Une connerie. Morbide de surcroît. Tout à l’inverse, le soi qui vit est un carrefour, un échangeur, une place peuplée ou un parc, une multitude, des tribus. Il a l’énergie des champs dans lequel il est pris ; il a les intensités qu’il traverse, suscite et reçoit en liant [[en effet, nous sommes des moi-Terre, si charnels d’humus et de gigantismes vibrant du monde entier]]. (…)  Comment dire « Nous » à la place de Je ? Comment ça se prononce : « Noue ». Noue, oui, fais des nœuds : dans le paquet lisse des lignes de destins parallèles qui dépriment sur un quai de métro [[ notons que notre texte « Les nous noués » reste, chronologiquement, antérieur à celui-ci !]]. Au concert ou dans la rue, au bureau, à l’hyper, sous la pluie, partout où les grumains grumeautent d’un air Mossad : noue ! [[ ce qui est, ainsi, charnellisé sans ces clameurs acclamantes nous convient tout à fait !]]. » (…)

« Je m’étais battu pendant quinze ans contre une machine sans visage. Une machine sans machiniste, que personne n’avait mise en marche, qui s’huilait et se réparait toute seule, et que nous subissions tous. Un ingénieur, un responsable, quelqu’un dont on puisse dire : c’est lui ! avec un index vengeur, n’était-ce pas ce que la Volte [[des réVoltes…désinvoltes qui virevoltent  des Mamelles du repos]] avait traqué au désespoir dans cette société d’omnicontrôle ? Cet homme était là, devant moi et il énonçait limpidement ce que j’avais mis des années à comprendre…Je pouvais lui bondir dessus. Lui briser la nuque en deux morceaux bien distincts. Un craquement mat…Craac…Un râle étouffé dans la moquette…Il me souriait. Il attendait une réponse. Un visage. Était-il le visage ? Je comprenais obscurément que tuer ne servirait à rien. C’était pâlir un visage, mais le contrôle n’avait pas de visage. Il n’avait que des yeux. Des globes exorbités qui roulaient sans fin de nos cernes à nos bouches, moins pour en étouffer les cris que pour les nourrir, en boucle, et en obstruer l’accès aux aliments autres[[les méfiances devraient se montrer absolues envers ces pouvoirs qui nous rendent tant de services, nous caressent dans le sens du poil, nous flattent comme tous les escrocs (tout ce qu’ils veulent c’est l’inertie générale - l’immobilisme des émotions, des sentiments et des corps vibrants…vont-ils /elles réussir ?...tandis que tous les véritables ami(e)s restent plus rêches, ne flattent guère et nous demandent eh oui le mot est lâché des…efforts (mais efforts diminués de l’immensité des efforts de tous les autres !) Et donc ? Certain.e.s vont préférer ces maîtres faussement affables par devant mais si cruels par derrière. Notons, enfin, que nous ne semons jamais de rampantes rumeurs, les empêchons même de poursuivre lorsqu’elles arrivent jusqu’à nous…mais des clameurs, des clameurs retentissantes, oui. Rien à cacher !]]. » 

Vous-n'avez-pas-à-attendre-d'être-approuvés-par-les-dominants

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Comme requérir fortement, commander ses demandes de stentor, prétendre même à obtenir : clameurs ! Vive les vivats, les vivats des vivants : « J’aime beaucoup les termes de Guattari lorsqu’il dit qu’on est entrés dans « les années d’hiver » : à partir des années 1980, avec la montée du capitalisme, on n’est ni sur un printemps, ni sur un automne, encore moins sur un été, comme eux l’ont vécu dans les années 1970 — qui était vraiment une période magnifique… La grosse difficulté que nous pose la social-démocratie actuelle est qu’elle nous maintient pile dans la bande d’angoisse, de peur et, en même temps, de confort, cette bande qui nous empêche d’oser nous révolter. On n’atteint pas le seuil limite où les gens se disent « Ras le bol, on pète tout. » On n’a pas de gouvernements suffisamment agressifs, disciplinaires et odieux pour passer ce seuil. Ils sont malins, ils savent se mettre juste en dessous de cette limite. Ils font ce que Deleuze décrivait si bien : ils administrent notre petite terreur quotidienne, nos petites peurs intimes. Ils nous disent par le biais des médias « Regardez les autres. Regardez ce qui se passe ailleurs : les guerres, la situation des migrants. Eux, ils sont sous des tentes, dans la boue… C’est la merde ! Alors restez bien au chaud chez vous. » On se dit « Putain, on n’est pas bien mais, quand même ! Restons là où on est, ne bougeons pas. » Et on est bloqués dans cette bande depuis vingt ou trente ans, à mon avis [[ avis entièrement partagé ! Seuls les anti-conformistes, pour qui ces pouvoirs ne semblent rien, rien d’important en tout cas, n’ont jamais obtempéré à ces ordres non écrits noir sur blanc, mais semés par…l’ambiance générale…grand bien leur en a pris…oui oui et une exclamation d’acclamation. Et une acclamation d’approbation…que des cris critiques !]]. »

 

Braver par les bravos (c’est sonifié dedans), dé-cla-ma- (que des sons qui ouvrent la bouche)-tion…une déclaration toute en déclamation alors ! S’exclamer c’est se clamer en plus haut. Apprenons à nous habituer à toutes ces rotondités et spirales spacieuses de la dialectique de vie. Par qui veut, par ce lien même :

 

Les-exercices-d'absurdités

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La problématique d’injures peut se sculpter dans un aphorisme : se jurer et s’injurier ! Soit, entre Jurons nos jurons, promettons, sacralisons la promesse, et – point de rupture – déjurons, in-jurons (toujours par les mêmes jurons, d’ailleurs, mais accentués différemment.) :

 

La-rumeur-comme-garante-de-nos-libertés

 

C’est que les enjeux de contrôle de l’information des rumeurs remontent déjà à l’Antiquité. Et leurs réponses peuvent donc nous servir aujourd’hui : « Si les rumeurs antiques n’ont ni la même définition ni la même place dans la société que ce que nous qualifions du même nom, il y a bien aujourd’hui des structures qui jouent le même rôle qu’elles, à savoir diffuser une information hors des circuits officiels, constituer un jugement collectif sur l’actualité ou sur telle ou telle personne, faire pression sur les instances politiques, etc. De fait, les rumeurs [[l’étude des rumeurs comme fait social complet ne remonte qu’à la Seconde Guerre mondiale…]], ne surgissaient pas de n’importe où : les études qui l’ont envisagée sans se contenter d’y trouver l’expression de fantasmes ou d’angoisses collectifs, mais en y voyant le produit d’interactions sociales bien déterminables, ont souligné qu’elle n’existait que grâce aux structures de sociabilité des classes subalternes qui lui servaient de vecteur.

À Athènes comme à Rome, les rumeurs se diffusent dans les échoppes de barbier, dans les tavernes, aux bains. Or, quels sont les lieux de sociabilité où nous échangeons des informations aujourd’hui ? Ils sont principalement virtuels. Twitter, par exemple, assume la plupart des fonctions listées ci-dessus. C’est le lieu où l’on diffuse les nouvelles : certaines sont proprement officielles, c’est-à-dire rattachables à une source qui fait autorité, étatique ou journalistique ; d’autres ne le sont pas, mais constituent un puissant moyen de se tenir informé d’un événement que les autorités de diverse nature n’ont pas encore relayé [[et pourraient même passer sous silence ! ]]. Exclameurs, toutes et tous à ce qui proclame…

Nous voulons simplement, afin de conclure, parcourir un peu les sinuosités historiques des injures. Considérées comme cathartiques ou compensatoires, elles répondent, désormais, à des structures sociales qui paraissent toujours plus hors du temps. Et qui n’existent que par leurs ombres portées (par leurs taux de nuisances sur les autres !). Le problème devenu c’est que les classes autoproclamées supérieures, mais avec des comportements clairement inférieurs, injurient d’abondance tout le monde. Cela devient une très mauvaises habitudes. Quoi de plus rapide afin de pourrir toute l’ambiance sociale ? Mais qui, en général, si nous désirions symétriser, soit agir juste comme eux, peut créer des réactions de grandes perversités. Entre le Procès de Kafka et les doubles contraintes…Apprendre à éviter tant d’enfantillages, ne peut que simplifier la vie. Pourquoi ? Pour nous, les injures des racailles des sommets, c'est bien parce qu'ils sentent leurs absolues déchéances socio-économiques. Qu'ils ne peuvent donc survivre qu'en attirant tout le monde dans les pires bassesses. Où ils se "situent" exclusivement…nous en avons trouvé les preuves dans ce lien :

...article-Injures

Et, que d'en prendre claire conscience (selon "l'auto- élucidation permanente de la société par elle-même" de Cornelius Castoriadis – comme meilleur processus pour garantir la véritable SANTÉ de la civilisation) - fait bien opter pour pas de refoulements possibles, de non –dits, d'euphémismes, d'entraves permises de censures, avec annihilations de tous les circuits de diffamations, etc…etc…Donc des injures aussi !

Bien, mais dans le cas des injures généralisées il devient de première urgence d’informer sur la nature et les spécificités sociales des injures jamais répertoriées. Et qio se prouvent, souvent, comme les bien pires....1- injures à la démocratie par ses responsables mêmes (principalement des injures par comportements )…2)-  injures  à la justice par les trop riches imputables en procès des milliers de fois et narguant de parader comme en immunités non surveillées … 3) - injures des médias subventionnés aux payeurs d’impôts qui les subventionnent… 4) - injures à la science par les institutions d’argent (surtout par des étalages de mauvaises fois), exemple allant des lobbies illégaux jusqu’à l’lNSEE …etc…. 5) injures à l’humanité, la gentillesse, la solidarité et la bonté…proférées par les 4 précédents !

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.................Exclameuses donc à tous les vivats !

Bravons par les bravos. Ces si braves bravos qui nous tendent braves !

 

…………….…(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuitshttp://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

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Son objectif ? Dans un monde de plus en plus injuste, encourager « l’insurrection des consciences« , une insurrection qui couve et qui, c’est une bonne nouvelle, commencerait déjà à prendre forme.

Son objectif ? Dans un monde de plus en plus injuste, encourager « l’insurrection des consciences« , une insurrection qui couve et qui, c’est une bonne nouvelle, commencerait déjà à prendre forme.

overcome = surmonter

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espèce d’espaces

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si le monde n’est qu’une scène, où peut donc s’asseoir le public ?

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Barrière Arrière - arrière barrière !

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y’a pourtant le feu à la maison

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insultes clamées en silence

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se trouver c’est bien alors imaginons se retrouver !

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Ballast - Alain Damasio

Très humain par rapport à transhumain.

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Bonjour amis, je m'appelle Andrea Maria et je suis infirmière en médecine à l'hôpital universitaire de Sahlgrenska en Suède. Je suis mariée depuis plus de 6 ans avec deux enfants. Ma relation avec Andrea, mon mari au début, était douce, romantique et plus tard, elle s'est transformée en cauchemar, parce que mon mari me trompait vraiment et cherchait un moyen d'obtenir un divorce rapide. nous avons rompu il y a trois mois et nous sommes revenus après avoir tant mendié avec de beaux cadeaux d'amour. J'ai tellement aimé mon mari. Je ne veux pas le perdre à une autre dame, je n'aurais rien pu faire pour le blesser ou le faire se sentir mal à propos de moi plus… Je voulais juste qu'il retourne à la maison pour qu'il m'aime pour toujours. J'ai expliqué ma situation à un ami au travail. Mon amie Jennifer m'a conseillée de contacter plutôt l'aide d'un lanceur de sorts d'amour appelé Dr.Oduduwa de la nation afrikana avec une partie de sortilège magique qui priait de rendre son ancien amour, qu'il avait de puissants dons le charme de ramener l'amour et la confiance dans tout mariage brisé ou relation amoureuse brisée, j'ai cru et essayé, et cela a fonctionné pour moi, j'envoie un message électronique à Dr.Oduduwa via son contact de messagerie personnel ci-dessous;<br />  {dr.oduduwaspellcaster@gmail. com}.<br /> Après que quelques municipalités eurent répondu à mon courrier, Dr.Oduduwa m'a dit qu'il pouvait m'aider à ramener mon amour ex avec une portion immédiate de mon charme, j'étais très heureux de trouver cet homme pour m'aider, j'ai suivi toutes ses instructions avec attention, étape par étape. des prières et des incantations que je fis moi-même chez moi avec des bougies allumées la nuit. Oduduwa me dit tout à faire chez moi pendant la nuit prières amour processus d'orthographe. J'ai tout fait comme indiqué. cela a commencé à fonctionner pour moi car quelques heures plus tard, j'ai reçu un appel de mon mari, j'étais tellement surpris et choqué qu'il cesse de m'appeler ou de m'envoyer des SMS depuis 3 mois, maintenant j'effectue immédiatement une prière d'orthographe d'amour mon Le mari Andrea est revenu à la maison pour s'excuser auprès de moi. Je suis tellement heureux de constater que la partie amoureuse travaille positivement sur mon mari en moins de deux jours. En ce moment, mon mari et moi vivons plus heureux que jamais auparavant. Je suis reconnaissant au Dr.Oduduwa, grand homme, pour ses talents exceptionnels. Au début, j'avais peur du doute, mais je l'essaie et cela fonctionne pour mon bien.<br /> Je recommande sincèrement Dr.Oduduwa à toutes les personnes cherchant à rétablir la relation amoureuse perdue ou le sortilège amoureux à la recherche du véritable partenaire amoureux. <br /> (dr.oduduwaspellcaster@gmail. com)
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